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 I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)

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MessageSujet: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeMer 8 Aoû - 20:36

Le ciel à l'infini... Le soleil au loin caché par les nuages blancs qui entouraient l'avion dans lequel la jeune femme se trouvait. Cela faisait de longues heures qu'elle était maintenant dans cet engin volant en direction des Etats-Unis et plus précisément de New York. La native du nouveau monde avant rendez-vous avec un homme. Un homme qu'elle n'avait plus vu depuis un long moment, dés lors elle se faisait une joie de cette rencontre pourtant... Elle redoutait quand même un peu celle-ci. Reilly, car c'est ainsi que la jeune fille se prénommait, n'avait pas oublier le départ prématuré de son patient... Patient car elle avait passé quelque temps à le soigné de ses blessures... Enfin... maintenant il n'était plus ce patient, mais un homme qui avait décidé de se présenter comme son oncle, d'où moins c'était ce qu'il lui avait expliqué dans la lettre qu'il lui avait envoyer avec le billet d'avion pour les USA.

Alors qu'elle était perdue dans ses pensées se demandant comment ces retrouvailles allaient se passées, l'avion entamait sa descente pour enfin atterrir sur le continent Américain après avoir fait une escale en Europe. Les portes enfin s'ouvrait et la jeune mutante se faisait une joie de descendre de l'appareil volant pour enfin se dégourdir les jambes car a rester assit ainsi, elles étaient endoloris et cela était assez déplaisant. Miss Carter marchait en silence en direction du hall d'arrivée, mais avant, elle devait récupérer Vodka, son chat et sa valise. Et finalement, elle se retrouvait dans le hall.

Vêtue d'un pantalon large, elle se montrait à son oncle tel qu'il l'avait connu là bas. C’est à dire un peu paysan, mais cela allait changer. Comme avant, elle allait être détestable. Dés lors, avant l'arrivée de celui-ci elle se devait de se changer. Elle avait tout ce qu'il lui fallait dans sa valise pour se faire, mais elle devait trouver un endroit pour se changer car le faire en plein dans le hall cela n'était pas très discret et ne plaisait pas vraiment à la jeune femme. Reilly se rappela alors avoir vu des toilettes près de l'endroit où elle avait prise sa valise. La dessinatrice retourna alors sur ses pas pour aller dans les wc publics. Là, elle déposa Vodka sur le sol pas trop loin de la toilette où elle allait aller se changer et rapidement, elle prit dans sa valise une mini-jupe noir et une blouse en décolleté blanche. Sortant de la cabine une fois cela fait, elle se positionna devant le miroir et entreprit de se coiffer. Jusque là, elle avait attaché ses cheveux en une simple queue basse, mais cela n'allait pas vraiment avec sa tenue. Elle entreprit alors rapidement de faire un chignon dans ses cheveux blond mi-long.

Une fois prête, elle était sortie des toilettes avec son chat dans une main et dans l'autre sa valise. Elle se dirigeait alors maintenant là où Artyom devait normalement l'attendre.


    « Ca va aller Vodka... Tout va bien se passer... »


Reilly parlait à son chat plus dans le but de se rassurer elle-même que le rassurer lui car en réalité, le chat noir dormait paisiblement dans la cage en attendant que sa maîtresse enfin le libère. Car probablement que comme elle, lui aussi avait les pattes endoloris. Mais pour ce les dégourdirent, il devrait attendre encore un peu. Maintenant, elle cherchait Artyom du regard sans le trouver. Peut-être avait-il changer et qu'elle ne saurait pas le reconnaître ou peut-être que tout simplement il n'était pas encore là, ou même qu'il avait oublié. Finalement, il était là. Reilly l'avait trouver et maintenant s'approchait de lui.

    « Bonjour mon oncle... Si bien entendu je
    me dois de vous appelez de cette façon. »


hj: désolée, c'est un peu raté comme début, mais j'arrivais pas à trouver l'inspiration malgré ma folle envie de rp. Honte à moi. J'espère quand même que vous saurez en tirer quelque chose (même si là, c'est plus a Arty que je m'adresse car à moins que Diablo soit à l'aéroport.) Enfin, mon prochain poste sera meilleur.
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeDim 12 Aoû - 14:09

Tididi…Tididi…Tididi…
Il est 8 heures du matin et vous écoutez Krock ! Et maintenant pour se réveiller en douceur, voici A Day To Remember, All I Want.

I'm always screaming my lungs out 'til my head…

Artyom ouvrit lentement les yeux tandis que la radio s’allumait, crachant une sonnerie horrible à travers les hauts parleurs une musique qui n’avait qu’un seul but, celui de l’arracher des bras de Morphée. Heureusement, la suite fut plus agréable le réveil basculant sur la radio et laissant alors couler dans son appartement une musique rock au rythme entrainant. Le russe chassa ses draps et s’assit sur le bord de son lit avant de s’étirer en laissant échapper un grognement de plaisir. Il se leva ensuite, augmenta le son de la radio puis il se dirigea vers la salle de bain afin de prendre une bonne douche toujours rythmée par la même musique. Les minutes défilèrent tandis que l’eau chaude et le savon recouvrait sa peau, peu à peu, l’odeur de la sueur s’effaça pour laisser place à une odeur de propre. Après avoir terminé, il sortit de la baignoire saisissant au passage une serviette qui lui servit à se sécher rapidement. Il continua ensuite sa préparation, il se coiffa, se rasa puis s’habilla et s’assit finalement sur son lit prenant son réveil dans les mains pour voir l’heure. Il était 8h34, l’avion de Reilly arrivait à 10h10… du moins s’il n’y avait pas eu de problème et il espérait grandement que c’était le cas. A 8h45, Artyom saisit un paquet puis il se rendit à l’entrée de son immeuble pour trouver le taxi qu’il avait appelé pour aller à l’aéroport puis ensuite à l’institut. Le chauffeur, habillé en costard ouvrit la porte de la Chrysler 300C Luxury series noire et invita Artyom à rentrer. Le russe s’installa dans l’habitacle tout en cuir au couleur réglisse et sable. La voiture était aussi belle à l’intérieur qu’à l’extérieur, sous le capot, se trouvait un v8 délivrant 363 chevaux au compteur, tout ça en automatique.
    Spoiler:

Lâchant un soupir admiratif, il regarda le chauffeur et lui dit qu’il achèterait bien une voiture comme celle-ci, ce dernier ne répondit que par un sourire avant de fermer la porte et de rejoindre le volant.

« - A l’aéroport La Gaurdia c’est cela ?
- Oui mon brave et prenez votre temps, nous somme pas pressé.
- Très bien Monsieur. »

L’homme faisait preuve de beaucoup de politesse et cela plaisait au russe, il lui donnerait certainement un pourboire à la fin du trajet. La voiture démarra et ils s’engagèrent sur la 57ème rue en direction de l’aéroport. Pendant ce court voyage, Artyom discuta agréablement avec le chauffeur histoire de passer le temps mais à peine 20 minutes plus tard, ils étaient enfin arrivés. La voiture se gara sur l’aire réservé au taxi puis Artyom sortit de la voiture. Il dit au chauffeur qu’il pouvait vaquer à d’autres occupations mais qu’il devait être de retour à 10h10. Ainsi fait, il rentra dans l’aéroport, le russe s’assit sur l’un des nombreux bancs parsemés un peu partout dans le bâtiment, il s’étira lentement puis ferma les yeux en attendant que l’avion atterrisse.
10h10, c’était l’heure et une voix de jeune femme annonçait l’arrivé de l’avion. Artyom se leva alors et partit à la rencontre de la jeune fille… enfin jeune fille… lorsqu’il posa les yeux sur Reilly pour la première fois depuis deux ans, ce n’était pas une gamine de ferme qu’il avait devant lui, mais une jeune femme très belle, habillé comme l’était les jeunes filles américaines de son âge. Au départ, Artyom ne l’avait pas du tout reconnu au premier abord, ce n’est seulement que lorsqu’elle lui adressa la parole qu’il l’a reconnu.

« - Bonjour mon oncle... Si bien entendu je me dois de vous appelez de cette façon. »

Un grand sourire traversa le visage d’Artyom puis il dit :

« - Oui, c’est cela, je suis ton oncle maintenant. »

A peine avait-il terminé sa phrase qu’il prit Reilly dans ses bras et la serra très fort. Puis il la relâcha et la regarda :

« - Et bien ! Tu as beaucoup changé depuis le temps, regarde moi ça ! Tu es devenu une très belle jeune fille… voir une jeune femme… Ca te fait quoi ? 17 ans c’est ça ? »

Artyom laissa finalement un soupir s’échapper puis il regarda Reilly a nouveau et se passa la main dans ses cheveux.

« - Je voulais m’excuser d’être parti sans rien dire mais… c’était mieux pour moi… j’espère juste que tu me pardonneras. Allez viens, nous allons à l’institut. »

Sur ce, Artyom prit la valise de Reilly et la conduisit à la sorti de l’aéroport là où la Chrysler les attendait. Le russe mis les affaires de la jeune fille dans le coffre et se rendit compte qu’elle avait un petit chat avec elle. Il s’installa dans la voiture et invita la jeune fille à en faire de même. Une fois installé, Artyom fit signe au chauffeur et ce dernier démarra la voiture. Quelques minutes plus tard, Artyom s’éclaircit la gorge et prit le paquet qu’il tendit à la jeune fille.

« - Un petit cadeau de bienvenue, j’espère que ça te fera plaisir. Dans le paquet tu trouveras un téléphone, il y a déjà mon numéro enregistré dans les contacts, tu trouveras aussi tes papiers que j’ai fais refaire à la mairie, je te laisse également un double des clés de mon appartement à New York au cas où. Et enfin, je t’ai ouvert un compte dont voici la carte de crédit que tu peux utiliser quand tu veux, seulement tu as une limite de 5000 dollars par mois, histoire que tu ne flambes pas tout tout de suite. »

Artyom laissa la jeune fille déballé le papier cadeaux pour ouvrir la boite et trouver tout ce qu’il lui avait offert. Le voyage allait duré une bonne heure et pendant ce temps, Artyom discuta de tout et de rien avec la jeune fille, il lui dit que son appartement se trouvait prêt de Central Park et qu’elle pouvait venir quand elle le voulait même s’il n’était pas là. Il lui dit aussi qu’il ne savait pas grand-chose de l’institut sauf que c’était un genre d’école pour les mutants où en plus des cours normaux, on leur apprenait à contrôler leur pouvoir. Artyom aurait préféré passé plus de temps avec la jeune fille mais il n’était pas qualifier pour l’aider avec son pouvoir, c’était préférable qu’elle aille là-bas. A une heure de voiture, l’institut se trouvait dans le comté de Westchester dans le centre de Salem, il parait que c’était un endroit charmant mais aussi très surveillé, autant pour protéger les jeunes mutants qui y étaient que pour protéger les gens qui habitaient autour. Le mercenaire ne connaissant pas le professeur Xavier, directeur de l’institut, mais il ne pouvait s’empêcher d’éprouver un grand respect pour lui et même s’il redoutait que les gens là-bas se doute de sa véritable nature, le bien-être de Reilly était plus important… C’était la première fois qu’Artyom s’inquiétait vraiment pour quelqu’un d’autre que lui et bizarrement, c’était un sentiment plaisant. Avoir quelqu’un avec qui il n’a pas besoin de jouer un rôle était sûrement ce qui lui manquait le plus dans sa vie. Et maintenant, cette personne était avec lui dans la voiture, une jeune fille qui était désormais sa “nièce“ et même si leur lien de parenté n’était qu’un mensonge, Reilly était ce qui se rapprochait le plus d’une famille pour Artyom.
Le temps fila rapidement et finalement, ils arrivèrent enfin devant le portail de l’institut. Le chauffeur leur ouvrit la porte et déposa la valise de Reilly au pied de la jeune fille puis il rentra dans la voiture et dit à Artyom qu’il l’attendrait pour le ramener à son appartement. Le mercenaire remercia le chauffeur puis il s’approcha du grand portail, il inspira lentement et souffla bruyamment et regarda Reilly :

« - Bon… j’espère qu’il y a quelqu’un, je me sentirai vraiment très con d’avoir fait ce chemin pour rien… »

Artyom appuya alors sur ce qui semblait être une sonnette.
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeLun 13 Aoû - 18:19

C'était une matinée normale, d'une journée normal, dans un institut très loin d'être normal, Je me suis levé à 8h00 du matin, heure ni trop tôt, ni trop tard et suis aller faire mon exercice quotidien dans le gymnase puis après avoir mes mes acrobaties, mon footing et mes pompes je me reviens dans ma chambre pour prendre une bonne douche. La sensation d'être propre après avoir fait un peu d’exercice était vraiment rafraichissant. Je me sécha et m'habilla avec un pantalon noir, un tee-shirt rouge et une petite veste noire, puis je mis mes chaussures rouge et noirr et une paire de lunette de soleil, puis je cacha ma queue dans mon pantalon de telle manière à ce que elle paraisse faire parti de ma jambe. A cela je me mis un bandeau sur la tête et un "cheich" qui remontait jusqu’à mon nez. Dans une société normal cette accoutrement pourrait paraitre suspect, mais dans une société remplie de mutant, cela était courant, même si les anti-mutants risquait de vite me repérer... Je pris une dague avec moi que je mis dans la poche intérieur de ma veste au cas ou. Vers 10 heures je me dirigea vers la cuisine ou j’engloutis mon petit déjeuner en "deux temps trois mouvements" histoire de ne trop trainer et que quelqu'un remarque ma tenue inhabituel. Car oui d'habitude je ne me cachais pas, mais aujourd'hui étais un jour ou je voulais sortir pour m'acheter ce qu'il me fallait dans ma chambre, des trucs à grignoter, un livre, du shampoing... Vous me direz pourquoi ne pas allez le chercher directement en téléportation ? Et bien disons que ce n'est pas au gouts de tout le monde et que une émeute peut vite éclater, ce ne serais pas la première fois et puis après avoir fais mes exercices j'étais très fatigué. Après avoir manger je marchai en direction du garage pour sortir, mais la sonnette de la porte d'entrée me fis m’arrêter, je m’apprêtais à faire demi-tour histoire de ne pas devoir faire les présentations aux probables nouveaux occupants qui attendaient, car les habitués de la maison ne sonnent ou ne frappe jamais à la porte. Mais voyant que personne d'autres n'étaient là pour ouvrir, je me résignai à ouvrir cette fichu porte et à accueillir les nouveaux venus, même si je me rappela un peut trop tard que ma tenue n'était pas la plus adaptée. J'ouvris donc la porte à une femme plus que charmante et un homme assez élégant, qui semblais sur le point de partir vu le temps que j'avais mis à ouvrir me regardaire un peu étonné. J'enlevai le "cheich" qui cachait ma bouche et leurs dit en souriant :

-Bienvenue que puis-je faire pour vous ?
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeLun 13 Aoû - 20:39

Alors que la jeune fille venait de saluer l'homme qui se présentait comme son oncle, lui ne semblait pas trop l'avoir reconnu. Dans un sens cela était normal, elle était très loin de la jeune fillette qu'il avait connu en Tchétchénie, elle avait prit des formes et surtout, maintenant qu'elle était de retour dans la société d'aujourd'hui, elle devrait se montrer insupportable sauf vis à vis de lui. Bien que les intentions de celui-ci vis à vis d'elle lui soit encore assez obscure car après tout, la première fois, il n'avait pas eu peur de l'abandonner là-bas, enfin... Abandonner et un bien grand mot car elle habite là-bas bien avant la venue de celui-ci. Mais bon... Il était parti du jour au lendemain... Enfin maintenant ils étaient à nouveau réunit. Elle était heureuse de cela bien que probablement il lui faudrait du temps pour le pardonner.

Reilly l'avait aimé. Elle avait aimé cette homme pour ces paroles, ce qu'il lui avait apprit, pour le temps passé ensemble et il s'en était aller... Détruisant un peu le petit monde qu'elle s'était construit autour de lui. Il lui avait fallu du temps pour se remettre du départ de Artyom, durant ce temps, elle avait même arrêter de dessiner car elle refusait de penser à lui et le dessin était un sujet de tourment car il avait été la base de beaucoup de leurs conversations. Avec le temps, elle s'en était remise et s'était pourquoi aujourd'hui elle arrivait à se tenir droite devant lui et à lui sourire comme si elle n'avait jamais été blessée par sa faute. La jeune mutante refusait de se confier à lui et de lui dire qu'il lui avait manqué, qu'elle avait pleurer après son départ et qu'elle avait sauté de joie quand elle avait eu de ses nouvelles. Elle refusait de lui montrer qu'il avait trop d'importance pour elle car elle se doutait qu'il s'en irait encore une fois sans dire un mot. Elle était blessée et elle ignorait comme cette blessure allait se refermer... Même si, il lui présentait des excuses, elle n'était pas sûre de pouvoir lui pardonner.

Quand la jeune femme s'était adressée à son oncle, elle avait voulu le prendre dans ses bras, mais elle refusait de lui montrer son affection dés lors, elle s'était contenté de lui adressé un léger sourire. Néanmoins, elle fut surprise de la réaction du Russe car il l'avait prit dans ses bras et l'avait serré fort. Dés lors, l'esprit de l'adolescente se posait mille et une question. Lui avait-elle manqué ? De quelle manière devait-elle interpréter ce geste ? ... Pourtant, elle n'avait pas eu le temps de se laisser aller à des divagations trop longue que déjà, elle était entraînée par son oncle dans une voiture de luxe. Reilly fut impressionné du taxi que l'homme avait appeler et se demandait dés lors ce qui avait bien pu se passer dans la vie de celui-ci pour qu'il ai autant d'argent.

Le chemin en direction de l'académie n'était pas apparu à la jeune fille comme très long car son oncle lui avait parler tout le long, lui offrant un présent, enfin plutôt des présents emballés tous ensemble. Au début, quand il lui avait dit ce que contenait le paquet, elle s'était dit qu'il lui avait probablement prit un portable d'occasion, mais ce fut loin d'être le cas car il s'agissait d'un tout récent et là, Reilly ne savait pas comment elle devait réagir. Dire un simple merci ne suffirait pas car il venait de faire beaucoup pour elle. Peut-être qu'elle devait alors tout simplement le pardonner... Oui... Mais elle refusait de s'attacher à nouveau à lui. Même si elle l'avait aimé, aujourd'hui, ils en étaient revenu au point de départ même si dans le passé, ils avaient déjà vécu des choses ensembles.

La voiture s'était finalement arrêté devant l'institut. Rapidement, mademoiselle Carter était sortie du véhicule car après tout, elle avait passé plus de douze heures assises dans un avion alors, maintenant, elle comptait bien rester debout encore un petit moment, elle ne désirait plus s'asseoir. A cet instant, elle avait juste besoin de marcher, voir même de courir pour soulager ses muscles trop longtemps rester immobile. Ainsi, une fois devant la porte, elle se balançait de gauche à droite sur ses jambes attendant avec impatience que quelqu'un arrive car Reilly ne voulait pas resté debout là a simplement attendre qu'une personne daigne venir leur ouvrir.

Avec le temps qui passait, un sourire se dessinait sur les lèvres de la jeune dessinatrice car elle repensait à la remarque qu'avait fait son oncle avant de sonner. Il avait dit que si jamais il n'y avait personne il aurait l'air stupide. Et à voir le temps qui s'écoulait, il avait vraiment l'air stupide car personne ne venait. Poussant un soupir, elle s'était alors retournée vers lui, les bras croisées avec toujours se sourire moqueur sur les lèvres. Elle allait alors prendre la parole quand finalement, la porte s'ouvrit et qu'une personne assez drôlement vêtue avait fait son apparition dans l'encadrement de la porte maintenant ouverte. Se retournant alors rapidement, Reilly posa ses mains sur ses hanches et après avoir entendu la question de cet individu elle haussa les épaules.


    «Merci. Ce que vous pouvez faire ? Hmm.. J'espère que vos mains son propre car vous pouvez portez mes valises et les conduire à l'intérieur de l'institut car comme votre petit esprit devrait le savoir, je suis une nouvelle arrivante à l'institut. »


Elle ne désirait pas se faire apprécié et cela, elle le montrait dés le début. Elle n'était pas là pour se faire des amis, juste là pour apprendre. Elle avait dont parler à cette homme d'une voix hautaine. Pourtant, elle ne se montrait pas encore superficielle car elle n'avait pas encore réagit par rapport à l'accoutrement étrange de l'homme. D'ailleurs, elle ne comptait pas faire attendre cela trop longtemps. Reilly se tourna alors vers son oncle tout en continuant de regarder le nouvel arrivant.

    « J'espère que tu ne m'as pas conduit dans un endroit où tout les gens ont des goûts immondes ! »


La mutante ne savait absolument pas comment son oncle allait réagir face à se comportement qu'elle montrait car lui, il la connaissait telle qu'elle était vraiment, il connaissait ses véritables sentiments sauf peut-être la volonté de la jeune fille de se faire détester pour ne pas faire connaître aux autres la douleurs de perdre un être cher.
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeSam 18 Aoû - 16:13

Bizarrement, Artyom regrettait sa dernière phrase car il semblerait que le destin avait décidé de lui jouer un mauvais tour. Encore. Après avoir sonné, les minutes défilèrent sans que personne ne viennent leur ouvrir. Afin d’essayer de se donner l’illusion que le temps passerait plus vite, Artyom se balançait sur ses pieds, regardant de temps en temps par le portail mais personne ne semblait daigner leur ouvrir. Est-ce qu’il n’y avait personne ? Ou se passait-il quelque chose ? Artyom commençait à perdre patience alors il appuya une nouvelle fois sur la sonnette puis regarda sa nièce qui lui adressait un sourire moqueur. Elle allait surement lui décocher un trait moqueur mais finalement, ce n’était pas aujourd’hui qu’il allait perdre la face. Une personne étrangement vêtu venait d’ouvrir le portail. Cet homme était presque entièrement vêtu de noir, une touche de rouge par-ci par-là ressortait, son visage était dissimulé par des lunettes de soleil et un cheich mais lorsqu’il leur adressa la parole, le russe remarqua que la personne en face de lui avait le visage d’une couleur bleu sombre. Artyom allait prendre la parole mais sa "nièce" lui coupa l’herbe sous le pied sur un ton plutôt hautain qu’il ne connaissait pas chez la jeune fille.

« - Merci. Ce que vous pouvez faire ? Hmm.. J'espère que vos mains son propre car vous pouvez portez mes valises et les conduire à l'intérieur de l'institut car comme votre petit esprit devrait le savoir, je suis une nouvelle arrivante à l'institut. »

Le mercenaire resta bouche bée devant ce que la jeune fille venait de sortir puis, elle le regarda et lança une nouvelle phrase. Lorsqu'elle avait terminé, il éclata de rire. Il venait de comprendre le petit jeu de Reilly. Le russe se calma rapidement puis il soupira et adressa un léger sourit à la jeune fille avant de s'adresser à elle dans sa langue maternelle.

« - Вы действительно хотите играть в эту игру здесь мало? Не делай себе не друга, как, что ... если ... Вам не нравится это. »

    Citation :
    Tu veux vraiment jouer à ce petit jeu ici ? Tu ne te feras pas d'ami comme ça... à moins que... tu ne le veuilles pas.


Artyom laissa s’échapper un nouveau soupire puis il se passa une main dans ses cheveux.

« - Наконец, если это то, что вы хотите... К минусам я прошу вас не делать мне стыдно вести себя хорошо, особенно когда я на вашей стороне. »

    Citation :
    Enfin, si c’est ce que tu veux… Par contre je te demanderai de ne pas me faire honte à te comporter ainsi surtout lorsque je suis à tes côtés.


Le russe venait de terminer sa phrase avec une remontrance puis il regarda l’homme qui venait d’ouvrir le portail. Il s’éclaircit la voix puis tandis la main à l’homme qui venait de lui ouvrir.

« - Bonjour Monsieur, je me présente : Artyom Ghliebnikov et voici ma nièce, Reilly. Je suis venu l’inscrire dans votre institut car elle possède un don très particulier et j’ai entendu dire que vous étiez sûrement les mieux qualifiés pour l’aider. »
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeJeu 30 Aoû - 21:54

Déjà que j'avais été gentil de venir leurs ouvrir voila que je me faisais rétrograder au rang de porte bagagiste. Même si je suis d'un naturel plutôt avenant je dois bien dire que la façon dont la jeune fille s’adressa à moi me fis tiquer et je du faire marcher mon self-control légendaire pour ne pas leurs fermer la porte au nez. La petite réflexion sur mon accoutrement ne me blessa pas plus que ça puisque ce n'était pas ma tenue habituelle. Puis à ma grande surprise l'homme et la jeune fille se mirent à parler en une langue que je cru percevoir comme étant du russe, au court de mes mésaventures avec mes camarades j'avais voyager un peu partout dans le monde et en avait profiter pour apprendre les rudiments de certaines langues. Toutefois ces personnes parlaient vraiment trop vite pour que je comprennent un mot de se qu'ils disaient, je pense d'ailleurs que c'est l'effet recherché et je ne posa donc aucune question sur le dialogue qui suivit.

L'homme qui se nommait Artyom m'expliqua la situation, ainsi cette jeune fille était une mutante, les nouvelles recrues sont toujours les bien venus ! Je souris à l'homme et les l'invita à rentrer à l’intérieur du bâtiment . Puis je retira rapidement tous ce qui me cachait le visage et dit aux nouveaux venues :

-Bonjour, permettez moi de me présenter convenablement, je suis Kurt Wagner. Je suis professeur et résident au sein de l'institut. Je suis désolé pour ma tenue mais je m’apprêtait à sortir en ville quand j'ai ouvert la porte, mon apparence me contraignant à un minimum de discrétion pour éviter les problèmes...Concernant l'inscription de votre nièce vous avez fait le bon choix en emmenant votre nièce ici, en effet cette institut à pour but d'accueillir et aider les personnes qui ont un don particulier et de leurs apprendre à vivre avec. De plus les élèves ici reçoivent des cours normaux que n'importe quel élève de leurs age pourrait suivre ailleurs, et les professeurs sont très compréhensif et attentif aux élèves de l'institut. Vous ne regretterez pas votre choix, je vous assure. Pour la question de l’inscription je vous demanderait de passer par le secrétariat. Mais avant cela avez vous des questions particulières que vous souhaiteriez évoquer ? il s'adressait aussi bien à la jeune Reilly qu'à Artyom.
[Désolé mais j'ai pas le temps de faire plus long...]
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeDim 2 Sep - 17:23

Elle n'en revenait pas. Il était entrain de la snobé tandis que son oncle lui faisait une remontrance en russe. L'homme n'en avait-il rien eu a foutre que la demoiselle le traite de domestique ? Enfin, c'est vrai que dans un sens, la meilleure façon de réagir était l'ignorance et donc de ne pas relever. Cette réaction à tendance d'ailleurs à énervée la personne qui cherche la bagarre. Pourtant Reilly s'en contre-fichait un peu. Après, tout l'un des deux hommes avaient quand même réagit, bien qu'il ne s'agisse pas réellement du bon. Mais elle fera avec. D'ailleurs, ce serait peut-être un moyen d'énerver l'homme étrangement vêtu car si ils commençaient tout deux à parler en Russe, lui il ne comprendrait rien et cela pourrait l'énervé. Dés lors, la jeune dessinatrice prit la parole en russe.

    « Тсс ... Это прекрасно, чтобы читать мне нотации.» 'Tss... C'est bien beau de me faire la morale.'


Elle avait commencé par simplement une petite remarque pour l'intrigué. Reilly croisa alors les bras et le regardait en coin en attendant une quelconque réaction, qui d'ailleurs ne se fit pas attendre. Ainsi, il pensait que c'était son but. Enfin, oui c'était bien le but de la jeune fille, mais elle voulait l'attaquer et lui faire comprendre qu'elle lui en voulait pour le passé. Ainsi, elle se tourna vers lui, se plantant devant lui avec les mains sur les hanches et elle soutenait son regard. D'une voix claire et assez calme, elle reprit la parole en insistant sur certains mots. (Ceux qui sont en majuscules en français)

    « Я подружиться? Что такое LinkedIn? Ness плакать, как только я решил оставить без предупреждения? Потому что он думает, что мне однажды, что я бы здесь не было, и что я страдаю? Я думаю, это лучше, что я ненавижу плакать, а не люди. Я не похож на определенного человека! » 'Me faire des amis? Pour quoi faire? Pour les faire pleurer une fois que j'aurais décidé de PARTIR SANS PREVENIR? Pour qu'il pense à moi une fois que je ne serais plus là et qu'ils en souffrent? Je trouve qu'il est préférable que je me fasse détester plutôt que de faire pleurer des gens. MOI, JE NE SUIS PAS COMME UNE CERTAINE PERSONNE ! '


Après cela, ce fut l'homme de l'institut qui prit la parole mais pas en Russe lui. Dans un sens heureusement car dés lors il comprendrait le jeu que la jeune fille jouait. Enfin, peut-être que dans un sens cela était mieux car il y avait longtemps qu'elle n'avait plus jouer ce rôle, car dans la ferme en Tchétchénie, elle n'aurait pas sur se faire détester à part si elle cherchait à se disputer avec des moutons ou un chien... Cette petite pensée dessina alors un sourire sur le visage de la frêle mutante.

Ainsi, il se nommait Kurt et il était professeur ici. Se faire mal-voir par un professeur, était-ce vraiment une bonne idée ? Voilà la question qui tournait dans la tête de la petite blonde. C'était la seule question qu'elle avait en tête et elle ne pouvait quand même pas la poser. Néanmoins, elle s’avançait après avoir prit ses valises vu qu'il n'avait pas voulu les prendre. Passant devant lui elle lui adressa un petit sourire avant de prendre vite la parole de façon à ce que seul Kurt l'entende.


    « Je tiens juste à précisé que mon nom n'est pas aussi compliqué que le sien. »


Elle continua alors son avancé pour enfin se retrouver dans l'enceinte de l'institut. Elle fut assez surprise de la grandeur de celle-ci. Assez surprise ? Non, elle fut scotché sur place et elle faillit en lâcher sa valise et son chat. Celui-ci d'ailleurs la tira de son étonnement avec un miaulement plaintif.

    'Mia...w'

    « Pardon Vodka, je ne voulais pas te faire peur. »


Rapidement, elle déposa sa valise et la cage de son chat avant de le sortir de la cage et de le prendre dans ses bras. Elle le caressait maintenant de la tête à la queue. Le chat noir se mit alors à ronronné de satisfaction. La réaction rapide et attentionné de la jeune Carter pouvait montré aux deux hommes sa véritable nature. Nature qui est de faire attention aux autres et de réagir à la moindre blessure qu'elle pourrait occasionné à ceux-ci. Bien entendu, elle faisait un sacré travail sur elle pour ne pas le montrer vis-à-vis des humains dés lors, cette réaction pouvait être prise comme une démonstration de favoritisme pour les animaux et peut-être même un certain dégoûts pour les hommes.

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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeLun 10 Sep - 23:35

Artyom avait imaginé tout sauf avoir des remontrances de la part de sa nièce… enfin… il faut dire qu’il les méritait. Il avait passé plusieurs mois en compagnie de la jeune fille et lorsqu’il a vut qu’un lien se tissait entre eux, il était partis du jour au lendemain, comme si rien ne s’était passé mais Artyom se trompait. En un instant il avait perdu tous les gens qu’il appréciait et seule cette jeune fille lui avait montré un temps soit peu d’attention. Lorsqu’il rentra en Russie, ses parents étaient morts et il se rendit alors compte qu’il était totalement seul. Après cela, il vendit ses compétences aux plus offrant mais au fil du temps, la solitude qu’il éprouvait était de plus en plus grande. C’est ainsi qu’il envoya cette lettre à Reilly, avec un billet d’avion pour New York. Pour ne plus être seul et pour se faire pardonner. Malheureusement, il n’aurait jamais imaginé qu’il pouvait autant compter pour cette jeune fille. Oui, il méritait de se faire tirer les bretelles alors il laissa Reilly parler.
En réalité, elle ne voulait pas ne pas s’attacher. Elle avait peur de cela, peur de subir une nouvelle fois le vide qui s’était installé en elle lorsque Artyom l’avait laissé. En faites, si elle était comme ça, c’était uniquement de sa faute. Lorsqu’elle termina son sermon, le mutant qui leur avait ouvert la porte prit la parole et se présenta poliment. Le "porteur de bagage" était en réalité un des professeurs de l’institut et Artyom fut encore plus malaise après cette découverte. Finalement, il les invita à entrer dans l’institut et là, le russe fut impressionné. L’institut Xavier était très beau de l’extérieur mais il l’était encore plus de l’intérieur. La future école de Reilly était un bâtiment plutôt imposant sur plusieurs étages, le style extérieur était un mélange d’architecture entre les vieilles villas coloniales toutes en bois et une architecture plus moderne. A l’intérieur, l’aspect est semblable à l’extérieur, mélange de boiserie ancienne et de touche moderne.
Tandis qu’il admirait l’architecture, Reilly prit un peu d’avance sur eux et déposa ses valises au milieu du hall d’entrée puis elle retira de sa cage la petite bestiole toute poilue qu’elle avait nommé Vodka avant de la prendre dans ses bras. Les caresses de la jeune fille tirèrent au chaton des ronronnements de plaisir qui ne passait pas inaperçu. Cette scène, Artyom la regarda avec une grande tendresse et cela lui fit penser que Reilly avait tord de vouloir être détesté et en tant qu’oncle, il devait tout faire pour la rendre heureuse. Tandis que sa nièce était occupé à papouiller son chat, Artyom attrapa le professeur de l’institut et l’amena suffisamment loin de Reilly pour que cette dernière n’entende pas ce qu’il se dirait.

« - Il faut que je vous dise quelque chose… Reilly, elle… elle ne veut pas que des gens s’attachent à elle pour que la séparation ne soit pas douloureuse. C’est pour ça qu’elle a mal agis envers vous mais croyez-moi, ma nièce est une fille adorable. »

Artyom se tut un instant jetant un œil à sa nièce et lorsqu’il vit qu’elle était toujours occuper avec son chat, il reprit.

« - Il y a plusieurs années, j’ai choisis d’éviter de m’attacher et par conséquent, je… je l’ai abandonné. Maintenant je sais que ça été la plus grosse erreur de ma vie. En voyageant, j’ai muri et appris que la solitude n’est pas une bonne compagne et je sais qu’elle a tord de vouloir emprunter la même voie que moi. En plus, c’est ma faute si elle se comporte ainsi. Je l’ai fais venir aux Etats-Unis car je savais qu’ici elle pourrait s’épanouir mais ce n’est pas avec cette état d’esprit qu’elle y arrivera. De mon côté, je vais essayer de la faire changer d’avis… je lui dois bien ça. Par contre, j’aimerai que vous veillez sur elle, histoire qu’elle ne s’attire pas trop d’ennuie. Vous pourriez faire ça pour moi ? »

Artyom attendit la réponse du mutant avant de rejoindre sa nièce. Il l’enlaça ensuite affectueusement avant de déposer un baiser sur sa tête blonde puis il lui dit en russe :

« - Прости Rei’. Я просто надеюсь, что в один прекрасный день вы можете простить ошибки, которые я совершил. »
    Citation :
    « - Je suis désolé Rei’. J’espère juste que tu pourras un jour pardonner les erreurs que j’ai pu commettre. »

Après cela, il l’étrangla gentiment en lui disant, toujours en russe, que la prochaine fois qu’elle lui parlerait comme ça il lui mettrait une déculotté. Puis il lâcha sa nièce et se tourna vers le schtroumpf et lança :

« - Bon où est-ce que je signe pour inscrire cette sale bête ici ? Ma nièce bien entendu, pas le chat. »
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeMer 12 Sep - 15:10

Dans l'institut la jeune fille libéra son chat et le pris dans ses bras pour le câliner. Je regarda la jeune fille prendre son chat, qui se prénommait "Vodka" ce qui me fit sourire et voyant le chat ronronner de plaisir sous les caresses de sa maitresse mon sourire s'élargit, je vis dans les yeux tendre de la jeune fille que son numéro de tout à l'heure n'était que une façade. Elle avait l'air sympathique finalement .Alors que j'allais Demander à Reilly si elle avait déja visiter New York, Artyom m'emmena un peu plus de loin de la jeune fille et m'expliqua très sérieusement sa situation vis à vis de Reilly, ainsi il l'avait laisser là bas et elle lui en voulait. Ce qui pourrait expliquer pourquoi elle est autant sur la défensive, ça ne doit pas être simple de changer de pays et de se retrouver avec quelqu'un en qui ont à plus confiance, surtout si cette personne veut vous emmenez dans un Institut.Je regarda Reilly par dessus l'épaule d'Artyom pour voir si elle ne se sentais pas trop mal d'être mise à l'écart comme ça, mais malgré un petit regard suspicieux elle n'avait pas l'air de s'offusquer outre mesure, ou alors elle le dissimulait bien.
Je fus un peu surpris de la demande D'Artyom, il voulait que je veuille sur elle, mais en temps que professeur et X-Men c'est mon devoir de toutes façons. Je souris à Artyom et lui dit d'un air assuré :

-Ne vous inquiétez pas, il ne lui arrivera rien tant que je serais ici, je la protégerait de mon mieux.

Aprés quoi nous retournions au près de Reilly , Artyom l’enlaça affectueusement et lui dit quelque choses en russe, de ce que je compris c'était des menaces concernant ce qu'elle lui avait dit précédemment.Pour l'inscription je dois dire que je ne savais pas vraiment comment faire, je pense que le prof X devait voir la jeune fille, histoire d'être sur de ces intensions et de sa bonne fois.
"Je vais l’emmener voir le Directeur et nous nous chargerons de l'inscription, ensuite elle pourra avoir sa chambre et déposer ces affaires, par contre Mr. Volk je ne peux pas vous autoriser à monter voir le directeur, simple précaution mais seul les élèves et les résidents sont autorisés à rentrer dans l'institut normalement."
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeDim 16 Sep - 19:26

Reilly Carter était accroupie près de son chat noire du nom de Vodka et elle jouait avec celui-ci du coup, celui-ci ronronnait et cela dessiné un sourire sur le visage de la demoiselle. Elle ne prétait plus vraiment attention au deux hommes bien qu'au début, elle les regardait en coin quand ils s'étaient éloigné d'elle pour parler tranquillement. La jeune mutante n'avait pas vraiment apprécié cela car ils se comportaient tout les deux comme ci elle n'était qu'une gamine de huit ans alors que là, elle en avait presque dix ans de plus. Mais faut croire que ça, aucun des deux garçons ne semblait vouloir le remarquer. Néanmoins, la jeune fille ne voulait pas leur faire de remarque. Elle les ignorait donc, ce contentant de caresser son chaton.

Elle ne prêtait plus attention aux deux hommes alors, elle sursauta légèrement quand elle entendit la voix de son oncle derrière elle. Elle s'était alors redressé d'un cou^p et avait fait volte face pour le regarder et surtout pour l'écouter. Au début, il s'était montré compréhensif, mais rapidement il lui avait fait comprendre qu'il n'avait pas apprécié son comportement et que la prochaine fois, il y aurait des conséquences à un tel comportement. Là, il s'était simplement contenté de l'étrangler légèrement.

Reilly avait chercher à se dégager de l'emprise de son oncle, mais celui-ci n'avait lâcher en rien l'emprise qu'il avait sur son coup. Elle avait alors serrez sa main autour du poignet de Artyom enfonçant ses ongles dans la chair de celui-ci. Finalement, il la l'avait lâché, elle lui lacha alors son poignet ne sachant pas trop comment il allait réagir à cela. Peut-être n'avait-il rien sentit car il n'avait rien dit et s'était contenté de se tourner vers le futur professeur de la demoiselle pour lui demander simplement où il devait signer pour inscrire sa nièce dans l'institut.

La jeune fille n'en revenait pas, il parlait d'elle comme d'une sale bête. Pourtant, elle était restée à sa place et s'était tue, elle ne voulait pas à nouveau sentir les doigts de son oncles autour de la peau de son cou. D'ailleurs, elle massait légèrement celui-ci, car même si il n'avait pas serrer très fort, elle n'avait pas apprécié ce contact. Elle se retournait alors vers l'endroit où se trouvait Vodka quelque minutes plutôt. Il n'était plus là. Le cherchant d'abord du regard, elle ne le voyait pas. Il n'était plus là. Il était partit...

Laissant son oncle avec l'homme bleu, elle était partie en courant pour chercher son chat. Elle ne voulait pas le perdre. C'était là seule chose à laquelle elle tenait vraiment. Non pas que son chat était une chose, mais il n'y avait pas vraiment d'autre terme qui sonnait bien dans cette phrase car dire être vivant ou animal n'aurait pas bien sonné. Alors oui, dans l’esprit de la mutante, Vodka était la seule chose importante à ses yeux. C'était pourquoi, elle partait en courant sans prévenir son oncle et son professeur. Elle n'avait d'ailleurs pas entendu la phrase de son professeur concernant le faite qu'elle devait rencontrer le professeur X.

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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeDim 30 Sep - 22:37

Artyom s’était autoproclamé oncle de Reilly. Au départ il a cru que c’était une bonne idée, un bon moyen de renouer les liens qu’il avait eu peur de créer et il avait cru que Reilly aurait voulu la même chose. Malheureusement, il s’était trompé. La jeune fille lui en voulait plus qu’il ne l’aurait pensé et cela lui faisait beaucoup de peine. Ce n’est pas pour autant qu’il allait abandonner son idée de la "re-sociabiliser" afin qu’elle puisse réellement s’épanouir à New York. En même temps, Artyom recherchait une part de rédemption dans son désir de changer Reilly, mais c’était très égoïste de sa part. Le pire dans tout ça, c’est que le russe était un zéro en ce qui concernait les relations humaines et lorsqu’il pensait arranger les choses il ne faisait que les empirer.
Le professeur de l’institut lui parla ensuite, il lui dit que l’inscription se ferait sans lui car il n’était pas autoriser à rencontrer le professeur Xavier. Le russe ne savait pas s’il devait être déçu ou soulagé car moins il rencontrait de mutant, plus il avait de chance que ces capacités ne soient pas détectés. D’un autre côté, il voulait savoir à qui il laissait sa nièce et même si le "Na’vi" semblait une personne sympathique, Artyom préférait en connaître plus sur ce lieu et ses occupants. Il allait répondre lorsqu’il sentit quelque chose frotter sa jambe. Interloqué, il baissa les yeux pour voir le chaton de Reilly se frotter la tête contre le bas de son pantalon. Avec un grand sourire, il se baissa et saisit la petite bête qui se lova aussitôt dans ses bras, ronronnant de plaisir tandis qu’il lui grattait le cou. Artyom laissa s’échapper un petit soupir avant de dire :

« - On dirait que je suis plus doué avec les animaux qu’avec les être humains. Что со мной не так ?! »

Le russe trouvait ce chat particulièrement affectueux et il se demanda si l’affection de Reilly dépendait de la quantité de poil puisque lui était presque imberbe contrairement à Vodka. Cette pensée idiote le fit sourire et il redressa la tête en s’adressant à sa nièce :

« - Reilly, tu n’aurais pas ou… Reilly ? »

Lorsqu’il releva la tête sa nièce avait disparu.

« - Mais… »

Artyom tourna la tête rapidement pour essayer de trouver sa nièce mais elle avait disparu. Il se rendit alors là où elle supposait être puis il regarda dans les couloirs et vit sa nièce courir pour disparaitre derrière un autre corridor. Collant le chaton contre son poitrail, Artyom décolla d’un bond et courut pour rejoindre sa nièce. C’était une formalité pour lui, déjà à l’armée, il courrait le 100m en un peu moins de 11 sec alors rattrapé une adolescente dont le sport n’était pas la plus grande passion. Il était inutile de dire que cela n’était absolument pas dur. Au moment où il s’était élancé, il avait malgré lui mis un vent au professeur surtout parce que ce dernier lui avait dis que normalement les visiteurs n’étaient pas censés rentrer dans l’institut. De toute manière, il n’était pas allé bien loin puisqu’il avait rattrapé Reilly en quelques minutes. Lorsqu’il fut juste derrière elle, il posa sa main sur son épaule et la força à s’arrêter. Lorsqu’elle se retourna, il lui posa le chaton dans ses bras puis il la regarda tendrement avant de lui dire.

« - Je crois que sa maitresse lui manquait. Je peux savoir où tu allais comme ça ? »

Il écouta son explication avec un léger sourire puis il rejoignit le professeur. Artyom passa ensuite une main affectueuse sur la tête de la jeune fille, l’enlaça et l’embrassa sur le haut de la tête avant de s’éloigner d’un pas.

« - Je vais te laisser maintenant. J’espère que tout se passera bien et n’oublies pas. Je serai toujours là pour toi, quoi qu’il se passe alors n’oublie pas de me rendre visite de temps en temps ! »

Il termina sa phrase avec un clin d’œil.
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeDim 7 Oct - 13:24

Je me dit mais un peu tard que je n'aurais jamais dû ouvrir cette satanée porte, peut être que à l'heure actuel je serais dans Central Park assis tranquillement sur un banc en train de déguster un milkshake et de rêvasser. Au lieu de ça je suis coincer dans l’institut avec un homme qui ne m'écoute pas préférant câliner un chat et une gamine qui s'intéresse plus à retrouver ce même chat que à son avenir ici. Enfin bref alors que je continuait à expliquer les règles de l'institut et les divers conditions à l'acceptation d'un élève ici, Mr Artyom Volk dû se dire que sa nièce était en danger de mort et qu'il fallait à tout prit la retrouver dans ces couloirs dangereux et sombre de l'institut. Pour couronner le tout il n'attendit même pas que j'ai finis ma phrase qui commençait par :

-Nous demandons un respect du règlement et un comportement exemplaire pour les résidents, comme pour les visiteurs...

Je dois bien dire que cette situation commençait doucement à m'énerver, je me téléporta près des deux personnes en attendant qu'ils aient finis de parler et me dit que ils avaient eux de la chance de tomber sur quelqu'un de patient, d'autres les auraient déjà envoyés promené ou les auraient laissés se débrouiller. Une fois qu'ils furent revenus je les regarda avec un air agacés que je ne pu cacher et les pria de ne plus s'écarter de moi sans quoi ils iraient tous les deux voir le principal mais pas pour l'inscription. N'étant actuellement pas des élèves ou même des résidents, c'étaient tous deux des étrangers et ils ne pouvaient se permettre de tel comportement dans un lieu privé, qui plus est une école pour mutant dont certains assez instable....
J'écouta les adieu que son oncle fit à sa nièce et le raccompagna jusqu’à la prote d'entré de l'institut, j’avais tous les papiers qu'il me fallait, Artyom avait tout prévu, je n'avais plus que à donner le dossier à l'administration et Reilly serait officiellement une élève de l'institut.
Je sera la main d'Artyom et lui dit d'un air confiant:


-Ne vous inquiétez pas, votre nièce n'a rien à craindre ici, je veillerais personnellement à sa sécurité et à son inégration dans cette institut.
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MessageSujet: Re: I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo)   I was made to live in America (Pv Artyom Volk et Diablo) Icon_minitimeDim 7 Oct - 14:06

Reilly avait couru un peu partout pour retrouver Vodka mais à peine avait-elle fait quelque mètres qu'elle s'était faite rattrapé par son oncle qui lui avait refourgué le chat noir en question comme un simple paquet. Elle l'avait alors regardé agressivement. Enfin, elle lui pardonna alors quand il avait simplement dit qu'elle manquait au chat. Elle était heureuse qu'il lui ai rendu son chat donc elle câlinait celui-ci le serrant dans ses bras tandis qu'elle ignora sa question. Ensuite les choses s'étaient enchaînée rapidement. Il lui avait dit qu'il serait toujours là pour elle alors que jusqu'à maintenant, c'était le contraire. Elle voulait lui dire, mais déjà Diablo les avait rejoint. Enfin... Non il était là depuis le début. Il avait juste attendu.

La dessinatrice était restée silencieuse face à son oncle et à ce que Diablo venait de dire, il avait d'ailleurs fait sortir Artyom de l'établissement. Maintenant, il n'était plus que tout les deux... Enfin plus au moins. S'inclinant légèrement, elle prit la parole.


    « Je suis désolée... Je ne voulais pas vous laissez en plan, mais je tiens énormément à ce Chat. J'espère que vous pourrez comprendre cela »

Il semblait accepter mes excuses, mais l'air blasé était toujours là. D'ailleurs, je l'avais bien sentit quand il m'avait fait visité tout l'établissement. Finalement, il m'avait déposé dans ma chambre... Enfin, plutôt un dortoir. Quelle belle affaire ! Reilly était vraiment heureuse... A cause de ce stratagème des plus diabolique elle n'allait pas être seule et était dés lors obliger de faire connaissance avec d'autre résidente. Elle n'appréciait vraiment pas cela.

Alors que Diablo était enfin parti, probablement déposé les papiers pour validée son inscription, la jeune fille déposa sa valise sur un lit qui semblait inoccupé car contrairement aux autres, celui-ci n'était pas défait. Enfin... Elle commença alors à défaire sa valise gardant toujours un oeil sur Vodka au cas où elle déciderait encore de partir.

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