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 toi tu dis que t'es bien sans moi (PV Aaron Gordon)

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MessageSujet: toi tu dis que t'es bien sans moi (PV Aaron Gordon)   toi tu dis que t'es bien sans moi (PV Aaron Gordon) Icon_minitimeSam 18 Aoû - 19:02

Aujourd’hui, pas de meurtres, pas de costume rouge, pas d'utilisation de pouvoirs, rien que le souffle du vent sur le visage du jeune homme qui se promenait les mains dans les poches dans le centre de New-York, en direction de Central Park, un endroit naturel réputé pour sa verdure et ses rencontres improbables. Il avait sans doute besoin de calme, de silence et aussi d'être seul. Ce n'était surement pas son habitude de cohabiter avec des adolescents tous aussi bêtes les uns que les autres. Au sein de la Confrérie, il partageait son dortoir avec plusieurs autres garçons qui commençaient sérieusement à lui taper sur les nerfs. Malheureusement, le règlement intérieur interdisait toute sorte de violence, alors Flynn serrait les dents, maudissant le jour où ce commandement avait fait son apparition. Étrangler ses camarades sonnait merveilleusement à son oreille. Toujours dans ses pensées, le garçon releva la tête, observant avec indifférence le vol des oiseaux et des canards qui cancanaient insupportablement à ses oreilles. Il se concentra avant de tous les assommer, un petit sourire sur le visage. Les oiseaux, abattus par une masse de plusieurs dizaines de kilogrammes, s’effondrèrent sur le coup. Violent et inutile ? Sans doute. Mais animaux ou humains, c'était du pareil au même. Ses pas le portèrent près d'un banc ombragé sur lequel il s'installa, respirant l'air chaud de ce mois d’Août caniculaire. La chaleur lui plaisait parce que généralement, la majorité des gens préféraient se calfeutrer chez eux pour éviter de subir les assauts incessants d'un soleil rendu brûlant par la pollution ambiante. Un jogger trottina devant lui, arborant une cigarette dans le creux de ses lèvres. Flynn soupira, se maudissant d’avoir oublié son paquet de clopes chez lui. Celui du type dépassait légèrement de sa poche arrière, poche qu'il décida de fouiller avec une main télékinétique. Il rapporta son butin près de lui avant de sortir une cigarette dans l'optique de l'allumer. « Putain... » Bien entendu, il n'avait pas prévu de cigarettes alors il n'avait pas de feu. Il leva les épaules avant de remarquer un briquet par terre, non loin de lui. Superbe journée en perspective. Il était seize heure et tout s'annonçait pour le mieux. Flynn se leva promptement, se penchant légèrement pour récupérer le briquet puis reposa ses fesses sur le banc, allumant avec joie sa clope. Il tira une grande bouffée avant de souffler la fumée, son cerveau se nourrissant avec délectation de cette drogue si douce. Il rangea le paquet du jogger dans sa poche et observa les alentours, posant ses yeux sur un couple allongé non loin de lui. Manquait plus que ça. Depuis le meurtre accidentel de son ex petite-amie, il ne supportait plus de voir ces sourires idiots s'installer sur le visage de tous ces connards d'amoureux. Il n'avait maintenant qu'une idée en tête, faire de leur vie un enfer et faire de son mieux pour les dégoûter. Malheureusement, il comprenait ce sentiment d'abandon quand quelqu'un était amoureux. Il avait été pareil à l'époque, complètement obnubilé par cette fille, la première en fait. Ensuite, les évènements s'étaient enchaînés. Flynn s'en voulait tellement. Il s'en voulait de l'avoir trompé et surtout, il s'en voulait de l'avoir tué. Ce n'était qu'un accident mais il ne pouvait plus se permettre de reprendre le risque de retomber amoureux. C'était impossible. Bien trop dangereux. Le jeune homme baissa la tête, laissant une larme couler sur sa joue. Il détestait pleurer. Ce n'était pas une fille, pas une tapette et il n'avait pas le droit de la pleurer. Il avait perdu ce droit quand elle était morte. « Putain de merde... Même morte tu continues de me faire chier. » La cigarette se consumait, sans lèvres pour absorber son délicieux venin. Flynn la reporta à sa bouche, tirant dessus avec l'énergie du désespoir.
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MessageSujet: Re: toi tu dis que t'es bien sans moi (PV Aaron Gordon)   toi tu dis que t'es bien sans moi (PV Aaron Gordon) Icon_minitimeSam 22 Sep - 0:54

En ce jour où le soleil frappait nos peaux froidit par la température qui avait eu du mal a grimper, les gens étaient maintenant timide de se montrer par cette chaleur. Les demoiselles avaient-elles peur de nous montrer de nouveaux leur gambettes et nous taquiner avec leur decolleter plongeant ? En tout cas, moi je les trouvais plus vulgaire qu'attirante mais ça, c'était chacun nos gouts non? Tout ça pour dire que je trouvais qu'on avait un temps merveilleux pour resortir l'appareil photo pour de sublime clichés de notre cher jardin qui ne peut etre autre que Central Park. Après m'être un peu plus normalement qu'en tenue de travail, j'attape mon sac avec l'appareil et me dirige vers notre jardin bien aimé.
Arrivé là, je commence directement mes prises de vues immortalisées. Des arbres, des passants, un morceau d'écosse, une partie des jardins enfin tout ce qui ne pouvais échapper a ma vue. Arrivé à une intersection, je vis un phénomène étrange qui ne m'échappait pas, un regroupement de petits oiseaux morts, avec un aspect plutot bizzare je dirais. Je les pris en photos pour pouvoir mieux les examiner plus tard et repris ma route. Sur un coin d'herbe je vis un couple de jeune gens et ne pu m'empêcher de les photographier. Leur amour, leur jeunesse, leur ignorance face aux terreurs de la vie. Je m'acroupis pour être face à eux pour prendre quelques images pour les immortalisées quand j'entendis la voix d'un jeune homme qui parlait seul je pense, car je n'entendis aucune réponse.

« Putain de merde... Même morte tu continues de me faire chier. »

Je n'appréciais pas ce genre de phrase surtout sur le dos d'une defunte. Alors ni une ni deux, j'alla à sa recherche. C'était un jeune homme de taille élancée, brun cheveux en bataille.

" Excusez-moi jeune homme, je suis désolé de vous accoster de la sorte et surtout d'avoir entendu votre exclamation mais comment pouvez vous parler de la sorte d'une demoiselle décédée. Certes je ne vous connais pas ni elle, mais vous pourriez avoir du respect non ? "

Oui, j'étais hors de moi mais comment avait-il pu ? Je donnerai n'importe quoi pour revoir ma mère qui, malheureusement est morte dans un accident de voiture. Mon père aussi me manque énormement .... La pendaison n'est pas une mort douce et ça m'avais choqué et cela perturbe encore mes nuits entrecouper de cauchemard. Non, je ne pouvais vraiment pas laisser ce type insulté la mémoire d'une morte de la sorte.

Je le vis rapidement essuyer une larme qui coulait de ses yeux couleur noisettes et rougis par ces larmes qu'il avait laisser échapper. Je pensais comprendre et je m'en voulu aussitôt. Il semblait tenir à elle (même si ces propos était clair malgré tout) et paraissait s'en vouloir, comme moi en fait.
Je ne savais plus quoi faire, j'étais honteux et restais pétrifié devant lui, attendant qu'il m'engueule. Car en vue de ses propos, je compris qu'il n'était pas du genre sympathique...
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