You are just so cute [Pv Enora]

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17h50

Cette journée avait encore était difficile, je n'ai pas réussi à dormir cette nuit et j'ai bosser toute la journée sans relâche, Karma m'en demande beaucoup. Je suis sans arrêt en travail constant la journée, la fin de soirée je fais du sport et la nuit je ne dors plus... Il va y arriver un moment ou mon corps ne suivra plus cette façon de vivre. Je sors de ma salle de cours, classeur sous le bras et trousse dans ce bout de carton. Je rentre dans mon dortoir non loin, puis ouvre le porte de ma chambre désormais vide, pour déposer mes affaires. Je regarde l'heure. 17h55. Rapidement je me change, je met un jean HPW puis enfile un débardeur blanc. Je prends une serviettes et enfile des brassard qui aspirent la transpiration pour finir par sortir de ma chambre, fermant à clé derrière moi. Dans les couloirs, je croisent plusieurs élèves profitant du couvre-feu tardif pour discuter un peu. J'esquive les divers corps se mettant en face de moi de petites rotation d'épaule. Arriver au bout de dortoir je m'assois un coup, je prends ma tête entre mes mains et me concentre. Il faut que j'arrête de penser à l'accident, ça fait presque un mois maintenant ! Je reprends mon chemin, direction le gymnase.

Sur le chemin, je crois un professeur me demandant où je me dirige, et dans quel but :

-B'jour monsieur, bah j'ai besoin de faire un peu de sport alors je vais au gymnase.. Dites, vous savez si un cours du soir avait prévu de se faire ce soir, au gymnase ?

-Non Mike, aucune. Bonne soirée.

-Merci..

Je tourne à droite, à gauche. Des petites bifurcations qui me mène devant la porte métallique de la grande salle de sport. Je me dirige vers l'extrémité droite de la salle puis dépose mon sac, je tourne la tête de différents côtés. Personne ! J'ôte mon débardeur blanc puis je me mets en position d'abdos, je commence à compter à haute voix, tout en réfléchissant à mon futur. Désormais j'allais utiliser mes pouvoirs pour le bien des autres, car le mien est totalement ravagé. Karma est la seule personne en qui j'ai vraiment confiance, elle m'a accueilli en temps que tutrice à l'institut, et finis par être ma tutrice légalement. Quelle histoire ! Mes mains étaient positionnées derrière ma tête, je faisais du gauche-droite. Mes abdominaux déjà visibles se compressaient à chaque rapprochement de mes genoux. Un petit plus de ma mutation : Mon corps s'habitue plus rapidement à l'entraînement que je lui donne, sans doute grâce à ma chaleur supérieure à la normale. Je me releve et cette fois-ci je me mis en position pompes, les bras rapprochés du corps je commence mon second entraînement physique. A chaque poussée, je m'éloigne du sol, puis m'en rapproche. Quand on pense à autre chose que le sport, bah ça fait bizarre

Au bout de quelques secondes, je ne comptais plus et j'étais replongé dans mes penser. Karma m'a dit que certains gars et moi allions partir en salle des dangers, j'apprendrais peut-être à mieux connaître mon pouvoir là bas. Récemment je me suis coupé les cheveux, plusieurs personnes m'ont dit que ça m'aller mieux. J'en sais rien moi, j'suis pas du genre à me juger ! Au bout d'un moment chaque poussée était de plus en plus compliqué, mais je continuais ! Puis la souffrance physique n'était rien par rapport à ce que j'endurais moralement. Chaque seconde était une douleur supplémentaire... Je devrais peut-être en parler à un mutant qui lit dans la tête ? Peut-être pourra t-il m'aider à me sentir moins con..Je regarde l'heure sur la montre que j'avais posé en dessous de mon visage... 18h10 , je suis dans les temps !

Quoi de mieux que la fin de journée? Je souris. C'était agréable de savoir que les cours étaient terminés. Même si ceux de l'institut étaient différents de ceux que je pouvais disposer à l'université de Columbia. Cette situation en équilibre en aurait bouleversé plus d'un mais je savais que pour réussir et pour être à la hauteur de ce que mes proches souhaitaient pour moi, il me fallait travailler sans relâche.

Le professeur nous remercia de notre attention. Les maths, même s'ils ne m'etauent plus utiles pour mon projet professionnel constituaient mon évasion. Je ne pensais plus qu'à cela lorsque j'étais plongée dedans. Je repris mes cours et les fourrai dans mon sac. Puis, suivant le flux migratoire instauré par les camarades, je pris la porte de sortie. Ce soir me semblait différent des autres. Ce soir, je ne rentrerai pas retrouver Daniel, je resterai à l'institut. Cependant, je ne subirai aucun couvre feu pour ma part, ma situation étant un temps soit peu "spéciale". J'étais l'objet d'une liberté aménagée.

D'un sourire je saluai un camarade que j'avais déjà rencontré. De loin, j'aperçu Caitlyn Elioth. Si Daniel m'avait demandé de garder un œil sur elle, je ne m'étais toujours pas présentée et je demeurai pour elle une parfaite inconnue. Pour le moment, cela ne me gênait pas et jouer les espionnes ne m'amusait pas vraiment.

Les élèves remontaient pour la plupart dans leur dortoir. Ils avaient probablement des montagnes de cours à revoir ou un dernier créneau pris pour travailler leur pouvoir. J'ouvris la porte de ma chambre. Je déposai mon sac au pied du bureau vide. Je ne laissai jamais rien ici à part quelques vêtements. Je ne craignais pas les voleurs mais je ne venais ici que de manière occasionnelle.

Assise sur mon lit, je réfléchis alors à une activité. Studieuse, j'avais déjà relu et revu mes cours de la journée. Les maths n'étaient pas des devoirs, plus un loisir. Alors, à part une promenade dans le parc... Je souris, songeant alors a une pièce ou je ne m'étais que peu aventurée depuis mon arrivée à L'institut. Souriante, J'ouvris mon armoir et en sortit mon matériel de sport. Je me changeai à la va vite et repris les escaliers pour me rendre dans le gymnase.

Je ne devrais pas être trop embêtée. À cette heure, les élèves devaient être tous occupés et aucun cours de sport ne devait avoir lieu. Tandis que je franchissai les derniers mètres me séparant de la salle, je me préparai mentalement un petit programme, m'attachant à la même occasion les cheveux en queue de cheval.

Puis, J'ouvris la porte. Moi qui m'attendais à être seule, je fus surprise de découvrir un jeune garçon en pleine séance de musculation. Sous la surprise, mes sourcils se haussèrent. Si j'étais surprise, je crus lire sur le visage du jeune mutant qu'il en était de même pour lui. À dire vrai, j'étais presque gênée de l'avoir derangé en plein effort. Aussi, mes premiers mots à son egard furent pour le moins bancales.

"Euh... Salut! Tu ne travailles pas toi?"

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Toujours en pleine séance de sport, le sol qui s'approche, s'éloigne... Et ainsi des suites jusqu'à que je relâche enfin mes efforts. Je me soulève à l'aide de mes bras pour enfin retrouver tout mon poids sur mes jambes, m'approchant de l'endroit où j'avais laissé ma serviette, j'attrape celle-ci essuyant la transpiration que j'avais sécrété. Je re pose la serviette par terre, avec un air un peu rêveur je commence à me mettre en piquet : Avoir fait du cirque ça aide ! Je commence à lever puis remonter, Un, Deux puis d'un coup j'entends la poignée de la porte s'abaissait, déconcentré je tombe dos au sol puis regarde la personne qui venait de rentrer dans le gymnase. Fille, les cheveux blonds et les yeux d'un vert étincelant, j'étais presque hypnotisé et étonné à la fois. Je me relève d'un coup d'épaule, me grattant le derrière de la tête tout en souriant, un peu embarrassé. Elle faisait à peu près ma taille ce qui me permettait de la regarder ni de haut comme Karma, ni de bas comme Forge ! je jète un coup d'oeil à droite pour récupérer mon débardeur blanc, puis je renfile. Pas que je sois pudique, mais par respect pour cette fille. Avec un air un peu bancale, elle me demanda si je ne travaillais pas... Je pense que ça ne se voyait pas assez ! D'un ton calme et reposé, je lui réponds :

-Non, je me prépare à une sortie... Mais tu ne travailles pas non plus à ce que je vois ?

Je m'approchais un peu d'elle, en laissant ma serviette là où je l'avais posé. Elle était vraiment mignonne, mais je n'avais pas le temps de penser à ce genre de choses. Mes muscles me tiraient un peu, et ma tête me faisait aussi mal, en fait lorsqu'elle est rentrée, ma tête s'est dirigé vers le sol en piquet, alors j'avais une douleur sur le haut du crâne et aux cervicales ! Faut dire que je n'avais rien à faire la tête à l'envers non plus. Mais je pense que ce n'est pas pire que ce que je vais vivre bientôt ! mon débardeur me serrait un peu, mais bon ces vêtements sont faits pour ça ! En relâchant mon bras, ma main touche le fond de ma poche et failli faire tomber mon briquet... Très mauvaise idée, pas envie de m'attirer les foudres du professeur X en ayant fait cramer le Gymnase ! Le vent soufflait un peu dehors, et la pluie commença à s'abattre sur le toit de la salle de sport, je vais devoir rester dans le gymnase plus longtemps que prévue je pense.

Si la surprise s'était lue sur son visage, ce fut avant tout la cabriole qu'il exécuta pour finir à terre qui me fit comprendre que j'étais peut être entrée sans qu'il ne puisse envisager cela. Et moi, ma seule réaction avait-été "Tu ne travailles pas ?". j'avais envie de me mettre une claque. Ce garçon semblait jeune, il se pouvait qu'il se soit fait mal. Cependant, il se releva tellement vite que j'en déduis que, si blessure il y avait, ça ne devait pas être trop violent. Ce ne fut que lorsque qu'il fut debout que je réalisais qu'il était torse nu. Je rougis, gênée, et détournais la tête le temps qu'il remette son débardeur.

J'avais du mal à lui donner un âge. Il était d'une taille avoisinant la mienne. Mais ce n'était pas un critère. A vrai dire, quoi que je puisse voir ne pouvait m'aider à mettre un nombre sur son âge. Voilà qui était une énigme tortuuse pour mes méninges. Cependant, son visage semblait trop enfantin pour dépasser la vingtaine.

Il répondit à ma question d'une voix calme. Puis, déjà une interrogation. Je souris. Cet élève n'avait vraiment aps plus de vingt ans, c'était une certitude.

"Eh bien... Je n'ai pas réellement besoin de travailler... Enfin, je veux dire... Mes études n'ont pas lieu à l'institut... En fait, je.... C'est compliqué..."

Un sourire gêné se dessina sur mes lèvres. Je n'avais jamais eu affaire à ce genre de situation. Comment expliquer à un inconnu, à quelqu'un qui ne me connaissait pas du tout que j'étais là sans être là parce que je vivais en temps normal au BAM ? Et puis, ça ne le regardait en aucun cas.

Il s'était approché de moi. Malgré le fait qu'il soient attachés, je passait machinalement ma main derrière mon oreille, comme pour y remmetre en place une mèche de cheveux imaginaire. Je m'apprétais à changer de sujet quand la pluie se fit entendre sur le toit du gymnase. Pas une petite pluie. Une bonne averse qui promettait de tremper jusqu'aux os quiconque s'amuserait à la défier. On allait donc devoir passer un moment tous les deux dans le gymnase.

"Tu... Hum... Je m'appelle Enora... Ca te dérange pas si... Si je..."

D'un geste de la main, je montrais les tapis, la salle... Bref, un geste bien peu précis qui tentait en vain d'expliquer mes intentions sportives.

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Elle ne travaillait pas ici ? C'était quoi cette réponse, une devinette ? Ou peut-être n'a-t-elle pas envie d'en parler ! Oui ça doit être ça. Mes migraines reprenaient de plus belle, j'ai vraiment horreur de ça, bon ça devrait passer dans 2-3 minutes, le temps je me concentrais sur cette situation peu confortable : Je me retrouve avec une fille sans doute bien plus âgé que moi, ayant la permission de dépasser le couvre-feu dans un gymnase entouré d'une pluie glaciale et battante. La plupart des mecs rêveraient de cette situation mais pas moi, non moi je pense à m'entraînais, et rien qu'à ça... Enfin bon certain diront que je suis plus mature, d'autre complètement stupide ! Mais là n'était pas la question, je n'allais pas reprendre le sport, devant elle comme ça ! ça ferait très.. Mal poli .

Elle fit un geste de la main sur lequel je ne m'attardais pas, ma migraine était passée : Heureusement faut-il que j'ajoute ! Alors elle s'appelait donc Enora ? Elle parlait avec un air très timide, et je n'aurais pas pu comprendre si elle n'avait pas accompagné sa phrase d'un geste de la main je n'aurais pas compris qu'elle voulait faire du sport. Enfin je dégage la voie et ajoute avec un air sympathique :

-Moi c'est Mike, ravi de te rencontrer Enora. Ouai vas-y il n'y a pas de problème. Si tu me permets je vais moi même reprendre mon entraînement.

Je me dirige vers ma serviette et m'essuie un peu le cou. Je regarde la fille en lui souriant gentiment puis me remets en position de piquet, je n'ai pas pour habitude de ne pas terminer ce que j'ai commencé. Puis si je ne solliciter pas pleinement mon corps celui-ci m'en faisait payer la prix la nuit, et il fallait que je m'habitue aux situations extrême ! Je commence à me baisser et le relever, à chaque fois mon nez frôlait le sol, au bout de 41 je décide de retourner m'asseoir pour me détendre un peu et en apprendre plus sur Enora.

-Sinon, ça fait longtemps que tu es à l'institut ? On est beaucoup mais je ne me souviens pas t'avoir croisé beaucoup.

Niveau c'n'est pas ta vie, je tapais dans le haut niveau mais bon, ça me ne me fait pas de mal d'en savoir un peu plus sur les gens peuplant cette école pour mutant. Quand je regarde le visage de la fille, j'ai l'impression de retomber en enfance, quand on me racontait des histoires sur les héros qui allaient sauver les donzelles en danger, elle avait typiquement l'air de ce genre de fille. Enfin bon je décide de regarder le toit avant de lâcher soupire discrètement.

Si j'étais gênée, Mike parvenait tout de même à me comprendre. Je fus soulagée de voir que ma présence ne le dérangerais pas pour le moment. En même temps, je me voyais mal repartir sous la pluie batante rien que pour lui faire plaisir. Et puis, le gymnase était à tout le monde. Et si quelqu'un ici ferait mieux d'aller dans sa chambre à cette heure, c'était lui, pas moi.

Il était sympathique malgré la jeunesse qui se lisait sur ses traits et à travers ses mots. A peine m'eut-il laissé une partie de lassale qu'il retourna à ses propres affaires. Je lui adressai un nouveau sourire et me dirigeai vers la partie de la salle qui m'était désignée. Étant arrivée dans le gymnase en trottant, je m'étais déjà quelques peu échauffée. Je finis donc cela en malmenant un peu mes muscles. Puis, mon vrai travail commença.

Je n'étais pas très sportive. Mais je m'étais rendue compte en travaillant à l'institut que l'endurance était une qualité. Tout comme une condition physique exemplaire. Voilà pourquoi j'étais devenue sérieuse quant au sport que je pratiquais. Je commençai donc par trois séries d'abdos. Si cela me parraissait aisé au début, la fin m'était douloureuse et je finis ma dernière série, allongée par terre, le souffle court.

D'un oeil, j'avais observé mon camarade qui s'amusait à se mettre en poirier pour ensuite jouer à l'ascenseur. Si ça m'avait fait sourire au début, je devais m'incliner devant les capacités du jeune homme, autant pour son équilibre que pour sa force. Quand il eut fini - je n'avais pas pris le temps de compter le nombre de fois qu'il montait et redescendait, trop perturbée par mon propre exercice - il s'assit sur le banc. Puis, sa voix s'éleva de nouveau dans les airs.

Je me redressai à m'assis sur le sol, lui faisant face. Voilà que sa curiosité devenait débordante. Cependant, je décidai de lui répondre poliment et sans relever ce point.

"Eh bien... Cela fait deux ans je crois. Je suis Française. J'ai tout quitté pour venir ici... Mes parents ont consciene de mes facultés... Peu communes... mais ce fut mon choix de partir..."

Je lui souris légèrement. Je n'avais pas parlé de cela depuis bien longtemps. Peu de gens avaient la chance de savoir autant de choses sur moi. Mais beaucoup d'autres en savaient d'autres.

"Mais je ne vis plus à l'instut... Je suis un peu vieille pour tout ça et... J'ai eu la possibilité de m'installer ailleurs. Mais bon, le professeur Xavier est au courant de tout et me laisse un pied à terre ici. J'ai donc deux maisons à New-York, si on veut... Mais, et toi ? Je ne me souviens pas t'avoir croisé non plus avant... Peut être n'es-tu là que depuis peu...?"

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Elle aussi pratiquait son exercice, mais j'étais trop occupé pour regarder. Elle s'arrêta pour répondre à mes questions, j'étais sans doute indiscret... Il fallait que j'arrête de lui poser des questions. Elle se redressa pour me faire face avant de m'expliquer que ça faisait 2 ans qu'elle était arrivée à l'institut elle a quitté ses parents de son plein gré et elle habitait en France... Elle ajouta qu'elle était trop vieille pour vivre à l'institut et que le professeur Xavier était au courant. Elle me retourna alors la question.

Je m'étire un bon coup avant de commencer à parler :

-Non, tu as raison je suis arrivé récemment à l'institut, il y a à peu près 1 mois. J'ai quitté ma mère qui habitait à New-York mais elle ne voulait pas que je rejoigne l'institut. Mam... Le professeur Mahn Coy devait la rencontrer alors qu'elle est morte lors d'un accident, juste devant l'institut. Enfin depuis ce jour là Karma est ma tutrice légale, et je vis à l'institut.

Après lui avoir adressé un petit sourire, je décide m'être assez reposé et je retourne à mon entrainement physique. Je m'assoie par terre et commence une nouvelle série d'abdominaux. La fatigue commençait à s'installer. A chaque fois que je me redressais, la douleur de la préparation physique me lançait. Pendant ce temps je réfléchissais. Il fallait que je sois fort, pour surpasser Alexandre... A chaque fois que je le vois, j'ai envie de le frapper aussi fort que je le pourrais, Il abandonne un gamin et se fout de la gueule du monde. Ce genre de personne, s'il était humain, serait le premier à nous insultés, nous mutants. Chaque seconde à m'entraînais, me permettra à me surpasser le joue où je devrais lui foutre sa raclée... Bien que des personnes m'ont expliqués que je n'avais aucune chance pour l'instant. Faut dire qu'ils n'ont pas tort, je ne suis pas assez entraîné pour la battre.

Je continuais ma série d'abdos, sans regarder Enora qui peut-être avait reprit l'entraînement, je n'en sais absolument à rien. Lorsque la fatigue avait commenc" à trop se ressentir, le m'allongea dos au sol et écartant les bras, ma respiration était assez rapide mais à côté de sa roque, j'devais sans doute avoir contracté je ne sais quelle maladie ! Je ferme les yeux commençant à rêver, une île avec un volcan dans lequel je vivais, j'aidais les villageois à contenir le magma du volcan.... Ce serait trop beau ! Tiens j'y pense, je me mettrais bien à la musique... Faire de la guitare, ça serait sympa mais... Mais qu'est-ce que je dis, je suis en plein entraînement là, quel con !

Je me redresse et recommence une série d'abdos, songeur.