Amy de Lauro Agent du BAM Gamma
Messages : 2226 Date d'inscription : 07/04/2012 Age : 29
| Sujet: Scénario Personnalisé d'Amy de Lauro : Rebelle(s) Mer 8 Aoû - 17:12 | |
| Chose promise, chose due ! Voilà pour la Girl Squad un scénario à la hauteur de l'idée qui l'a vu naitre : Nom du scénario personnalisé : Rebelle(s) Lieu : Un cinéma de New York puis une dimension parallèle Description du scénario : Ey, Caitlyn va devenir une star ! Enfin, pas Caitlyn, mais son sosie : Mérida, l’héroïne du dernier film d’animation Pixar : Rebelle. De ce fait, les bonnes copines formant la Squad de Jubilation Lee, plus connue sous le nom de Squad Girls, ont décidé d’aller le voir, juste pour le fun. Cependant, places payées et confortablement installées au cinéma avec pop-corn et commentaire Caitlynniens, l’impossible se produit : toutes les personnes présentes dans la salle sont transportées dans le film, avec Fuzzy dans le rôle principal ! Non content de devoir respecter l’histoire pour avoir la fin heureuse, elles doivent aussi improviser un moyen de sortir de là ; et si possible, d’aider les autres prisonniers à en faire autant. Seul bémol, du fait de leur jeune âge, ces derniers sont plutôt charmés par l’expérience ! Inscription : Girls Squad (Jubilee – Caitlyn Elioth – Amy de Lauro) Nombre d’inscrits prévus : 3 - Message d'Introduction:
Lucie-Anne en avait marre, tout le monde était toujours en train de lui dire ce qu’elle devait faire. Fais pas ci, fais pas ça ; elle ne voulait plus jamais l’entendre. Sa mère, sa gouvernante, même les domestiques lui disaient ce qu’elle avait ou n’avait pas le droit de faire. De quel droit ? C’était injuste qu’au-delà d’une certaine taille, on puisse lui donner des ordres. Pour qui se prenaient-ils, ces adultes ? Les Adultes ne voulaient pas qu’elle aille au cinéma ? Tant pis, elle irait sans eux ; la peur de sa disparition d’une heure et demi suffirait à obtenir leurs plates excuses à son retour. C’était ainsi et pas autrement. Elle décidait pour elle-même, et déciderait pour les autres quant ils devraient se faire pardonner. C’était normal après tout ! L.A. était une fillette de douze ans, brune aux yeux bruns, ni trop grande ni trop petite, ni trop grosse ni trop mince, qui après une grosse crise, mais surtout, elle se croyait magicienne : capable de créer le monde de ses rêves, de s’y rendre et d’y transporter les gens. Elle ne l’avait jamais fait pour un autre qu’elle-même, car elle seule méritait de découvrir les mondes merveilleux auxquels elle donnait vie. Mais ce n’était pas tout, grâce à ses mondes, elle pouvait voyager dans le vrai aussi : la téléportation, qu’on disait. Ainsi, même l’interdiction de sortir et le verrouillage de la porte de sa chambre n’avaient été suffisent pour la retenir : elle voulait aller voir ce film, et elle irait. Point. Cefilm, c’est Brave (VF : Rebelle), un film animation réalisé par les studios Pixar. L’histoire ? Simple : la princesse Méridia d’Ecosse est forcée de se comporter comme une gentille fille par sa mère, et elle se barre. Trop de point commun entre elles pour ne pas y aller. C’était ainsi qu’elle c’était directement retrouvée dans cette salle de cinéma, assise en plein milieu, sans avoir payé, en attente du début du film. Le sujet lui parlait déjà avait même le commencement, et il fallait juste attendre que la salle se remplisse. Aller, bougez-vous les gens ! Le film commença bien vite, et après une scène ennuyeuse de présentation des personnages où l’héroïque et passablement énorme Roi Fergus affrontait un ours pour protéger sa fille, les choses commencèrent à être intéressante. Lucie-Anne y voyait sa vie : une chieuse de mère la forçant à se comporter comme elle ne voulait pas. Pleine d’empathie pour la personnage principale, L.A. trouvait trop de correspondances pour que ce soit une coïncidence. Bon, sa mère à elle n’avait pas organisé de concours entre preux-chevalier pour la faire marié ; il fallait dire que les preux chevaliers se faisaient fort rares, surtout dans le New York du XXIème Siècle. Le film continuait sa route, voyant sa rousse héroïne fuir après une énième dispute avec sa mère. Et dans sa fugue, Merida rencontra une sorcière, lui demandant un sortilège pour pouvoir choisir son destin. C’était cela, la solution : la magie! Lucie-Anne était magicienne aussi, et rien ne l’empêchait de créer son nouveau monde ; rien si ce n’était les Adultes. Il y en avait dans la pièce, et ils l’empêchaient de ce concentré. Ce concentrer, elle devait ce concentrer, mais les bruits de la salle ne l’aidaient pas. Rho, taisez-vous les gens ! Lucie était plus que frustrée de ne pas parvenir à ce retrouver dans le film, à cause de tout ces gêneurs : une colonie d’une dizaine d’enfants avec deux encadrant, plusieurs familles monoparentales et quelques fratries, le tout avec une moyenne d’âge environ égale à la sienne. Celles qui faisaient le plus tache dans la salle étaient une bande de copines adultes, surement ici pour pourrir sa vie ; comme tous les adultes, en fait. L’une d’elle, une rousse, était particulièrement bruyante d’ailleurs. L.A. essaya de ce concentrer durant plusieurs minutes, n’y parvenant pas. Bon, ben puisqu’on ne la laissait pas réfléchir, elle ne ferait pas dans le détail ; aller zou ! Jusqu’à lors, ils avaient tous été dans une salle de cinéma d’un quartier moyen de Manhattan, mais en une seconde, ils se retrouvèrent à la 47ième minute ; soit quant ils étaient déjà bien dans la mouise. Résumé de la situation, en plus d’une vingtaine d’enfants pour quatre fois moins d’adulte : la reine transformée en ourse. Il faisait nuit, ils étaient dans un cercle de pierre style Stonehenge, en plein milieu d’une forêt d’une Ecosse médiévale et pixarienne, en costume d’époque en plus ! Mais le pire, c’est qu’en plus de la reine-ourse complètement muette (et de la sorcière disparue), ben la rousse c’était retrouvée dans le rôle de… la rousse. Merde, Lucie-Anne projetait tout le monde dans le film à défaut de parvenir à y aller seule, et c’était une autre qui se retrouvait dans le rôle principal ; ça c’était vraiment trop injuste ! Et bien, on allait voir si cette nouvelle Mérida qui n’avait rien à envier à l’autre était capable de mener jusqu’à la Happy End, parce qu’à défaut d’utiliser ce monde comme sa scène, Lucie-Anne avait bien l’intention de connaitre la fin du film. Les dés étaient lancés.
- PNJs:
Lucie-Anne TisdaleJeune fille d’apparence timide, Lucie est en réalité la cause de toute cette histoire : il s’agit d’une jeune mutante capable de créer sa réalité, et qui c’est enfuie de chez elle pour voir le film. S’identifiant à l’héroïne, elle a décidé que tous le monde seraient mieux dans l’univers de fiction et a ainsi projeter les personnes présentes littéralement dans le film. Avatar © Sébastian von Orchent |
Capacités Spéciales Lucie-Anne Tisdale dispose de la capacité de se téléporter elle ou d’autres dans une dimension personnelle sur laquelle elle dispose d’un pouvoir omnipotent. Dans le cas présent, elle a transporté la centaine de personne présente dans la salle dans un monde spécialement créé pour correspondre au film. Elle seule pourrait ramener les victimes dans la réalité d’origine. La principale faille de son don est qu’elle ne peut altérer l’esprit des gens (donc ni les contrôler, ni changer leur mémoire – ils sont parfaitement conscient d’être dans le film). De plus, si ses capacités de contrôle sont impressionnantes, elles sont grandement inconscientes, ainsi comme pour un rêve, se sont des projections de son inconscient qui peuplent son monde. Elle peut également se servir de cette dimension pour transiter et donc se téléporter purement et simplement.
| Biographie : Jeune fille de douze ans née avec ses pouvoirs, Lucie-Anne Tisdale est la fille d’une riche veuve bourgeoise, qui a toujours était traitée comme une petite princesse. Lorsque sa tutrice a refusée de l’emmener au cinéma pour voir un film, elle s’est servie de ses pouvoirs pour y aller. Enfin, inspirée par le sujet, elle s’est créée un monde parallèle ressemblant au film, et y a accidentellement téléporté toute la salle.
Psychologie : Personne timide au premier abord, c’est une véritable peste. Tout lui est dû, et ce qui ne l’est pas est accaparé grâce à son pouvoir. Elle fait ce qu’elle veut, quant elle veut. Nullement penaude de l’accident qu’elle a provoqué, elle fait semblant d’être perdue pour éviter d’attirer les soupçons. Manipulatrice comme tout enfant de son âge, elle n’hésitera nullement à se servir des autres. Trop intelligente, peut-être grâce à son don, elle voit la mésaventure comme un jeu et c’est d’un œil mauvais qu’elle considérera que des gens veulent rendre les choses « comme avant ». N’étant ni violente ni cruelle, elle manipulera les évènements à sa convenance à l’aide de ses créations, mais ne sortira pas du cadre d’un film d’animation pour enfant.
Texte © Sébastian von Orchent PNJ du film : Mérida : Personnage principale, fille du roi d'Écosse, impétueuse et échevelée, elle voit sa place usurpé par une autre rousse tout aussi épique. Le Roi Fergus : le roi d’Ecosse, père de Mérida, personnage secondaire tant dans le film que dans sa famille, c’est une caricature du barbare : vantard et gaffeur, pas des plus futés. La reine Elinor : la reine d’Ecosse, mère de Mérida, qui veut faire de sa fille une bonne « princesse dans les règles de l’art » ; pas gagné dans le film, carrément perdu dans l’animation. La Sorcière : Bon, elle semble être l’éternelle méchante, sa fait parti du job. c'est elle qui échange le talisman de princesse de l’Héroïne et transforme sa mère en ourse, avant de disparaitre. - Codes:
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<center><div style="background-color: #161616; font-color:#808080; text-align: justify; width:auto; -moz-border-radius: 10px;-moz-box-shadow: 1px 1px 5px #000000; -webkit-box-shadow:inset 0 0 10px black; box-shadow:inset 0 0 10px black"> [justify]<blockquote><span style="margin-left:30px;">Lucie-Anne</span> en avait marre, tout le monde était toujours en train de lui dire ce qu’elle devait faire. Fais pas ci, fais pas ça ; elle ne voulait plus jamais l’entendre. Sa mère, sa gouvernante, même les domestiques lui disaient ce qu’elle avait ou n’avait pas le droit de faire. De quel droit ? C’était injuste qu’au-delà d’une certaine taille, on puisse lui donner des ordres. Pour qui se prenaient-ils, ces adultes ? <span style="margin-left:30px;">Les</span> Adultes ne voulaient pas qu’elle aille au cinéma ? Tant pis, elle irait sans eux ; la peur de sa disparition d’une heure et demi suffirait à obtenir leurs plates excuses à son retour. C’était ainsi et pas autrement. Elle décidait pour elle-même, et déciderait pour les autres quant ils devraient se faire pardonner. C’était normal après tout ! <span style="margin-left:30px;">L.A.</span> était une fillette de douze ans, brune aux yeux bruns, ni trop grande ni trop petite, ni trop grosse ni trop mince, qui après une grosse crise, mais surtout, elle se croyait magicienne : capable de créer le monde de ses rêves, de s’y rendre et d’y transporter les gens. Elle ne l’avait jamais fait pour un autre qu’elle-même, car elle seule méritait de découvrir les mondes merveilleux auxquels elle donnait vie. Mais ce n’était pas tout, grâce à ses mondes, elle pouvait voyager dans le vrai aussi : la téléportation, qu’on disait. Ainsi, même l’interdiction de sortir et le verrouillage de la porte de sa chambre n’avaient été suffisent pour la retenir : elle voulait aller voir ce film, et elle irait. Point. <span style="margin-left:30px;">Ce</span>film, c’est Brave (VF : Rebelle), un film animation réalisé par les studios Pixar. L’histoire ? Simple : la princesse Méridia d’Ecosse est forcée de se comporter comme une gentille fille par sa mère, et elle se barre. Trop de point commun entre elles pour ne pas y aller. <span style="margin-left:30px;">C’était</span> ainsi qu’elle c’était directement retrouvée dans cette salle de cinéma, assise en plein milieu, sans avoir payé, en attente du début du film. Le sujet lui parlait déjà avait même le commencement, et il fallait juste attendre que la salle se remplisse. Aller, bougez-vous les gens ! <span style="margin-left:30px;">Le</span> film commença bien vite, et après une scène ennuyeuse de présentation des personnages où l’héroïque et passablement énorme Roi Fergus affrontait un ours pour protéger sa fille, les choses commencèrent à être intéressante. Lucie-Anne y voyait sa vie : une chieuse de mère la forçant à se comporter comme elle ne voulait pas. Pleine d’empathie pour la personnage principale, L.A. trouvait trop de correspondances pour que ce soit une coïncidence. Bon, sa mère à elle n’avait pas organisé de concours entre preux-chevalier pour la faire marié ; il fallait dire que les preux chevaliers se faisaient fort rares, surtout dans le New York du XXIème Siècle. <span style="margin-left:30px;">Le</span> film continuait sa route, voyant sa rousse héroïne fuir après une énième dispute avec sa mère. Et dans sa fugue, Merida rencontra une sorcière, lui demandant un sortilège pour pouvoir choisir son destin. C’était cela, la solution : la magie! <span style="margin-left:30px;">Lucie-Anne</span> était magicienne aussi, et rien ne l’empêchait de créer son nouveau monde ; rien si ce n’était les Adultes. Il y en avait dans la pièce, et ils l’empêchaient de ce concentré. Ce concentrer, elle devait ce concentrer, mais les bruits de la salle ne l’aidaient pas. Rho, taisez-vous les gens ! Lucie était plus que frustrée de ne pas parvenir à ce retrouver dans le film, à cause de tout ces gêneurs : une colonie d’une dizaine d’enfants avec deux encadrant, plusieurs familles monoparentales et quelques fratries, le tout avec une moyenne d’âge environ égale à la sienne. Celles qui faisaient le plus tache dans la salle étaient une bande de copines adultes, surement ici pour pourrir sa vie ; comme tous les adultes, en fait. L’une d’elle, une rousse, était particulièrement bruyante d’ailleurs. L.A. essaya de ce concentrer durant plusieurs minutes, n’y parvenant pas. Bon, ben puisqu’on ne la laissait pas réfléchir, elle ne ferait pas dans le détail ; aller zou ! <span style="margin-left:30px;">Jusqu’à lors,</span> ils avaient tous été dans une salle de cinéma d’un quartier moyen de Manhattan, mais en une seconde, ils se retrouvèrent à la 47ième minute ; soit quant ils étaient déjà bien dans la mouise. Résumé de la situation, en plus d’une vingtaine d’enfants pour quatre fois moins d’adulte : la reine transformée en ourse. Il faisait nuit, ils étaient dans un cercle de pierre style Stonehenge, en plein milieu d’une forêt d’une Ecosse médiévale et pixarienne, en costume d’époque en plus ! Mais le pire, c’est qu’en plus de la reine-ourse complètement muette (et de la sorcière disparue), ben la rousse c’était retrouvée dans le rôle de… la rousse. Merde, Lucie-Anne projetait tout le monde dans le film à défaut de parvenir à y aller seule, et c’était une autre qui se retrouvait dans le rôle principal ; ça c’était vraiment trop injuste ! <span style="margin-left:30px;">Et bien,</span> on allait voir si cette nouvelle Mérida qui n’avait rien à envier à l’autre était capable de mener jusqu’à la Happy End, parce qu’à défaut d’utiliser ce monde comme sa scène, Lucie-Anne avait bien l’intention de connaitre la fin du film. Les dés étaient lancés. </blockquote></font> [/justify] </div></center>[spoiler=PNJs]<center><div style="background-color: #161616; padding: 20px; font-color:#808080; text-align: justify; width:70%; -moz-border-radius: 20px;-moz-box-shadow: 1px 1px 5px #000000;<br /> -webkit-box-shadow:inset 0 0 10px black;<br /> box-shadow:inset 0 0 10px black"> <div align="justify"><font style="letter-spacing: 2PX; text-shadow: #000000 5px 5px 5px; font-family:Garamond; color:#808080;FONT-SIZE:40px;">Lucie-Anne Tisdale</font><br> <font style="letter-spacing: 0PX; font-family:Georgia; color:#808080;FONT-SIZE:12px;">Jeune fille d’apparence timide, Lucie est en réalité la cause de toute cette histoire : il s’agit d’une jeune mutante capable de créer sa réalité, et qui c’est enfuie de chez elle pour voir le film. S’identifiant à l’héroïne, elle a décidé que tous le monde seraient mieux dans l’univers de fiction et a ainsi projeter les personnes présentes littéralement dans le film. </font><table border="0"><tbody><tr><td align="left"><img src="http://i40.servimg.com/u/f40/13/70/70/03/natali11.jpg" style="-moz-transform:rotate(-4deg);margin-right:-2px;-moz-box-shadow:0px 0px 10px #8FBC8F;"><br><font style="letter-spacing: 2PX; text-shadow: #000000 1px 1px 1px; font-family:Garamond; color:#808080;FONT-SIZE:15px;"><center>Avatar © Sébastian von Orchent</center></font></td><td align="left"><ul> <font style="letter-spacing: 0PX; font-family:Georgia; color:#808080;FONT-SIZE:12px;"><br><br><u>Capacités Spéciales</u> Lucie-Anne Tisdale dispose de la capacité de se téléporter elle ou d’autres dans une dimension personnelle sur laquelle elle dispose d’un pouvoir omnipotent. Dans le cas présent, elle a transporté la centaine de personne présente dans la salle dans un monde spécialement créé pour correspondre au film. Elle seule pourrait ramener les victimes dans la réalité d’origine. La principale faille de son don est qu’elle ne peut altérer l’esprit des gens (donc ni les contrôler, ni changer leur mémoire – ils sont parfaitement conscient d’être dans le film). De plus, si ses capacités de contrôle sont impressionnantes, elles sont grandement inconscientes, ainsi comme pour un rêve, se sont des projections de son inconscient qui peuplent son monde. Elle peut également se servir de cette dimension pour transiter et donc se téléporter purement et simplement.<br></font></div></ul></td></tr></tbody></table> <br><font style="letter-spacing: 0PX; font-family:Georgia; color:#808080;FONT-SIZE:12px;"> <u>Biographie</u> : Jeune fille de douze ans née avec ses pouvoirs, Lucie-Anne Tisdale est la fille d’une riche veuve bourgeoise, qui a toujours était traitée comme une petite princesse. Lorsque sa tutrice a refusée de l’emmener au cinéma pour voir un film, elle s’est servie de ses pouvoirs pour y aller. Enfin, inspirée par le sujet, elle s’est créée un monde parallèle ressemblant au film, et y a accidentellement téléporté toute la salle. <br><br><u>Psychologie</u> : Personne timide au premier abord, c’est une véritable peste. Tout lui est dû, et ce qui ne l’est pas est accaparé grâce à son pouvoir. Elle fait ce qu’elle veut, quant elle veut. Nullement penaude de l’accident qu’elle a provoqué, elle fait semblant d’être perdue pour éviter d’attirer les soupçons. Manipulatrice comme tout enfant de son âge, elle n’hésitera nullement à se servir des autres. Trop intelligente, peut-être grâce à son don, elle voit la mésaventure comme un jeu et c’est d’un œil mauvais qu’elle considérera que des gens veulent rendre les choses « comme avant ». N’étant ni violente ni cruelle, elle manipulera les évènements à sa convenance à l’aide de ses créations, mais ne sortira pas du cadre d’un film d’animation pour enfant. </font><br><br>[right]Texte © Sébastian von Orchent[/right]</div></center>
PNJ du film : Mérida : Personnage principale, fille du roi d'Écosse, impétueuse et échevelée, elle voit sa place usurpé par une autre rousse tout aussi épique. Le Roi Fergus : le roi d’Ecosse, père de Mérida, personnage secondaire tant dans le film que dans sa famille, c’est une caricature du barbare : vantard et gaffeur, pas des plus futés. La reine Elinor : la reine d’Ecosse, mère de Mérida, qui veut faire de sa fille une bonne « princesse dans les règles de l’art » ; pas gagné dans le film, carrément perdu dans l’animation. La Sorcière : Bon, elle semble être l’éternelle méchante, sa fait parti du job. c'est elle qui échange le talisman de princesse de l’Héroïne et transforme sa mère en ourse, avant de disparaitre. [/spoiler]
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