Salut, j'mappel accident et je viens gâcher ta vie

Le grand jour est arrivé, ouaip je vais enfin pouvoir avoir un débat constructif avec ma mère, puis Karma est de mon côté ! Le rendez-vous est prévue à 15heure. J'espère que tout va bien se passer ! J'ai la tête qui va exploser, je suis malade en ce moment. J'ai toujours eu des migraines mais là c'est de pire en pire à chaque fois que je m'entraîne ! Enfin c'est pas important, ça changera pas ma vie ! Bon je me lève, et me dirige vers mon armoire et enfile un Tee-Shirt avec un jean, des vêtements basiques mais je ne vais pas y aller à poil ! Qui m'aurait dit qu'un jour que ma tutrice "scolaire" s'expliquerait avec ma mère sur le faite de me laisser quitter le cocon familial !

Les heures passaient et moi je m'angoissais pour une histoire stupide. Et si elle n'acceptait pas de me laisser partir ? Je m'en mordais les doigts ! J'attrape mon portable et regarde l'heure... Encore 1 heure ! Je ne sais absolument pas quoi faire, ennui total et stress horrible, what else ? Peut-être faire des pompes ? Non ce serait stupide de me faire transpirer maintenant, mais alors que je réfléchissais je reçois un message : J'arrive. Je me mets à courir à travers bousculant les pauvres élèves sur mon passage.

J'arrive à l'entrée de l'institut, au loin je ne vois rien : elle doit pas être loin ! je m'avance à travers l'allée, tirant sur mon Tee-Shirt, j'avais peur mais aussi j'étais terriblement impatient, le moment était venu. Karma , ou Shan, n'allait pas tarder non plus ! au loin je vois une silhouette s'approchait, je reconnais sa démarche, c'est elle, j'étais tout excité, les secondes passaient et elle se rapprochait. Jusqu'au moment ou seulement la route nous séparait, puis elle traverse sans regarder : Fatale erreur.

Je vois le camion arriver, de loin, mais je ne réagis pas : je suis tétanisé. Je vois le camion se rapprocher, petit à petit. Soudain je me décoince et crie MAMAN. Mais trop tard, le camion heurte violemment ma mère, devant mes yeux son corps s'explose sur le camion, la traînée de sang laisser sur la route me fit poser genoux à terre, les larmes coulaient le long de mon Visage