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 Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony]

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Maeva N. Hunter
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Maeva N. Hunter


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MessageSujet: Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony]   Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony] Icon_minitimeLun 15 Avr - 9:52

Septembre 2012


    Parfois, on est juste trop con.
    C'était exactement ce que je me disais ce matin alors que ça faisait deux bonne minutes que je tournais ma cuillère dans mon café, la tête retenue par mon autre main qui soutenait ma tempe douloureuse …
    Un vrai déchet, une troche de cadavre, limite prête à pouvoir servir de figurante pour un film de série B sur une invasion de zombie. Même pas besoin de maquillage, ma gueule de déterrée collait tout à fait au rôle. Une tête tout juste réveillée, des grosses cernes, des cheveux en batailles que j'avais eu la flemme de peigner après ma douche, une mine de mort-vivant …
    Et oui, une putain de gueule de bois.


    Hier, j'avais profité d'une de mes perms pour aller en boite de nuit.
    Résultat, après deux-trois cocktails, des paris débiles, un jeu de take-paf, et quelques shooters et autres verres cul-sec plus tard, je m'étais retrouvé dans les bras d'un mec dont je ne connaissais même pas le nom, à le galocher généreusement et à la limite de la décence avant qu'il ne me ramène chez lui, dans un appartement un peu minable où je ne me souvenais plus de la fin de la nuit même si je me doutais trèèèès bien ce qu'il avait pu m'arriver. Surtout après avoir constaté de ma tenue … ou non-tenue, de celle du mec, et surtout de ce qu'il trouvait à côté du lit …
    Et tout ça dans la même nuit.
    Je n'avais émergée qu'à six heures du matin, chez lui, éveillée par je ne sais quoi mais certainement pas mon alarme. J'avais quitté ses bras, ses draps et avait aussitôt été prendre une douche pour retirer son odeur de moi.
    Et sans plus de civilité, je m'étais casée, avais été récupérer ma moto pour ensuite conduire jusqu'au Triskelion ou j'avais repris une douche car je sentais encore sa ''trace'' sur moi.

    Après avoir passé une heure sous la flotte, à frictionner mon corps jusqu'à le faire rougir, j'en étais sortir pour m'habiller vite fait, les cheveux encore un peu humide.
    Tenue pas compliqué : un pantalon noir, long, un peu patte d'ef, avec quelques laçages noir au niveau des fesses et des cuisses ainsi qu'un chemiser au-dessus duquel j'avais mis un serre-taille noir avec des cerises pour me faire soutenir et pas avoir trop l'air d'une loque. C'était peu probant mais bon, je me tenais relativement droite au final, donc c'était pas si mal.
    Putain de soirée de merde …
    J'étais presque seule dans la salle avec mon café, il était encore tôt au final, les autres arriveraient pas avant une bonne demie-heure, ça me suffirait peut être à remettre un peu en place le bordel qui tournait dans ma tête.
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MessageSujet: Re: Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony]   Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony] Icon_minitimeVen 19 Avr - 21:03

Marchant d’un pas nonchalant dans les couloirs du BAM, je sirotais avec délice des gorgées réconfortantes du café que j’avais acheté quelques minutes auparavant. Saluant au passage quelques-uns de mes collègues je souriais intérieurement, songeant que la vue du psy de service au teint blafard portant à la main un grand gobelet de café venant de l’extérieur ne devait pas sembler du plus bel effet. Bien sûr que j’aurais pu passer commande directement à la cafeteria mais la simple idée d’être infidèle au café d’Antonio auquel j’étais addict depuis trois ans était à mes yeux un crime impardonnable. Cet expresso avait été un compagnon de route inestimable durant mes longues nuits d’insomnie !

Je n’avais jamais été un gros dormeur ! Ce phénomène était sans doute dû à ma mutation. Difficile de fermer l’œil quand les seuls rêves qui se présentent à vous amènent avec eux leur bagage de visions morbides et fantomatiques. Durant des années, j’avais supporté leur cohabitation, tentant de me convaincre que le bordel qu’ils provoquaient dans mon esprit serrait un jour balayé par un simple coup de vent! Je relativiser les choses, après tout je n’avais à partager mon quotidien avec eux que 3 à 4 heures par nuit, ce n’était pas la fin du monde. Cependant plus les années passaient, plus ce phénomène prenait de l’ascendance sur moi, asseyant leur autorité en m’offrant des visions cauchemardesques après les morts de Frank et d’Isabelle.

Ne supportant plus les caprices de ce compagnon nocturne, j’avais pris mes cliques et mes claques pour convoler en justes noces avec mon breuvage caféiné favoris. Je me délectais des plaisirs coupables qu’il m’offrait sous des couvertures de nuits blanches. Je ne me consacrais à mes visions qu’une à deux heures par nuit afin de ne pas les laisser trop seules.

A quoi occupais-je mes nuits ? Principalement à dévorer des ouvrages juridiques sur la garde d’enfant. Depuis mon arrivée au BAM une seule chose m’obsédait ; récupérer la garde de Carrie. J’aurais pu donner tout ce que je possédais pour voir ma petite puce de 10 ans courir dans l’appartement, pour pouvoir l’entendre rire et s’amuser de mes blagues idiotes, simplement pour pouvoir sentir sa présence rassurante auprès de moi et pour la regarder dormir dans cette petite chambre désespérément vide dans laquelle je passais la plupart de mes nuits à imaginer les moments de bonheur que je passerais avec elle. Mais pour ce faire, il me faudrait attendre. Attendre que ma vie professionnelle et personnelle se stabilise enfin, attendre que les juges aient de quoi statuer en ma faveur, attendre que ma belle-sœur qui avait la garde de ma fille daigne répondre à mes nombreux coups de fils. Attendre… comme si c’était si simple !

Emergeant avec douceurs de mes rêveries, je pénétrais dans la cafeteria déserte ou seuls quelques courageux y avaient trouvés refuge. J’appréciais ces moments de calme matinaux qui me permettaient de tisser des liens avec mes nouveaux compagnons d’arme. Parmi les agents qui prenaient leur petit-déjeuner, j’aperçus une jeune femme âgée d’une vingtaine d’années que je n’avais jamais eu le plaisir de croiser auparavant. La demoiselle aux cheveux rouges était penchée sur sa tasse de café qui semblait être la seule à pouvoir la maintenir éveillée en cet instant. Piqué par la curiosité, je m’approchais de sa table, découvrant à chaque pas les détails du visage de ma jeune collaboratrice. Le teint blafard, les vitreux et entourés par des cernes profondes, elle était perdue dans ses pensées, des paradis artificiels sans doute provoqués par l’ivresse et les démons de minuit.

Poussant l’audace jusqu’à oser lui adresser la parole, je tentais une approche neutre dans l’espoir de la voir réceptive à mes propos. Laissant apparaître un large sourire amusé je déclarais alors


Soirée difficile, hein ?
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Maeva N. Hunter
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MessageSujet: Re: Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony]   Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony] Icon_minitimeMar 23 Avr - 22:39



    Le seul bruit que je t'entendais à cet instant, c'était celui que faisait la petite cuillère en frappant à intervalle réguliers les bords de la tasse. Déconnectée ? Nooon …. enfin si, carrément. Je réfléchissais. Ou plutôt, jouais à qui est qui dans ma tête en tentant de me remémorer ma soirée d'hier. Les visages, les instants, tout ça était comme flouté, sûrement par les quelques mélanges de la veille. Bordel, pourtant, je savais bien qu'il ne fallait pas mélanger les alcools. Et je l'avais fais, et je payais chèrement ça maintenant. La looooooooose totale. J'avais envie de me pendre. Et presque avec envie, je regardais le lacet de ma chaussure en pensant à nouveau, comme le premier jours de boulot, qu'il serait surement bientôt mon meilleur ami. Limite s'il me disait pas « Allez, ce serait rapide, et tu pourras pioncer en paix »
    Mais non, je luttais contre ses avances et refaisais le puzzle de cette soirée. Sauf qu'en plus du fait qu'il soit de plus d'un millier de pièce, il devait m'en manquait plus de la moitié. Super manière de commencer une journée, avant une gueule de bois …

    Je ne serais dire si c'était cette odeur d'expresso un peu zarb, son odeur d'homme ou encore sa voix, mais un peu trop brusquement à mon goût, je sortis de mes pensées et un peu péniblement, levais les yeux vers la stature qui, tant mieux d'ailleurs, cachait le néon qui m'aggressait les yeux depuis près de dix minutes. Mes lunettes de soleil … je préférais pas savoir ou j'avais bien pu les paumer hier …
    un vieux … c'est la première pensée qui traversa mon esprit en le voyant. Il semblait pas beaucoup plus réveillé que moi, ayant des cernes aussi, et une tête blanche à faire pâlir de jalousie Marilyn Manson … qui a déjà une gueule d'enfariné en fait. Au pire, ils pourront s'en faire un combat de maquillage, histoire de me laisser émerger en douceur.


    Soirée difficile, hein ?


    Sans un sourire, toujours avec ma tête de trois pieds de long, je lui répondis un peu sec :


    -Geeeenre, comment t'as deviné Papy ?

    C'était un peu méchant, mais j'étais pas d'humeur. Le ton était méchant, pas les mots, ce n'est qu'après les avoir dit que je me rendis compte qu'il pouvait mal prendre le ''Papy''. J'avais toujours dis ça quand je voyais des personnes bien plus âgé que moi, comme une sorte de surnom affectif. C'était pas pour rien que Daniel, je l'appelais pour moi-même ''Papy chieur''. Mais là sans le vouloir, je m'étais peut être déjà fait à nouveau détester. Youpi, une nouvelle personne qui voudrait me foutre sur la gueule. Dès huit heures du mat, j'suis au taquet moi. Un peu malgré moi, et histoire de pas le compter en plus à ceux à qui ma gueule revenaient pas des masses, je m'excusais.


    -Le prends pas mal Papy, mais j'ai passé surtout une soirée de merde, et j'ai pas encore les idées claires ... j'en suis même loin … alors l'humour, les seconds sens ou l'ironie, bien que j'adore les pratiquer, ils passeront pas ce matin.

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MessageSujet: Re: Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony]   Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony] Icon_minitimeLun 29 Avr - 6:17

Honnêtement je ne savais pas très bien ce qui avait pu m’attirer vers elle. Était-ce ma promptitude naturelle à vouloir aider quelqu’un dans le besoin ? Cette habitude tenace à vouloir me rapprocher de ceux qu’une mauvaise action plongeait dans une position maladroite et inappropriée ? Si j’avais voulu me rapprocher d’elle c’était peut-être tout simplement parce qu’elle me faisait penser à une autre jeune femme de son âge que j’aimais profondément; la « petite » Katherine. Combien de fois m’étais-je retrouvé dans l'appartement de Kate pour attendre qu’elle ait fini de dessaouler, pour aller jusqu'à lui tenir les cheveux au-dessus de la cuvette des toilettes pour qu'elle puisse vomir? Je n’étais pas fier d'elle lors de ces soirées, vraiment pas. Mais comment aurais-je pu combattre la volonté farouche d’une gamine qui tentait d'éloigner cette saloperie de réalité qui lui rappelait sans cesse la mort de son frère, de sa seule famille ? La mort de Frank avait poussé l’adolescente à faire des bêtises qu’elle regrettait aujourd'hui et contre lesquelles elle s’était courageusement battue...

Je ne connaissais encore rien de la jeune femme qui se tenait devant moi. Je n’étais pas là pour lui faire la morale, je n’avais aucun droit de le faire d’ailleurs. Je me contentais simplement de rester devant elle, sans tenter de la juger ou d’analyser ce qui se passait dans sa jeune tête embrumée.
-Geeeenre, comment t'as deviné Papy ?

La première des remarques de ma collègue me fit étrangement sourire. En un éclair, elle m’avait ramené à une réalité qui me faisait froid dans le dos. J’avais oublié que, passer un certain cap de l’existence, les jeunes ne pouvaient plus nous considérer que comme des personnes âgées. Mais je ne m’en formalisais pas. Ces paroles n’avaient pas été prononcées avec méchanceté. Je pris plus attention à la seconde de ces remarques.
-Le prends pas mal Papy, mais j'ai passé surtout une soirée de merde, et j'ai pas encore les idées claires ... j'en suis même loin … alors l'humour, les seconds sens ou l'ironie, bien que j'adore les pratiquer, ils passeront pas ce matin.

Je lui adressais alors un léger signe de la tête pour lui faire comprendre que j’avais bien saisis le message

- Excuse-moi c’est vrai que j’aurais pu me passer de faire ce genre de blagues. Mais que veux-tu, je suis bien loin des soirées de ma prime jeunesse.

Sans ajouter un mot, je jetais un œil vers une des chaise posée devant la table. Désireux de pouvoir connaître un peu plus sur ma jeune collaboratrice, je voulu vérifier si elle était prête à me laisser rentrer dans cette bulle qu’elle s’était crée. J'adopterais mes conduite en conséquence.

- Tu permets que je m’asseye ?
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MessageSujet: Re: Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony]   Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony] Icon_minitimeDim 12 Mai - 22:33



    Il avait un peu l'air déconnecté le papy, un peu avant que je ne parle et qu'il se mette simplement à sourire. Pourquoi ? Je posais pas la question, parce que je ne pensais pas avoir le niveau de neurones nécessaire à ça de toute façon. Il était spé, moi, j'avais la gueule de bois, fin de l'histoire.
    Pourtant, il semblait pas s'offusquer. Il souriait, et me fit simplement un signe de bois. Putain les mecs bien, ça existait encore ! Intérieurement, j'adressais un remerciement à je ne sais quelle divinité avant de l'entendre parler à nouveau.


    - Excuse-moi c’est vrai que j’aurais pu me passer de faire ce genre de blagues. Mais que veux-tu, je suis bien loin des soirées de ma prime jeunesse.

    Ah, et en plus avec de l'humour. Mon dieu, ça existait encore les hommes parfaits ! Je souriais, toujours la tête dans le pâté C'était carrément la dèche ce matin. Il allait se régaler Daniel. J'allais sûrement avoir droit à tous plein de mots doux, Papy Chieur était le pro pour ça.

    - Tu permets que je m’asseye ?


    -Hein ?

    Je jetais un coup d’œil autour de nous. À part une nana pas loin et un mec à l'autre bout de la salle, il n'y avait personne. Et je relevais les yeux vers lui, avec un semi-sourire, à la fois amusé et pas convaincant.

    -Bah, si tu vois pas de place à côté, je t'en prie. La cafet est bombé à cette heure là.

    Puis, un peu plus sérieusement, je lui dis.


    -Nan, mais va-y, assis-toi, pas de problème. Excuse-moi, j'suis pas comme ça d'habitude, mais là, j'ai pris cher dans la soirée. Et du coup j'ai tendance à montrer les dents plus rapidement que d'ordinaire. Mais promis, j’agresse plus, je range croc et griffes, et t'invite chaleureusement à t'asseoir sur mon domaine qui est cette table.

    Bon, j'en faisais peut être un peu des caisses mais c'était un peu comme ça, je calculais rien du tout. Du moins, ce matin, encore moins que je ne le faisais avant. J'attendis qu'il s'assit avant de lui tendre ma main.


    -Au fait, Moi c'est Maeva, Maeva Neera. Et toi ?

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MessageSujet: Re: Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony]   Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony] Icon_minitimeVen 5 Juil - 18:51

La jeune femme répondit à ma remarque avec beaucoup d’humour agrémenté d’un sens de l’ironie des plus corrosifs.

-Bah, si tu vois pas de place à côté, je t'en prie. La cafet est bombé à cette heure-là.

Ayant obtenu l’autorisation de ma jeune collègue je posais le gobelet de café sur la table et m’assis ensuite. Tout en écoutant avec attention chacun de ses propos, je souris à ces quelques métaphores que j’appréciais tout particulièrement. Ne désirant pas reproduire ma première erreur, je m’abstiens de lancer quelques réplique cinglantes supplémentaires et préféra féliciter la jeune femme pour sa promptitude à répondre à ses devoirs professionnels.

- Tu as passé une soirée difficile dis-tu ? Pourtant tu es une des premières à avoir répondu à l’appel ce matin. Ta conscience professionnelle est tout à fait remarquable. Tes supérieurs doivent être de véritables tortionnaires pour que tu te prives de quelques heures de sommeil supplémentaires…

Jetant un regard dédaigneux vers la tasse de café reposant devant la demoiselle, je rajoutais après quelques secondes

- Surtout si ce café est le seul soutien qui te permet de tenir le coup !

Maeva se présenta alors tout en me tendant sa main que je saisis chaleureusement.

- Ravi de faire ta connaissance Maeva, je m’appelle Tony Cooper. Je suis arrivé au BAM il y a un peu plus d’un mois. C’est la première fois que je te vois ici. Dis-moi, si ce n’est pas trop indiscret, dans quel département travailles-tu ?

Attendant que la jeune femme me réponde, je reposais un instant mon attention vers le gobelet de plastique posé devant moi et bu quelques gorgées de l’exquis breuvage dont je ne pouvais me passer.
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MessageSujet: Re: Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony]   Gueule de bois, quand tu nous tiens ... [Anthony] Icon_minitime

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