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 Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham)

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MessageSujet: Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham)   Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham) Icon_minitimeJeu 20 Fév - 22:22

25 octobre 2013


Dehors, la pluie tombait sans relache depuis deux jours, deux jours que mes petits frères dormaient avec moi pour ne pas avoir froid le soir.  Deux jours que Vitaly n'avait pas causer de carnage, tant mieux comme on dit, personnellement, Je veillais sur ex comme si ils étaient mes propres enfants, quel chances que je puisse prendre soin d'eux. Les jours de pluie, je leur racontai généralement différente histoire. Vitaly avait peut être vingt ans, il était accro à mes histoire. Il avait cette lueur dans les yeux, celle qui disait "fais moi rêvé, je veux oublier".

Mais malgré la pluie, je ne suis pas avec eux, je suis ici avec pour seule compagnie la pluie et les livres. Oui oui des livres, vous ne rêvez pas, je suis bien à la New York Public Library, entouré de différent bouquin sur l'architecture de l'immeuble où ma cible se trouvait. Ha ben oui, je suis pas ici rien que pour lire, je suis ici avant tout pour mieux aborder ma cible. et donc par extension, comment l'assassiner sans être inquiété et si je me faisait voir, il me fallait un plan de fuite. Quel dommage que cet homme soit allergique au poils de créature canin nommé le chien, et donc le loup.

Attendez, 1200$ avec une avance de 600$  pour que le mec crève, bon dieu je bénis les épouses désespérés. On a toujours un terrain d'entente. C'est donc pour assassiner un mari infidèle et adepte des prostitués comme m'ont rapporté les filles de joies, que je me trouvais dans la The bibliothèque.

Sur la table devant moi se trouvait Les livres sur l'architecture de l'Upper East Side, ainsi que différent plans avec quelques carnets de photographie pour avoir de nouveaux point de vue. Mon sac était posé négligemment sur la table ou se trouvait le dossier de ma cible, ses hobbys et ses habitudes, ses folies et ses comportement vraiment étrange. Par étrange, je parle pas de touchait le bois de chaque arbre, non  je parle de truc franchement dégueulasse qui m'a fait frémir et qui a dégoûté Suljo et pourtant il faut le faire pour le dégoûté. Mais quand vous découvrait que votre cible à un sérieux complexe d’œdipe au point de dormir avec un sous-vêtement de sa maman, je suis désolé, mais c'est écoeurant.

Donc... Ha oui, mes livres. Des livres d'architecture et autres trônaient, mais en observant bien, on pouvait voir qu'il y avait une pile de livres sans aucun rapport. Un rapport de psychologie ben sur Oedipe hein ? Oui ça me traumatise le fait que ma cible soit ainsi, ben ouais ça me choque, un roman de Sir Conan Doyle et enfin, les contes de Grimm pour mes terreurs. ils préfèrent Grimm que Anderson, comme quoi plus c'est trash mieux c'est. Et enfin des témoignages d'Afghanistan. La guerre ne vous quitte jamais, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai encore mes plaques militaires autour du cou. Elles me rappellent qui j'étais par le passé et ce que j'ai pus faire qui mérite ma vie telle qu'elle est maintenant.

Je vérifiai autour de moi avant de m'étirer en laissant mes oreilles de loups apparaître avant de les cacher de nouveau dans ma chevelure, c'est d'ailleurs pour ça que je n'ai pas quitté mon manteau.La queue de loup ben voilà c'est ça qui choque vraiment? Les oreilles ça passe mais la queue de loup... c'est moyen... On est d'accord. Je repart à la recherche de bouquin sur le east side, le quartier des riche qui paye pas toujours bien.

Je me dégourdi les jambes en cherchant le dernier livre, dans le cas présent, une vision aérienne du quartier. Je levai la tête vers l'emplacement du livre. J'avais beau avoir mes bottes militaires... J'avais pas la taille requise pour avoir le bouquin... Ha non... Pas ça ... Je tente de sauté pour attrapé mon livre en vain.
Je me met à pesté face à ses livres pour les grandes tailles et le fait que je puisse pas me métamorphosé sans finir à poils. Ouais contrecoup de la mutation au plaisir de ses dames. Mais qu'est-ce que je raconte ? Bon mon livre.

C'est ainsi que vous pouvez voir un jeune homme entrain de sauté comme un dératé pour un stupide bouquin


Dernière édition par Silke Sambre le Ven 21 Fév - 18:44, édité 1 fois
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Abraham Blackwood
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MessageSujet: Re: Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham)   Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham) Icon_minitimeVen 21 Fév - 10:44

Abraham n’était plus du genre à se soucier du temps qu’il faisait dehors, même quand il avait quelque chose à y faire. Il s’en foutait, en général, bien royalement. Les seules fois où il daignait le faire, c’était lorsqu’il partait en vacances en famille ou qu’il avait une mission de planifiée. Nettement moins confortable de faire du shopping sous la pluie et courir dans la boue était plus compliqué que sur un sol sec. Sans parler des empreintes laissées … Les deux exceptions n’ayant plus vraiment de raisons d’être maintenant … il s’en foutait donc de plus en plus. Aller faire son jogging sous la pluie ? Aucun souci. Il revenait tout mouillé mais aller à la piscine avait le même effet.
Autant, la veille, il s’était fait surprendre par le changement de temps au tout début de sa course. Il avait haussé les épaules d’un air fataliste avant de continuer. Qu’il soit trempé au retour ne changeait rien puisqu’il le serait aussi sous la douche. Et faire sécher des fringues n’avait rien de foncièrement dramatique. L’inconfort pendant son jogging à la rigueur … mais il avait vécu bien pire alors il savait relativiser. Seulement, il ne tenait pas spécialement à tomber malade non plus. Aujourd’hui … il avait regardé les gouttes tomber, comme elles le faisaient depuis 24h sans discontinuité, depuis la baie vitrée de son salon. Il avait émis un bref soupir puis il avait décidé de passer à autre chose en s’étirant.

Quitte à être bloqué à l’intérieur pour l’instant, autant s’occuper. Il avait jeté un œil à son appartement, estimant ce qui était prioritaire. Rien n’était urgent puisqu’il entretenait son bien régulièrement comme ses parents le lui avaient appris, eux pour qui ce genre d’activités, tout comme le repassage ou la vaisselle, était une histoire de couple. Il se souvenait parfaitement de ce que sa mère lui disait quand il était plus jeune : « Nous ne serons pas éternels et tu dois apprendre à faire les choses par toi-même. Même des choses aussi simples que de savoir comment tenir une maison. Et que si tu te maries, arrête de faire la grimace comme ça, ta moitié ne sera pas là pour ça. Elle partagera ta vie. Tu comprends Bee ? Elle sera ton égal et non un domestique à qui l’on ordonne de faire les tâches qui nous déplaisent … comme sortir les poubelles en ce qui te concerne. Et puis, un jour, cette même moitié ne sera pas forcément là … »
Quand Flavie prononçait ses mots, elle envisageait un voyage professionnel, un déplacement provisoire. Quelque chose de ponctuel. Jamais elle n’aurait pu deviner ce qui allait se produire et que cette absence serait définitive.
Après estimation, c’était la cuisine qui avait été briquée le moins récemment. C’est donc à elle qui s’attaqua sans le moindre rebut sans avoir oublié de caler une petite playlist pour l’accompagner.

C’est satisfait de son travail que l’américain se laissa choir dans son canapé un couple d’heures plus tard. Et il pleuvait toujours. Aucune importance. Il s’accorda quinze minutes de relaxation avant de se relever pour se diriger vers sa bibliothèque avec une idée bien précise en tête. Mais il s’arrêta avant de l’atteindre et râla un coup. Même si ses ouvrages personnels étaient là dans leur majorité, certains étaient restés chez ses parents. Dont le volume qui l’intéressait. Il jeta un nouveau coup d’œil à l’extérieur. Pluie, pluie et pluie encore. Un parapluie s’imposait. Choppant sacoche, veste et pépin, il sortait deux minutes après.

Le temps aurait été clément qu’il y sera allé à pieds à la Bibliothèque située à Manhattan. Là … ce n’était guère motivant. Le métro était ce qui restait le plus simple. Rentrant en même temps qu’un flot de touristes, il quitta rapidement le groupe, se dirigeant avec aisance vers les rayons qui le concernait. Il n’était pas à sa première visite, sans les connaître par cœur, il savait s’orienter en ces lieux et surtout où aller pour éviter le brouhaha des voyageurs.
Un peu plus loin, alors qu’il passait en bout de rayonnage, il entendit d’autres sons que celui du stylo qui gratte sur le papier. Des grommellements et que des bruits sourds résonnaient doucement. Perplexe, il continua d’avancer vers la source. Un jeune homme, par rapport à lui et d’un point de vue numéraire seulement puisque lui-même ne se considérait pas vraiment comme vieux, tentait d’atteindre un ouvrage situé en hauteur. Il s’engagea tranquillement dans l’allée pour se placer à hauteur du lecteur.

« Permettez … celui-ci ? demanda-t-il en tendant le main vers l’un des livres rangé sur la plus haute étagère alors que l’inconnu acquiesçait brièvement d’un signe de tête Tenez. Normalement, il y a des échelles pour éviter ça mais à croire qu’elles sont toutes monopolisées ailleurs … »

Il jeta un œil. Pas une seule en vue. Étrange. Mais si un groupe s’était installé dans un coin, chacun ayant besoin de chercher en hauteur … ça restait cohérent. A moins que ce ne soit la crise partout et que la Bibliothèque n’ait pas eu les moyens d’en racheter. Sa première théorie lui semblait toutefois plus viable. En attendant, si lui-même se tuait le dos à toujours se baisser pour atteindre les étagères au ras du sol, son mètre 92 restait un avantage dans bien des cas. Surtout quand il n’y avait pas d’échelle.
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MessageSujet: Re: Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham)   Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham) Icon_minitimeJeu 6 Mar - 22:17

Voilà quelques minutes que je pestiférai contre les bouquins trop haut. Pourquoi ! pourquoi les livres les plus importants sont ils toujours tout en haut ? Vous pouvez me le dire ? Non, et ben raison de plus pour que j'aille me plaindre !!

Je regardai à gauche et à droite, en me métamorphosant en loup, j'aurais peut être une chance d'attraper se f*cking... hum pardon, ce foutu livre pour avancer dans l'élaboration de l'étude des lieux qui entourent ma cible. Pour l'instant, seul l'argent compte et du coup le confort de mes deux petits frères ainsi que de leurs parents, je préfère encore dormir sous un pont plutôt que de les voir dans la rues à jouaient les mendiants ou les dealers, il y en a déjà un sur cette voie, pas question que le deuxième soit comme ça ! Parole de loup...

Je retire mon manteau en grognant, prêt à relevé mes oreilles de loup et ainsi débuté la métamorphose. Mais voilà, une fois débarrasser de mon manteau, des pas se firent entendre et alors que je me retournai, un homme de grande taille me fixait. Si je ne m'étais pas métamorphoser, j'avais tout de même les yeux rouge rubis qui fixait cet inconnu qui semblait mesuré deux mètres de haut

« Permettez … celui-ci ?Il tendit le bras avant d'avoir vérifier si il y avait pas d'échelle... Je suis pas niaiseux quand même...  Tenez. Normalement, il y a des échelles pour éviter ça mais à croire qu’elles sont toutes monopolisées ailleurs … »

-Merci... Je crois que c'est les étudiants en sciences qui ont réquisitionner toutes les échelles. Il faut croire que les manuels sont au dessus de tout...

Ne faisant plus attention au fait que j'avais retiré mon manteau et que du coup, j'avais ma queue de loup à l'air libre, je me dirigeai vers la table où trônait différents livres ouverts. D'un mouvement je me retourner vers l'homme qui avait eu la gentillesse de m'aider. Quelque chose me travaillé depuis que j'avais croiser le regard de cet inconnu, je caressai doucement les plaques militaires qui pendaient sous mon t-shirt.

-On se serait pas croiser par le passé ? En Afghanistan peut être ?

C'est cash, je le sais, mais passer par des détours et dire a demi mots ce que je pense ben c'est pas moi, je suis pas le genre à se foutre de la tronche des gens, alors je préfère paraitre désagréable aux yeux des autres et j'ai rien fait par le passé pour me faire aimer et encore aujourd'hui.

-Quel est votre nom au fait ?
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MessageSujet: Re: Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham)   Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham) Icon_minitimeDim 9 Mar - 11:35

Pas spécialement attaché aux remerciements, Abraham répondit d’un petit signe de tête négligeant avant de reprendre.

« Je vous en prie. Quant aux étudiants … commença-t-il en haussant les épaules s’ils ont un examen dans la semaine, ça peut se comprendre qu’ils les aient toutes accaparées. Cela étant, ils auraient tout de même pu en laisser au moins une autre. A moins qu’ils ne connaissent ni l’existence ni le concept du mot partage. Mais c’est une autre histoire … »

Alors qu’il observait  le jeune homme qui retournait à sa table avec son livre à la main, il nota seulement l’extension sur sa personne. Une queue de loup. Voilà qui changeait de l’ordinaire. S’il eut un petit haussement de sourcil surpris, ce fut bien tout. Certains apparenteraient cette réaction au fait d’être blasé. Ce n’était pas le cas.
Quelques personnes, il ne visait nullement les japonais particulièrement, en portaient uniquement pour être en accord avec leur mode de vie ou plus souvent pour un cosplay. Alors soit, c’était moins fréquent ici en Amérique. Là, la seule différence qu’il avait noté, c’était la vie propre qui semblait l’animer. Et c’est bien pour ça qu’il la fixait, même si c’était malpoli. Contrairement aux autres cas où elle pendait lamentablement, celle-ci avait oscillé lorsqu’il avait rejoint le bureau qu’il occupait dans la bibliothèque. Comportement on ne peut plus vivant. La seule théorie viable qui lui venait à l’esprit le poussait à considérer son interlocuteur comme un mutant hybride. A moins qu’il y ait eu d’énormes progrès dans le monde du costume …
Par habitude, il l’avait suivi et ses réflexions furent interrompues quand il reprit la parole et qu’il mentionna l’Afghanistan. Avant même de se demander pourquoi il citait ce pays-là précisément, il nota seulement les pupilles couleur rubis. Bien, la théorie du mutant n’était finalement pas si fausse que ça. Bien sûr, il existait aussi des lentilles pour avoir le même rendu. Mais cela faisait beaucoup de coïncidences. Et il n’y avait qu’une façon de le savoir … mais avant tout, sa question.

« En Afghanistan vous dites ? »

Il le regarda sans ciller. Pour qu’il propose d’emblée cette destination, il devait y avoir une véritable raison. Spontanément, ce n’était pas le premier choix qui lui venait en tête quand il pensait avoir croisé quelqu’un quelque part. Il parait du principe qu’ils s’étaient donc effectivement vus là-bas. Et hormis la base militaire … il n’y avait pas vraiment fait du tourisme. Seulement, il n’avait pas particulièrement fait attention aux autres hommes présents. Ils avaient leurs propres missions à monter et elles étaient suffisamment compliquées comme ça.

« J’y suis déjà passé il est vrai … pour des raisons précises. Et sans vouloir vous offenser, je crois que je m’en serai souvenu si je vous avais croisé. dit-il en désignant sa queue d’un vague geste de la main A moins que votre mutation ne soit plus récente ? »

Il vérifierait si sa théorie mutante était la bonne même s’il n’avait pas spécialement de doutes là-dessus. Mais il était clair que, si au moment où l’inconnu l’avait effectivement vu, aucun trait spécifique à son côté hybride n’était présent, l’américain ne l’avait probablement pas remarqué. Cela étant, il plaçait l’autre forcément sur le camp. Et il tenait à être sûr de ce point avant de dire quoi que ce soit de particulier.

« Mis à part le centre de commandement militaire, je ne vois pas d’autres occasions pour vous de m’avoir vu. De quelle unité êtes-vous ? Vous êtes en permission ? »

S’il l’avait vu ailleurs, c’était pendant une mission. Et comme ils n’avaient fait aucune récupération … c’était qu’il était dans le camp ennemi. Et ceux qui les voyaient ne restaient, en général, pas bien longtemps en vie.

« Major Blackwood. Et vous êtes ? »

Si visuellement, le jeune homme ne lui revenait pas en mémoire, peut-être que son nom serait déclencheur. Il n’aurait probablement pas sa biographie dans l’instant mais il pouvait se souvenir l’avoir entendu en traversant la base par exemple.
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MessageSujet: Re: Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham)   Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham) Icon_minitimeDim 20 Avr - 21:42

« Je vous en prie. Quant aux étudiants … dit-t-il en haussant les épaules s’ils ont un examen dans la semaine, ça peut se comprendre qu’ils les aient toutes accaparées. Cela étant, ils auraient tout de même pu en laisser au moins une autre. A moins qu’ils ne connaissent ni l’existence ni le concept du mot partage. Mais c’est une autre histoire … »

-Malheureusement, l’être humain est égoïste de naissance.

Sinon il n’y aurait pas tout ses conflits ni ses schismes qui détruisent notre monde à petit feu … Lentement… surement… comme des verres qui vous rongent les entrailles et les viscères, qui vous enserrent dans leurs griffes et vous susurrent des mensonges et des fausses vérités… L’égoïsme est le pire des pêché que ce monde est pus porté, bien plus que la luxure ou la colère ou encore l’envie. L’avarice détruit tout et ne laisse aucun blessé, mais des morts qui marchent. Ce que possède le voisin est toujours mieux… Pathétique.

Le livre en main, je le posais sur la table en l’ouvrant pour voir le bâtiment qui était concerné par mon petit contrat des plus sanglant. Bon dieu que j’aime les livres bien fournis… cependant, et cela semble vaseux vu la manière dont je vais le dire, mais je sentais le regard de l’homme, mais quand on apprend a ignorait le regard d’autrui, étrangement on le ressent bien plus fort quand on est seul face à quelqu’un. Et dans le cas présent je le sentais me brûler le dos. Bon je sais que j’ai un beau fessier mais de la à me fixé ainsi. Il manquerai plus qu’il me prenne sur la table.
Ralalala Mon pauvre Silke va falloir décompresser parce que la tu as l’esprit qui part à vau l'eau et c’est pas bon pour les affaires ça. Vraiment… Tu pourrais alors cédé plus facilement à tes pulsions et ça, ça se fait pas.

« En Afghanistan vous dites ? »

Je me retournai lentement vers lui, mes yeux rouges le fixant intensément. J’étais sur de l’avoir vu quelques part… Durant mon service, je n’ai pris aucune permission donc c’est pas au pays et encore moins en Angleterre et puis a part Mamita, il y a plus personne en Angleterre donc non c’est pas la bas. Il reste deux solutions.

.La base
. Ou alors j’ai grillé une durite plus une dizaine de câbles de mon cervelas d’hybride canin.

Dans les deux cas, la réponse est soit oui soit non. Un peu comme cette chanson de Disney… Aladin et les 40 voleurs je crois… Mais la n’est pas la question.

« J’y suis déjà passé il est vrai … pour des raisons précises. Et sans vouloir vous offenser, je crois que je m’en serai souvenu si je vous avais croisé. dit-il en faisant un vague geste de la main en montrant mon appendice dorsal A moins que votre mutation ne soit plus récente ? »

Je regardai ma queue de loup qui se balançait lentement d’avant en arrière. Plus récente ? pas tout a fait. Mais le temps est relatif… Très même…

-Ma… Mutation est arrivé durant mon service mais c’est un peu plus compliqué que ça. Répondis-je en souriant calmement.

Et non, ça n’était pas du Cosplay, cela passe relativement mal le cosplay dans le monde quand on est pas au japon. Et encore, faut être le roi du mensonge, je doute qu’a 35 ans on peut dire que c’est encore du cosplay… ou alors on est un sacré pervers. D’après ce que je sais, le micro monde japonais à ses codes et ses règles bien définis. Déroge à la règle et tu es foutu.

« Mis à part le centre de commandement militaire, je ne vois pas d’autres occasions pour vous de m’avoir vu. De quelle unité êtes-vous ? Vous êtes en permission ? »

Alors j’avais vu juste, un militaire d’Afghanistan que j’avais sans doute croisé au centre de commandement, il y a quelques années. Je détournai mon regard pour poussé les livres et ainsi m’asseoir sur la table en balançant lentement mes jambes dans le vent. Je donnais l’impression d’un enfant comme ça, mais si vous saviez… Si vous saviez…

-Mon parcours ? J’étais chargé de la sécurité de différent convois, dans les derniers j’ai accompagné un convois de démineur, ça c’est mal fini et le dernier de mes convois m’a laisser un souvenir … impérissable. Déclarai-je en relevant une mèche qui cacher la cicatrice en forme de griffes sur mon œil gauche.

Je soupirai doucement en retirant mes plaques militaire de mon cou.

-Je suis Silke Sambre, ancien sous lieutenant en Afghanistan, disparu pendant deux mois avant d’être remercier de l’armée pour… C’était quoi l’excuse déjà ? Ha oui ! Défaillance physique.

Oui je l’avais mauvaise, mais alors totalement mauvaise. L’armée était la seul chose qui m’avait permit de prouver ma valeur, au lieu de ça, j’étais revenu comme une tare au sein des miens…
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MessageSujet: Re: Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham)   Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham) Icon_minitimeJeu 24 Avr - 21:18

Abraham n’était pas tout à fait d’accord sur sa déclaration. Soit, peut-être qu’il y avait à disposition une petite parcelle d’égoïsme à la naissance mais libre à chacun de la cultiver ou de la laisser dépérir. Pour lui, l’être humain le devenait au fur et à mesure, au gré de sa vie. De nombreux paramètres pouvaient entrer en jeu : l’éducation, le cadre social, les épreuves traversées avec succès ou non, les valeurs propres à l’individu … Mais il n’avait pas envie d’en débattre maintenant, bien plus curieux de savoir s’il avait effectivement déjà croisé cet homme ou non.

Apparition pendant le service … et bien, certains avaient dû être surpris. Et ne pas voir ça d’un bon œil. Il ne parierait certainement pas sur le fait qu’il en fasse toujours parti. Avec la position actuelle de l’armée sur les mutants, à moins d’un miracle … ou d’un supérieur particulièrement brillant avec les relations adéquates, il avait dû être sorti des rangs. Plus ou moins proprement d’ailleurs. En ce mois d’Octobre, il ignorait encore que ce serait son tour le prochain suite à la trahison d’un homme blessé et meurtri.
Au mot « compliqué », il réprima un demi-sourire. Rien n’était jamais simple, sinon ça se saurait depuis le temps. Cela étant, considérant la découverte de son propre pouvoir, son cas était tout ce qu’il y avait de plus élémentaire. Et il avait eu la chance d’être sur le palier de sa porte en compagnie de personnes qui le connaissaient depuis presque toujours et qui n’avaient rien contre les mutants. Tout aurait pu être bien différent si cela lui était arrivé en pleine journée au milieu d’une salle de classe …
Il pouvait s’estimer heureux. Ce qui ne semblait pas être tout à fait le cas de son interlocuteur. Bien que de nature curieuse, il ne poussa pas le vice à demander des détails. Il lui en donnerait s’il le souhaitait, autrement, il se contenterait de savoir qu’il avait un hybride-loup sous les yeux. Et c’était déjà pas mal.

L’américain l’observa s’asseoir avant de laisser ses jambes se balancer tout en écoutant la réponse qu’il lui fournissait. Non, il n’avait pas demandé spécifiquement son parcours, juste à quelle unité il était rattaché. Il en aurait déduit le reste à partir de là puisque chacune avait plus ou moins ses spécificités. L’emploi du passé le confortait dans l’idée qu’il ne devait plus en être. Il se demanda brièvement de combien d’éléments l’armée avait pu se séparer à cause de ça. A cause d’une différence qui ne les rendait pas moins opérationnel sur le terrain ou à tout autre poste tant qu’il y avait un certain contrôle de soi. La nature humaine … un désastre parfois.
Il suivit des yeux le mouvement pour découvrir la cicatrice sur son œil gauche. Cette blessure avait-elle diminué sa vue ? Est-ce que sa mutation compensait ? Questions non soumises, il les garda pour lui avant de reprendre.

« L’armée nous marque tous. D’une façon ou d’une autre. »

Il y avait les traces physiques, volontaires ou non. Les différents entrainements, les parcours du combattant et tous les exercices du même acabit, sans en être forcément conscient, formaient le corps. Le tatouage dans sa nuque, invisible s’il ne poussait pas ses cheveux, symbole de son unité, était décidé et il l’avait fait avec joie, comme un rite d’intégration. Les deux cicatrices circulaires sur l’épaule droite, la rectiligne sur le flanc gauche et les micros sur son avant-bras droit ainsi qu’une partie de son flanc … celles-là en revanche, il s’en serait passé volontiers. Mais il fallait voir le bon côté des choses : cela aurait pu être bien pire. Elles étaient dissimulées la plupart du temps et personne ne reculait en voyant son visage. Enfin, si, cette réaction arrivait mais elle n’était pas dû à une déformation physique, c’était juste qu’il n’avait pas forcément l’air avenant au premier abord. Une autre histoire.
Et puis, il y avait aussi les empreintes psychologiques. Celles qui découlaient des mêmes entrainements et qui développaient certains réflexes. Une certaine façon de penser et de voir les choses. L’esprit de camaraderie bien plus développé … et son unité était encore à part pour le coup. Des jours et des nuits à réfléchir avec des hommes comme Isaïah, Jake, Will et Tadeki. De belles choses … mais aussi des plus sombres. Celles qui se retrouvent enfouies au fin fond de l’âme. Celles qui ne seront plus jamais exposées à la lumière parce qu’elles font mal. Et peur.
Que le jeune homme se rassure. Il n’était pas le seul à avoir ces souvenirs. Il ne serait jamais. Seule changeait la façon de vivre avec.

Abraham observa les plaques se balancer docilement. Les mêmes pendaient autour de son cou et il les sortit à son tour, leur jetant un bref coup d’œil avant de regarder le présentement nommé Silke Sambre. Et non, même avec une identification en bonne et due forme, sa mémoire ne recrachait aucun souvenir à son propos.

« Je suis désolé, je ne me souviens pas de vous. Nous ne sommes pas restés longtemps stationnaires à la base et nous étions … plutôt occupés à ce moment-là. Je crains qu’aucun d’entre nous n’ait vraiment fait attention à ce qui se passait autour. »

Le ton que son interlocuteur avait employé était amer. Il y avait de quoi. Sur une raison qu’il jugeait personnellement  stupide, il avait été mis à pied. Comment réagirait-il si c’était lui ? De la même façon ? Arriverait-il à faire avec ? Y aurait-il des éléments qui l’empêcheraient de s’y opposer ? Pourrait-il, une nouvelle fois, avancer alors qu’on lui retirait ce à quoi il tenait ? Il n’avait pas les réponses. Pas encore.

« Cela fait longtemps maintenant que vous avez été congédié ? Ou c’est récent ? Même si la notion de temps est assez relative … commenta-t-il plus pour lui-même qu’autre chose avant de poursuivre Vous avez trouvé un nouveau travail ou quelque chose ? Vous vous en sortez, je veux dire, financièrement ? Et moralement ? »

Parce que parfois, c’était ça, le plus dur. Garder espoir quand tout semblait avoir foutu le camp. Il ne posait pas les questions par pure politesse. Les réponses l’intéressaient vraiment. Son côté altruiste ressortait et s’il pouvait faire quelque chose pour lui, il le ferait. Peut-être que l’autre lui rirait au nez, estimant qu’il n’avait pas besoin de son aide. Peut-être. Mais il ne pouvait pas le savoir sans demander.
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MessageSujet: Re: Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham)   Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham) Icon_minitimeMer 6 Aoû - 21:23

« L’armée nous marque tous. D’une façon ou d’une autre. »

Malheureusement, l’armée marque certes les gens soit comme du bétail soit mentalement, mais il faut parfois prendre en compte les conséquences suites aux résultats militaires. De mon passage dans l’armée, j’en ai récolter des plaies, le dos était taillader de coups de fouet, cela pouvait paraître désué mais pourtant cela fonctionne encore très bien, la peau ne cicatrise plus très bien ou alors de manière très différente, je me souvient que mon tatoueur avait pesté contre le monde entier avec en principal source de malédiction et selon ses paroles : c’est enflures d’abrutis qui avait osé abimé un dos si parfait. Et oui, mon tatoueur c’est un peu comme le coiffeur de ses dames, il sait quasiment tout de ma vie et c’est même lui qui s’était occupé de me percé mon oreille de loup.
Mais ce que personne ne sait, c’est que les cauchemars eux ne se sont jamais arrêté, ils sont toujours là, me hantant chaque nuit, détruisant souvent l’espèce de petite confiance que j’avais réussi à regagner. Je ne compte plus les nombres de fois ou je me réveillé avec les draps déchiraient et les mains en sang. Mais a vrai dire, je ne gardais aucun contact avec les collègues de l’armée. ET comment dire ? Je m’en contre fous d’avoir des contacts avec l’armée, je ne veux plus revoir ses gens qui penser être mes amis. En y repensant, j’avais plus tellement de contact. Les seuls qui comptent aujourd’hui, c’est les Halilovic. Suljo et Drita étaient les parents de subtitutions. Je ne pense pas trouver une autre famille qu’eux.

Entre nous les plaques se balançaient lentement, je les reposaient lentement autour de mon cou. Lentement, jevis les plaques du dénommé Abraham.

« Je suis désolé, je ne me souviens pas de vous. Nous ne sommes pas restés longtemps stationnaires à la base et nous étions … plutôt occupés à ce moment-là. Je crains qu’aucun d’entre nous n’ait vraiment fait attention à ce qui se passait autour. »


-On oublie souvent les visages discrets
souriai-je

Je passai une main dans mes cheveux en souriant tranquillement.

« Cela fait longtemps maintenant que vous avez été congédié ? Ou c’est récent ? Même si la notion de temps est assez relative … Vous avez trouvé un nouveau travail ou quelque chose ? Vous vous en sortez, je veux dire, financièrement ? Et moralement ? »

Je passai une main sur ma nuque en souriant tristement.

-J’ai étais congédié en fin 2011, je m’en sort moralement grace à ma famille, financièrement c’est un peu plus compliqué.Mon boulot c’est…

sonyera kon mifesi vra neha
sonyera leste me vif soneha
secro lidenyo lesu veha
sonyera kon mifesi vra neha
meni nohe

Surpris je déguainai mon portable en m’éloignant tout en m’excusant.

-Da, radim? Silke na uređaj (-oui ? Silke à l'appareil)

- Veliki brat je Anel ... (- Grand frère c'est Anel...)

-Ono što je bilo u mom mali? (-Qu'est-ce qu'il y a mon bout de chou ?)

-Vitaly ... Otišao je sve boli (-Vitaly... Il est rentré tout blesser)

-Ne brini ljubavi moja ja mogu (-Ne t'en fais pas mon amour j'arrive)

-Bojim se ... (-J'ai peur...)

-Ja uzmem light (-J'arrive ma lumière )

Je coupai rapidement la communication, avant de me retourner vers Abraham.

-Pardonnez moi mais je dois y aller, petit soucis famillial.

Je chopé les livres de contes ainsi que mes affaires et me précipité vers les bornes d’enregistrements avant de m’enfuir sous la pluie. Si Vitaly était rentré, tout avait plus d’importance.
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Abraham Blackwood
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Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham) Empty
MessageSujet: Re: Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham)   Le manuel du meurtrier parfait exclu de l'emprunt (Abraham) Icon_minitimeLun 11 Aoû - 10:09

Leurs plaques respectives balançaient en rythme, dociles, comme si elles reconnaissaient apparaître à la même espèce. Sauf que les siennes étaient mêlées au collier sa fille et qu’elles étaient encore en activité. Pour l’instant tout du mois. A l’instar de Silke, il les rangea sous une épaisseur de tissu. Il hocha doucement la tête et reprit.

« Il y a de ça. L’un d’entre nous est physionomiste, peut-être vous aurait-il reconnu. Cela étant, nous avions une opération urgente à mettre sur pied alors même lui n’a probablement pas regardé ce qui se passait ailleurs que dans nos plans. Sauf pour vérifier que nous n’avions rien oublié … »

Ils n’avaient généralement pas une vie devant eux pour monter une opération, la plage oscillant de la semaine à 6 mois pour des infiltrations plus longues, mais cette fois-là, le timing avait été extrême. Deux jours. Mieux valait ne pas avoir les pieds dans le même sabot. Cela dit, leur mission de sauvetage récente avait été pire. Uniquement le temps de prendre connaissance du terrain, de réfléchir à la ligne de conduite principale et de celles de secours … et ç’avait été à peu près tout. Mieux que rien dans l’absolu.

Il n’eut pas l’entièreté des réponses. Une sonnerie qui ne venait pas de sa poche, son portable étant en vibreur quand il entrait dans une bibliothèque, interrompit leur conversation. Il acquiesça d’un signe de tête, patientant alors que son interlocuteur s’éloignait tout en parlant à voix basse.
Sans tout avoir, il avait au moins le loisir de savoir que moralement, il s’en sortait. Bientôt deux ans qu’il avait été sorti des rangs … le changement de vie devait être pénible à suivre, surtout quand on était viré de la sorte. S’il avait toujours le moral après cette durée, il était plutôt bien parti pour tenir le coup. Et il n’y avait rien de tel que la famille et les amis pour ça. S’il avait à subir la même chose, il se tournerait également vers eux. Lui-même considérait les membres de son unité comme sa famille. Et inversement. Etait-ce le cas de Silke ? Ou les siens l’avaient-ils laissé tomber tel un malpropre ? Sans le connaître, d’après ses réactions, il opterait plutôt pour la seconde option. Et il trouvait ça malheureux. Il ne pouvait rien y faire cependant.
Financièrement … il n’était pas vraiment étonné. Il était parfois difficile pour un ancien militaire de trouver du travail. Sans compter sur la mutation apparente. Il supposait que cela ne devait pas l’aider. Si cela devait lui arriver … il avait certes de l’argent de côté mais il ne doutait pas un instant que les siens accouraient à son secours, lui proposait tout ce dont il avait besoin. Là encore, il avait de la chance que ses parents et amis soient monétairement sans problème. Il n’avait vraiment pas à se plaindre.

Il était tout à ses réflexions lorsque Silke revint, s’excusant de nouveau pour avoir à y aller à cause d’un problème familial. Abraham balaya les excuses d’un revers de main.

« La famille passe avant tout. J’espère que ça va aller. »

Il le suivit des yeux s’éloigner en courant presque, s’attirant un regard outragé de la bibliothécaire qui devait estimer que ce n’était pas digne de l’établissement. A raison, mais il y avait parfois des urgences qui nécessitaient de transgresser légèrement les règles.
Sans être perturbé outre mesure, il quitta le rayon actuel pour rejoindre celui qu’il visait depuis le début.
Science-fiction.
Normal.


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