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 Emilie Kenneth Part III Roots ( Pv Amy) . San Francisco

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Caitlyn Elioth
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Caitlyn Elioth


Messages : 1618
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MessageSujet: Emilie Kenneth Part III Roots ( Pv Amy) . San Francisco   Emilie Kenneth Part III  Roots ( Pv Amy) . San Francisco Icon_minitimeVen 22 Fév - 17:46





Rien qu'une journée idéale
A boire de la sangria dans le parc
Et plus tard, quand le nuit tombe, rentrer chez soi
Rien qu'une journée idéale
A nourrir les animaux du zoo
Plus tard, regarder un film et rentrer.

C'est une si belle journée
Je suis si heureux de la passer avec toi
Une journée si parfaite
Tu ne me laisses jamais seul
Tu ne me laisses jamais seul

Rien qu'une journée idéale
Tous les soucis ont disparus
Nos voyages pendant les weekend
C'est tellement amusant

Rien qu'une journée idéale
Avec toi je m'oublis
Je me prend a penser etre quelqu'un d'autre
Quelqu'un de bien

Tu n'as plus qu'à récolter ce que tu as semé

Le baiser fut donné sans d’autre forme demande, il coulait de source, de la source cristalline venant du cœur. A peine le temps de rattraper les brides de la réalité qu’elle lui signifiait un autre article qui semblait être un choix de ses gouts en un dernier assaut à l’abordage des trésors perdus de cette boutique.

Oh bien sûr ! Si c’était elle qui lui demandait, ses désirs étaient donc des ordres ! Elle lui répondit par un sourire en secouant la tête par l’affirmative et s’en alla en trottinant pour quérir cette fameuse robe, pourtant toute simple, que sa compagne lui avait désignée. A peine un tour de cabine pour l’essayage et un tour sur elle-même pour la faire virevolter, pieds nus et dans un rire cristallin, afin de mettre pleins d’étoiles dans les yeux sa belle italienne. Largement suffisant pour l’adopter et se précipiter vers la caisse avec leur butin sous le bras. Quel plaisir de céder à la folie de l’achat sans être obligé de compter chaque centime loin des calculs serrés du budget commun alors qu’elle s’était improvisée grande trésorière du ménage puisque du tendre aveu de la bouche même de sa jeune compagne elle était « la plus raisonnable des deux ». Mais elle n’était certainement pas la plus adulte des deux aujourd’hui puisque le soleil californien agissait sur elle comme le secret d’un élixir de jouvence lui ravivant l’innocence et la folie juvénile. Elle savourait chaque seconde, sortant de la boutique les bras encombrés de paquets et posant un instant l’un d’entre eux entre ses jambes pour chercher dans sa veste légère son étuis à lunettes et chausser des lunettes de soleil rondes aux carreaux bleue qui n’avaient à voir avec celle de Jubilée mais lui donnait indéniablement un petit air impie d'une autre époque, ça et son incroyable tignasse rousse légèrement ondulée et ébouriffée qu’elle portait à ce jour avec une certaine fierté. Elle termina sa préparation à affronter le trottoir de la belle ville par un baiser sonore sur les lèves de sa moitié avant de prendre sa marche à ses côtés, l’enlaçant comme un couple soudé d’amour l’un à l’autre malgré l’embarra de leurs charges.

Elle ne voyait pas la foule, elle sentait à peine le vent rafraichissant et pour dire, elle aurait volontiers souhaiter que ces moments durent éternellement si elle aurait trouvé la force de penser à autre chose qu’à la chance de se trouver en ce lieu pendu au bras de celle dont elle était éperdument amoureuse. La tête légèrement penché vers elle alors qu’elles voguaient vers le parking de YoungStreet au cœur de Downtown, elle lui murmura.

- C’est un des plus beaux jours de ma vie…sérieux…Promets-moi en pleins d’autres et je serais la plus heureuse des futures femmes mariées. On va déposer tout s’foutoir dans le coffre de la voiture et pis après…bah…on verra…Si tu veux, on peut zoner près de North Beach, c’est un quartier Italien, ça te fera des souvenirs. Et pis ce soir je t’emmènerais au Joplin, c’est un Piano Bar d’Upper…pas loin de Castro. C’est un endroit qu’je fréquentais peu de temps avant de partir quand j’étais… « plus pausée on va dire.

Le Programme fut respecté. Cait conduisait avec une dextérité assez incroyable, alternant anecdotes amusantes, sourires et rires et coups de gueule emportés envers les autres usagers de la route.

Emilie Kenneth Part III  Roots ( Pv Amy) . San Francisco Tumblr10

- Hé ho ! Flash info ! Les autres gens existent ! Connard ! Rhaa Touriste va !..Heu. Excuses moi Sweety…Bon on va garer l’tas d’boue dans le super market qui borde la limite. Bienvenue à Haight Ashbury là on est au cœur historique du quartier hippie tu vois…bon un peu plus bas t’as Lower Haight mais ca craint un peu…des metaleux et des junkies.. C’est plus c’que c’était y’a dix ans.

Et les revoilà plus libre en train d’arpenter les rues très colorées de Ashbury bordés de boutiques de fringues psychés, de bouquinistes et de disquaires. Cait continuait son parfait discours ayant acheté des glaces à un vendeur « à l’ancienne » et léchant avec malice une deux boules pistache- citron.

- Hum…C’est historique ici ! La zic est partout tu vois.. C’est chargé d’Histoire..Regarde… la maison des Grateful Dead se trouve au 710 Ashbury St., celle de Janis Joplin au 112 Lyon St., celle de Hendrix au 142 Central, un putain de pèlerinage, tu vois !
Hey tu regardes quoi..ho…je vois.


Emilie Kenneth Part III  Roots ( Pv Amy) . San Francisco Store_10

La devanture était assez explicite et tout en jetant un regard assez embarrassée, elle ne put s’empêcher de rougir légèrement en lui souriant timidement.

- Tu veux entrer ? Heu…si tu veux… tu t’souviens…moi..c’est…comment dire…j’y connais rien hein…j’ai jamais..cherché à plaire de ce coté là mais pour toi..je..bon…t’attends que je me transforme en tomate ou quoi.
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Amy de Lauro
Agent du BAM Gamma
Amy de Lauro


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Age : 29

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MessageSujet: Re: Emilie Kenneth Part III Roots ( Pv Amy) . San Francisco   Emilie Kenneth Part III  Roots ( Pv Amy) . San Francisco Icon_minitimeLun 4 Mar - 1:55

Elle n’eut même pas le temps de s’impatienter que le baiser venait déjà, avec naturel et l’assurance d’un geste mille fois répété et toujours aussi attendu, unique et merveilleux. Amy profita et signa, comme toujours, tentant de faire durer un peu plus le plaisir par un second baiser, même s’il ne devait dépasser le premier baiser.

A peine la robe fut-elle désignée qu’elles se mettaient déjà en mouvement pour aller s’en quérir, ensemble, après qu’en un magnifique sourire, Caitlyn ait opiné du chef. Elles trottinaient presque, l’italienne calquant son pas sur celui de son aimée, évitant les obstacles avec presque trop d’adresse sans lâcher Fuzzy.

Un baisé pour le plaisir des lèvres, et un tour en cabine d’essayage pour celui des yeux ! Un tour sur elle-même et un rire des plus magnifiques, ce fut ainsi que Caitlyn Emilie Elioth fit rêver l’italienne, qui s’immobilisa en un sourire admiratif alors qu’elle contemplait la première des ballerines en son cœur danser pieds nus pour elle. Dieu ce qu’elle aimait Caitlyn, Dieu ce que cette insouciance et cette innocence lui allaient bien ; s’il avait put en être ainsi pour l’éternité, si elles avaient put valser et rire comme venait de le faire son aimée, alors elles auraient trouvé un paradis dont les autres ne pouvaient même pas rêves. Les yeux brillants et le sourire aux lèvres, sans plus de pensées que son admiration et son amour pour la belle rousse, Amy voulut la rejoindre et lui prendre les mains pour entamer une valse avec elle, pour n’avoir d’autres préoccupation que ne se perdre dans son regard alors que leurs pas formaient une harmonie au son d’un orchestre invisible, comme dans les contes de fée ; mais elle n’osa jamais le faire, la présence de temps de monde, de ce chaos environnant, la bloquant.

Caitlyn enchaina de son pas de danse à la caisse, achetant leurs trouvailles en faisant fit des prix, dans une frénésie naïve et enfantine qui était bien trop rare en sa personne. Amaranth suivit simplement, sourire aux lèvres, heureuse d’être là, heureuse de la voir ainsi, ses pensées entièrement dirigées vers sa magnifique aimée et la joie qui rayonnait d’elle ; elle devait faire attention, sans quoi Fuzzy éclipserait le soleil. Tant mieux pour Nephilim, qui pouvait regarder ce dernier sans se bruler les yeux : elle pourrait regarder son étoile briller plus fort que toutes les autres, et ceux sans risquer de se consumer.

L’air du dehors, à nouveau, alors que Caitlyn prenait un instant pour se couvrir les yeux, Amy n’ayant besoin d’en faire de même alors que ses yeux s’habituaient aux changements lumineux avec une facilité déconcertante. Un baisé sonore, une signature discrète, puis elles s’enlacèrent et marchèrent comme une sur les trottoirs, indifférentes au monde et à leurs paquetages.

Son contact, son odeur, sa respiration, c’était enivrant et injectait de la joie dans le cœur même de l’italienne, qui ne pouvait s’empêcher de la regarder, soit franchement, soit de biais, soit par de rapides coups d’œil lorsqu’elle était sensée regarder devant-elle ; mais à quoi bon ? A quoi bon regarder devant elle alors que son aimée guidait leurs pas dans le bal de la vie qu’était San Francisco ? Pourquoi regarder le monde lorsqu’on trouvait tellement plus dans des yeux brillants ? Pourquoi se soucier du vent, si ce n’était quant il soulevait lentement les cheveux roux dans un souffle murmurant ? Pourquoi se soucier des bruits lorsqu’ils n’étaient que cacophonie là où un souffle et une voix chantaient l’amour ?

- C’est un des plus beaux jours de ma vie… sérieux… Promets-moi en pleins d’autres et je serais la plus heureuse des futures femmes mariées. On va déposer tout s’foutoir dans le coffre de la voiture et pis après… bah… on verra… Si tu veux, on peut zoner près de North Beach, c’est un quartier Italien, ça te fera des souvenirs. Et pis ce soir je t’emmènerais au Joplin, c’est un Piano Bar d’Upper… pas loin de Castro. C’est un endroit qu’je fréquentais peu de temps avant de partir quand j’étais… « plus pausée » on va dire.

- Je t’en promets pleins d’autres, autant qu’on pourra, mon cœur ; c’est également l’un des plus beaux jours de ma vie. J’aimerai qu’il puisse durer toujours, si tu savais…


La voix d’Amaranth mourut alors qu’elle levait les yeux au ciel, déployant ses membranes nictitantes pour faire face au soleil, à qui cette prière était adressée. Un seul instant lui suffit, puis le monde reprit ses couleurs et l’italienne détourna les yeux de l’ombre de Dieu, pour les poser sur son étoile à elle. Elle déposa, tout sourire, ses paquetages dans le coffre, et suivit Fuzzy en regardant le décor sans parvenir à arrêter son souhait ; le temps lui semblait si long, à New York, tendis qu’ici, il semblait lui filer entre les doigts comme l’eau qu’on tentait de retenir dans ses paumes, pleines d’arc-en-ciel disparaissant peu à peu.

Elle parlait, elle souriait et elle riait de bon cœur, les masques n’avaient pas leurs places ici, pas sur la côté est, pas face à Caitlyn ; elle était elle, qui qu’elle fut, quoi qu’elle fut, elle s’oublia dans cet océan d’amour et de bonheur. Une adolescente, une jeune femme, elle était heureuse de vivre, au plus proche de la normalité, au plus proche du bonheur. Au plus proche de son aimée qui conduisait avec une main étrangère sur la cuisse, mains qui caressait doucement à chaque arrêt à un feu.

- Hé ho ! Flash info ! Les autres gens existent ! Connard ! Rhaa Touriste va !..Heu. Excuses moi Sweety…

- T’inquiète, je suis pas touriste, je suis VIP, puisque t’es là,
rétorqua-t-elle immédiatement, tout sourire face à son aimée.

- Bon on va garer l’tas d’boue dans le super market qui borde la limite. Bienvenue à Haight Ashbury là on est au cœur historique du quartier hippie tu vois… bon un peu plus bas t’as Lower Haight mais ca craint un peu… des metaleux et des junkies… C’est plus c’que c’était y’a dix ans.

Pauvre Tas d’Boue, qui roulait encore bien et continuait de rendre de bons et loyaux services, pourquoi tant d’ingratitude ? Elle ne savait pas, mais ne défendrait pas sa cause contre son aimée ; s’il était décrété tas d’boue, c’était un tas d’boue. Un tas d’boue utile et respectable, mais un tas d’boue quant même.

Accrochées l’une à l’autre d’une main, un glace dans l’autre, à deux boules pour Caitlyn et à l’italienne pour Amy, elles avançaient légèrement, comme portées par leur amour, dans les rues du quartier. Nephilim enchainait avec sa vivacité surhumaine le paysage et son paysage, toujours souriante et à l’écoute.

- Hum… C’est historique ici ! La zic est partout tu vois… C’est chargé d’Histoire… Regarde… la maison des Grateful Dead se trouve au 710 Ashbury St., celle de Janis Joplin au 112 Lyon St., celle de Hendrix au 142 Central, un putain de pèlerinage, tu vois !

Grateful Dead, inconnu(s) au bataillon ; Janis Joplin, idem. Hendrix, Jimi : guitariste, auteur-compositeur et chanteur américain, fondateur du célèbre groupe anglo-américain The Jimi Hendrix Experience, actif de 1966 à 1970. De son vrai nom Johnny Allen Hendrix, né le 27/11/1942 à Seattle et mort le 18 Septembre 1970 à Londres, il était considéré comme l’un des musiciens les plus novateurs du XXe siècle, notamment en raison de son approche révolutionnaire de la guitare électrique et des techniques d’enregistrement en studio. Hendrix avait la particularité d’être un guitariste gaucher, mais de jouer sur une guitare de droitier, après avoir remonté ses cordes conformément à cette inversion. Improvisateur sortant des sentiers battus, son influence dépassait largement le cadre de la musique rock ; la plupart des styles musicaux qui se développèrent dans les années 1970 reprirent certains éléments de sa musique. C’était à peu près ce que l’italienne se souvenait de lui. Enfin un qu’elle connaissait !

Se stoppant un instant sur une devanture, Amy l’analysa rapidement, faisant appel aux souvenirs d’Emma Frost pour juger de la qualité de la boutique qui leur faisait face.

- Hey tu regardes quoi… ho… je vois.

Amy retourna son visage vers celui de Caitlyn, son sourire s’estompant face à l’embarrât de son aimée.

- Tu veux entrer ? Heu… si tu veux… tu t’souviens… moi… c’est… comment dire… j’y connais rien hein… j’ai jamais… cherché à plaire de ce coté là mais pour toi… je… bon… t’attends que je me transforme en tomate ou quoi.

Un baisé sur les lèvres en guise de toute réponse, mélangeant les aromes du citron, de la pistache et de la fraise sur leurs lèvres, puis une nouvelle signature, avant qu’elle ne lui fasse face, la regardant en penchant la tête sur le côté, pour capter ses yeux.

- J’ai jamais fait cela non plus, t’inquiète pas, enfin, physiquement parlant. Cette boutique est bien trop sage, pour se que j’avais en tête, mais si t’as du mal avec l’idée, on y va pas ; t’as pas à faire cela pour me plaire, c’est juste de la fantaisie. Emoustiller la libido plus qu’elle ne l’est déjà, et tu sais combien ça marche sur moi. Tu te souviens la tenue d’infirmière ? C’est dans le même ordre d’idée, sauf que cette fois, on choisira l’une pour l’autre. J’ai déjà un peu repéré alors qu’on flânait hier aprèm’ ; j’ai une boutique plus « hot », si tu veux on y va une fois qu’on a fini la visite d’Haight Ashbury. Si mes capacités de localisations sont bonnes, il suffit de reprendre 17th St, puis de suivre Market St jusqu’à Kearny St et là c’est la première à droite. Entre Mission et North Beach, j’ai repéré cela quant on était dans le Financial District, avant-hier. Aricie Lingerie, c’est dans la Crocker Galleria, enfin, je crois.

Ne pas montrer trop d’assurance, car la chose pouvait ainsi paraitre importante ; le fait qu’elle s’en souvienne parfaitement n’avait pas trait à une importance particulière de la chose à ses yeux, mais juste à une capacité à faire appel à ses souvenirs de façon eidétique ; sa mémoire était absolue, encore un trait de sa mutation.

- Je veux pas te forcer, un mot, et on y va pas ; t’as le choix. Il y a plein d’autres trucs à faire ici, et tant qu’on est ensemble, c’est le principal. J’attends tes directives, mon cœur ; qu'est-ce que tu veux me faire découvrir ?

Elle était aussi souriante et joviale, et parfaitement sincère ; oui, elle avait des idées et des envies pour cet après-midi, mais la première et primordiale d'entre elles étaient d'être avec Caitlyn, et de partager bonheur et joie de vivre. Qu'importaient ce qu'elles faisaient, tant qu'elles le faisaient toutes les deux.
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Caitlyn Elioth
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Caitlyn Elioth


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MessageSujet: Re: Emilie Kenneth Part III Roots ( Pv Amy) . San Francisco   Emilie Kenneth Part III  Roots ( Pv Amy) . San Francisco Icon_minitimeLun 4 Mar - 21:29