Réunion au sommet. 'fin... en sous-sol, mais voilà quoi. [Caitlyn]

Je restai accrochée comme ça pendant... Au moins une bonne dizaine de secondes. Avant d'en fait réaliser que ça ne lui plaisait pas plus que ça : elle avait les bras écartés et une mine sceptique, clairement mon contact ne semblait pas vraiment l'enthousiasmer outre mesure. Je ne savais trop pourquoi. Peut-être était-ce à cause du fait qu'un liquide bizarre et gluant coule de mes manches et de mes ailes... Peut-être était-ce simplement parce que c'était moi. Je reculai en tout cas un peu, alors qu'elle ma lançait avec un air amusé qu'elle était le pilier des amazones X-women, et tout et tout.. Et que la naine jaune ne pouvait pas mourir. Ben tiens. Et finalement, elle me demanda s'il était normal que je suis encore plus moche que d'habitude.

« Chais pas... On dirait le matériau de mes lames mais en version liquide... J'ai jamais eu ça avant, mais on s'en f... »

BOUM ! Encore !? Nan mais, oh, sérieux là, on en était à... Combien d'explosions, 3, 4 ? Allez, la première atomique, ensuite l'immeuble bousillé, puis l'explosion du robot, et maintenant encore quelque chose qui éclate au loin.

« Mais sérieux c'est quoi là, un film de Michael Bay !? » lançai-je avec un air énervé...

... qui disparut vite, quand je me retournai pour observer l'endroit d'où venait le bruit. Il y avait visiblement des armées entières de ces robots de merde qui se déversaient du ciel et je ne pus m'empêcher d'afficher un air totalement sidéré. Ils étaient... des centaines, des milliers mêmes. Sans compter les vaisseaux de plus petite taille, qui portaient chacun un autre robot géant de 30m de haut. Clairement, on était dans la merde, mais le genre sérieux. Cait' commenta alors la scène avec humour, mais pour ma part j'étais trop crevée pour rigoler. J'étais pourtant la reine de la connerie, mais dans le cas présent, je n'avais même plus l'énergie de faire un jeu de mots merdique ou de me la jouer genre "haha m'en tape".

Je me redressai légèrement, malgré le fait que j'avais vraiment mal au cœur là, et observai la situation alors que la rousse me signalait que la voie des airs et celle sur terre étaient improbables, puis me demanda ce que je fais.

« Bah j'leur rentre dans l'... »

Je fut interrompue par une remarque de sa part, indiquant "ON fait quoi". En fait je décidais pour toute la team ? Sans déconner ?

« Attends je décide pour tout le monde ? Nan c'est pas sérieux ça... »

Je me tournai à nouveau vers l'immense armée, l'air de réfléchir. La voie des airs, on ne pourrait de toutes façons pas l'emprunter donc on s'en foutait. La voie terrestre était... Ouais, plutôt pourrie, autant le dire. "ON" fait quoi ? Alors ça, bonne question... Peut-être était-ce l'émotion, ou le contrecoup de la baffe que j'avais prise dans le ventre, mais je tombai à genoux et me mis à vomir. Top suave. Et ce n'était pas de la bouffe ni rien... C'était encore cette gelée violette. Après quelques secondes, alors que je reprenais mon souffle, elle se mit à s'étendre légèrement, puis des pointes se formèrent à sa surface de 3 à 6 centimètres, et l'ensemble se durcit d'un coup dans un craquement douteux. C'était le même genre de bruit que quand je sortais les griffes... Et en fait, ça ressemblait fortement aux pointes que je formais. C'était quoi cette merde ? Je pouvais vomir des lames maintenant ? Je pigeais rien.

De toutes façons mon état de santé n'était ici pas super prioritaire, il fallait se décider et rapidement. Je me relevai donc maladroitement avant de finalement déclarer d'un ton hésitant :

« On s'tire... Et on escorte avec nous tous... 'fin tous les civils qu'on peut croiser... Par les égouts... Y'aura des petits connards, mais... Au moins on évitera les robots géants. Faut aller vers la campagne... Ces trucs... ça a l'air de se focaliser sur les centres urbains. Sur des terrains dégagés on pourra plus facilement les repousser en plus... »

P't'ain j'étais le boulet de la team. Elles, voilà, l'une qui survit à un immeuble qui s'écroule, l'autre qui explose des robots géants, et moi j'étais à moitié par terre en train de gerber du truc gluant. En combat je servirais surtout à poser problème, il fallait se casser de là.

« Ouais, on se casse... Objectif principal, sortir de la ville... Secondaires, récupérer et protéger des civils... Trouver de la bouffe et des trucs de premiers soins... Trouver de l'armement... »

**X-Men Alpha** Messages : 2056 Date d'inscription : 23/04/2012 Age : 29

Je suis toujours à genou lorsqu'elle se jette sur Caitlyn, pleine de bave et de choses un peu repoussante. Mais comme le dit Jacques Chirac, si vous ajouter à cela le bruit, et l'odeur y'a de quoi devenir fou. Je regardais la scène d'un œil blasé. Tu parles d'une bande professionnelle qui s'embrasse à chaque victoire. La séance était de plus loin d'être terminée, il pouvait encore roder beaucoup d'ennemi et la vivacité des androïdes arachnides m'avait déjà coûté pas mal de sang et l'incapacité de courir ou de me mouvoir d'une manière qui faisait ma force. Je deviendrais vite un fardeau pour l'équipe si je n'arrivais pas à bouger aussi vite et vu l'état de fatigue de Kaya on aurait pas beaucoup plus d'option que fuir si d'autres ennemis débarquaient.

Je m'effaçais alors un peu des discussions de mes deux élèves respectivement ex et nouvelle. La suite n'allait pas tarder et j'avais presque hâte de voir la réaction de la nouvelle face à cela. Je me doutais que Caitlyn avait du oublier quelques virgules ça et là comme à son habitude et cela lui donnerait quelques frissons. Elle a toujours aimé le réalisme que la salle des Dangers pouvait offrir et il y a de quoi même si je ne suis pas une folle des films de science fiction, mangas et autres jeux vidéos d'où elle tire toutes ses simulations, tests et épreuves plus ou moins sur mesure à la virgule près.
Je craignais un peu cependant ce que Kaya choisirait. Non, pour le moment je ne lui faisais pas confiance car elle devait apprendre encore tellement de chose pour qu'on puisse compter sur elle sur le terrain comme en dehors. Elle devait mûrir un peu, grandir et se trouver au milieu de ces nouveaux environnements que l’entraînement d'X-men pouvait offrir. Salle des dangers, expéditions, missions, gymnase... Tout cela allait et devait devenir de plus en plus familier pour elle car si elle devait continuer dans cette voie cela constituerait son quotidien ou, du moins, une grosse proportion de ce dernier. C'est pas une réflexion en l'air, et même si ce sont des joli mots, un quotidien idéaliste aveugle est toujours dangereux mais je m'égare car à ce moment précis la phase cinq commençait et je peux vous dire qu'on la ramène moins que dans son siège au cinéma.

Alors que Kaya se met à vomir ses tripes il semble également qu'elle ait l'esprit et la vivacité de réflexion nécessaire pour prendre la bonne décision. Bon, son speech sur la campagne et les ressources de vivres c'était sûrement pas nécessaire et à part montrer qu'elle avait vu beaucoup de films de zombie et d'apocalypse ça me fit décrocher un petit sourire. Comme si dans une situation similaire, nous étions obligé de nous réfugier à la campagne. Ils ont une armée, on a un Hulk euh non, une Rachel et sans même avoir besoin de lui demander quoique ce soit, je sais pertinemment que dans un cas comme cela, on verra ses ailes de feu envahir l'espace. Après tout, elle aime pas tout ce qui est un peu trop grand et robotique et ça se comprend.

Je me relève avec difficulté, arrachant mon épée des mains de Kaya pour pouvoir m’appuyer dessus.

« C'est bien va, ta bien bossé, c'est l'heure du gouter mais avant... »

Je tend une main vers elle pour en désintégrer une bonne partie de la bave qui la recouvrait.

« Case infirmerie et une bonne douche, tu pus comme c'est pas permit ! »

Je me rapproche alors tant bien que mal d'elle, boitant un peu sans pour autant grimacer parce qu'il fallait que j'ai la classe en toute circonstance.

« Bon, je dois faire aussi un tour par l'infirmerie alors je l’emmène, je te laisserais faire le débrif avec elle Cait. »

Je passe alors mon bras sous le vendre de Kaya, puis mon épaule pour finalement la porter m'appuyant sur ma canne de fortune d'une autre main.

« Danger, fin de la simulation et photo gros plan sur la tête de Kaya je la veux en fond d'écran, contacte aussi une infirmière qu'elle vienne nous aider s'il te plait... Tain, tu pèses une tonne pourtant on dirait pas avec le cul plat que t'as... »

Je me dirige vers la sortie en lançant un sourire et un clin d’œil à Cait'. Qu'est-ce-qu'elle croit, je fais pas tout ces footing, ses abdos et ses pompes pour ne même pas être capable de soulever ce tas de viande qui me sert d'élève.

« Au fait Cait ? C'quoi Marre velle ? Eh toi ! Évite de vomir sinon je risque de m'énerver ! »

Une fois dehors et après quelques mètres, une infirmière descendue pour l'occasion m'aida à me débarrasser de mon fardeau en forçant la paillasse à marcher un peu.
C'était un bon entraînement malgré les apparences. Il y a de potentiel dans cette fille et dans cette équipe et j'ai foi en l'avenir même si je le sens un peu trop puant et visqueux. Nan parce que quand même son pouvoir est dégueulasse. Sérieusement... faut qu'elle consulte.

**X-Men Beta** Messages : 1618 Date d'inscription : 06/04/2012 Age : 36

Peut-être que j’avais poussé la barre un tantinet trop haut pour elle, je ne sais pas, je m’y perds un peu. Lorsqu’on évolue entre des monstres de puissance comme Rachel, Jubilée ou même Amy à ses heures, on a vraiment du mal à doser. Elle était bien plus jeune et fragile qu’elle le laissait prétendre, et cela finissait par poindre à la fois dans son comportement sur le terrain en agissant en véritablement comme une tête brulée ou dans ses limites lorsqu’elle tombait à genoux pour gerber comme un étron qui ne tient pas la route. Mais après tout étions-nous si différentes? Non, je reconnaissais cette audace d’improviser qui me caractérisait moi et qui m’avait valu de passer pour « celle qui défonce le mur pour se créer une sortie quand elle a oublié de vérifier si la porte était effectivement fermée », c’étaient là les propres mots de Domino. Je reconnaissais ce sang froid détaché et admirable qui mêlé avec l’humour ouvrait les portes de la classe américaine si cher à ma Jubjub qui indubitablement avait déteint sur elle comme elle l’avait fait pour moi durant son entrainement. Je reconnaissais déjà aussi cet esprit fonceur et impulsif qui caractérisait mon épouse et lui faisait prendre par la jeunesse de son âme des risques inconsidérés qui me flaquaient des suées glaciale…Oui, elle était sur notre chemin, que je le veuille ou non et de la voir énoncer le choix logique face à une situation complètement désespérée m’arracha une sorte de sourire triste mélange de fierté et de douleur. Ca ne faisait que commencer Kaya, et ca ne s’arrêterait plus, mais c’est ton choix : pas le nôtre.

J’étais « la dernière-née » des X Men et je savais déjà dans cette salle où j’avais perdu tellement que je contemplais la prochaine. Je me revoyais une année en arrière et je me voyais à présent : j’avais changé, mon potentiel avait changé et continuait de changer : j’étais devenu même si je m’efforçais de ne pas l’admettre, un de ces monstres de puissance dont j’évoquais l’ombre en pensée. Je n’étais pas si insignifiante que ça, si mauvaise non plus…Les médias faisaient de moi une légende et force était de constater que j’en prenais toutes les caractéristiques. Est-ce un mal, un bien de prendre une certaine lucidité sur ce que l’on est devenu ? Je ne sais pas, ce ne sont pas que des beaux mots mais moi aussi pour le coup je me perds un peu là-dedans et jamais mon « besoin de normalité » n’avait été aussi fort.

Je croisais le regard de mon mentor alors que je passais les mains jointes derrière le dos, elle savait très bien à quoi je pensais et savais que j’étais et je resterai toujours déchirée sur ce non-choix de vie. Non, je ne t’aiderais pas à la relever, déjà qu’elle m’a englué ca va aller ! Et puis tu sais bien que je déteste ce genre de contact, enfin « détester » est un grand mot, il implique que j’aurais le choix d’aimer et non, ce n’est manifestement pas le cas. Je ne t’aiderai pas parce que tu es un monument, une légende et je veux que tu lui en foutre plein la vue, ma chère « belle sœur », j’aime ça, c’est rassurant de te savoir indestructible. Oui je ferais le débriefing, je resterais à ses côtés le temps qu’il faudra, la veillant, la rassurant, parce que c’est mon élève aussi et parce que j’ai de choses à lui dire, des portes à ouvrir et ça sera à elle de voir ce qu’elle en fera.

Jubilée a un ordre vocal aussi déterminant que le mien sur le déroulé d’une simulation, Danger répond aussi tôt à la demande formulée en désactivant la construction holographique, m’est avis que Kaya va encore avoir des haut-le cœur en assistant à cet univers qui s’effondre pour retrouver la blancheur immaculée de la Salle des Danger en mode repos.

Alors que je constate en soupirant que je shlingue et que je suis poisseuse à cause de cette idiote qui m’a toute englué et que mon bel uniforme est bon pour le pressing, Jub à la bonne idée de souligner qu’effectivement Kaya à les fesses aussi plates que la platitude elle-même. Ca doit etre une caractéristique des combattantes X Men, Exodus l’aurait sans doute remarqué : Amy agit comme un mec, j’ai une petite poitrine, Ororo est très..euh..noire et Jub est si petite que ses cheveux sentent le cirage : un barnum frappé du logo X.
J’emboite le pas de mes consœurs en tentant de me débarrasser de la bave de Kaya en pestant tout en répondant à la question de ma Captain.

- Marre Velle, c’est un club select de personnalités qui ont la classe innée. C’est un troll du net où il est dit que chaque membre a tellement le charisme classe 10 000 qu’ils en deviennent immortels. Hugh Jackman par exemple, ben il fait partie de l’association…C’est très people. Mais je crois que c’est surtout un club de mecs qui vivent dans un autre monde et qui pipotent un peu…ils n’ont pas plus de classe que d’beure au cul. Nous on a vraiment la classe ! Ah et Danger ! Moi aussi j’veux une photo de paillasse, je passerai le week end à faire des montages Photoshop sympa comme ça…

Fin du Rp pour Wonder Eioth.

Et... Les choses s'arrêtèrent. D'un coup. Jub me signala que j'avais bien bossé, que c'était l'heure du goûter, mais avant, infirmerie. Infirmerie, dans ce merdier ? Je doutais fort qu'il y en ait une de disponible, sans vouloir la vexer...

Et je réalisai, d'un seul coup... C'était une simulation. Depuis le départ. Comment avais-je pu oublier ce détail pourtant élémentaire ? J'étais en plus une fille très pragmatique, avec vraiment les pieds sur terre... 'fin, je me forçais à l'être pour ne pas me laisser emballer par mes sentiments disons. Je faisais mon possible pour les contrôler au maximum. Ce n'était pas toujours une réussite, mais jusqu'ici, ça m'avait plutôt réussi. Plus ou moins, quoi. Ca m'avait évité de me dézinguer. Plus ou moins, quoi. Enfin... Tout ça pour dire que du coup, il était étonnant que je me laisse avoir par la simulation, aussi réaliste soit-elle. Je m'étais un brin laissée aller dans l'ambiance de destruction et de bordel ambiant, dirait-on. Mais au fond, ce n'était pas si étonnant que ça. Ce n'était pas "un brin" que je m'étais laissée aller, c'était carrément. Je voulais prouver que je n'avais peur de rien, que je pouvais y aller, que j'étais prête à tout, mais en chemin j'avais peut-être réalisé autre chose.

Ce moment de rage intense quand Cait' avait fini sous les décombres m'avait montré qu'en dépit de mes meilleurs efforts pour rester insensible et n'en avoir rien à foutre de personne, je pouvais encore m'attacher à quelqu'un. Je ne savais trop qu'en penser... D'un point de vue purement stratégique c'était un très gros problème. D'un point de vue purement personnel... C'était un très gros problème aussi. Toutes les personnes que j'avais un jour appréciées, que ce soit à un niveau amical ou non, avaient fini par se lasser. Passer à plus intéressant. Et chaque fois je devenais un petit peu plus une tête brûlée... Je savais donc objectivement que j'étais en train de prendre un risque, qui n'en valait peut-être pas la peine, mais pourtant... Que voulez-vous. C'est con un cerveau. Malgré le fait que mon sens logique me hurle "ALERTE !" et m'ordonne de prendre des vacances loin de toutes les personnes auxquelles je pourrais tenir un jour, l'autre partie de ma matière grise trouvait ça bien et avait hâte de voir la suite.

C'était le même combat que d'habitude, depuis que j'étais gamine. D'un côté une partie de moi qui ne veut qu'aller vers les autres, mais de l'autre, celle qui sait que ça va mal se finir pour moi. Et la dernière partie avait toujours eu raison en plus.
Je fus en tout cas interrompue dans ces pensées perturbantes par Jub', qui me ramassa comme si de rien n'était. P't'ain !? Mais elle pesait quoi, 30 kilos toute mouillée et elle arrivait à me soulever avec la jambe à moitié tranchée ? Si on espérait de moi que j'atteigne ce genre de capacité, c'était juste mort, quoi. Je voulais devenir X-woman, mais là je commençais à réaliser que je n'en avais très probablement pas la capacité... Et je me demandai ensuite jusqu'où je pourrais tenir. Il arriverait forcément un moment ou un autre où je heurterais un mur, un instant où le progrès n'est plus possible. Mon "cap", mon "plafond" d'utilité et/ou d'efficacité. Je résistais peu, je n'étais pas très forte, pas si agile que ça malgré ma voltige sur robot de tout à l'heure, je ne pouvais pas trop compter sur mes pouvoirs pour m'aider, et je n'étais pas une experte en tactique.

La question n'était donc plus "est-ce-que je veux faire partie des X-men ?", mais plutôt "en devenant un membre des X-men, vais-je les aider ou leur poser des problèmes parce que je sers à rien ?". La réflexion devenait plus... Bassement stratégique, disons. Pour comparer avec un plateau d'échecs, serais-je une reine, ou un pion casse-couilles qui bloque la tour et empêche de gagner la partie ?

Pour le moment en tout cas j'avais la dalle. Mais quelque chose de violent. Jub' ordonna à Danger d'arrêter la simulation et immédiatement tout se remit à tourner une nouvelle fois... Cette fois-ci, j'eus le réflexe de fermer les yeux histoire de ne pas encore gerber. Sans compter que miss Lee me disait explicitement qu'elle s'énerverait si je le faisais... Vomir sur les gens c'est rigolo dans Jackass mais ça s'arr... non en fait c'est même pas rigolo dans Jackass.

Totalement épuisée, je ne pus lâcher (mollement) que quelques mots :

« J'ai pas les fesses plates... bande de morues... »

Et ce fut sur ces termes, fort poétiques, que je finis à moitié dans les vapes, avec les ailes qui traînaient par terre, transportée par la naine jaune mais athlétique...

[Fin du RP de mon côté aussi !]

» Passation : Caitlyn Elioth [Caitlyn Elioth - Rachel Summers]
» Eleazard / Charles Brooks [validable] bizarre ? vous avez dit bizarre ? comme c'est bizarre !
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