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 La malice à l'oeuvre

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Malicia
Neutre Gamma
Malicia


Messages : 21
Date d'inscription : 16/02/2015

La malice à l'oeuvre  Empty
MessageSujet: La malice à l'oeuvre    La malice à l'oeuvre  Icon_minitimeJeu 5 Mar - 15:39

14h00 Heure local- Aéroport international de New York-John F. Kennedy



« Bonjour, bienvenue à New York madame....Raven, joli nom. » Dit-il à la jeune femme devant lui.

Dans mon grand manteau qui descendait jusqu'à mes chevilles en marron et mes lunettes de soleil noires il ne pouvait pas voir grand-chose de mon visage. Mais cela ne sembla pas le gêner, il avait surtout envie d'en finir avec la queue qui se massait derrière moi . ca mini télé toujours en marche diffusait un match de NBA qui semblait le passionner, en tout cas plus que son travail. Je souris rapidement au contrôleur et tendis la main pour ravoir mon passeport. Le plafond en verre laissait passer les rayons du soleil et commençait à sérieusement chauffer mon crâne. Après avoir passé deux mois en Islande, dans le froid et dans la neige revenir ici en plein été était comme d''avoir le soleil Égyptien qui me cuisait le cerveau.

Je repris ce passeport et ma valise puis passa le portique de détection métallique sans problème. Je me retrouvai dans le hall d'entrée bondé, les enfants pleuraient, les couples se disputaient, les gens attendaient l'embarquement debout ou assis en se plaignant, d'autres attendaient dans les files de queue depuis des heures pour l'enregistrement et par-dessus tout ça le robot annonceur essayait de se faire entendre sans grand succès .


Malgré tout ça, malgré ce concentré de mauvaise humeur et la cohue générale, ça faisait un bien fou de retrouver un endroit connu et de réentendre sa langue natale. Je restai un moment à fixer la porte d'entrée de l'aéroport, me demandant si j'avais bien fait de revenir, comment allait ses anciens amis, y avait-il eu de nouveaux combats, de nouvelles catastrophes depuis son départ ? La ville était-elle encore détruite ?
Les gens passaient autour de moi sans faire attention à qui ils croisaient, je me ressaisis et passa la porte


* Il est trop tard pour faire demi-tour il fallait y penser avant.
La peur était là mais l'envie de retrouver mes repère était plus fort. Même si je savais que le BAM devait veiller au grain dans la ville en faisant profil bas ça devrait aller... enfin je pense.
*


Je sortis enfin dans la ville, et héla un taxi lui demandant de m'emmener à Manhattan à quelques rues de chez moi, le compteur de tour se mit en route et la traversée de Brooklyn se fit sans difficulté, Je re-regardais ses rues comme si c'était la première fois que je les voyais, des étoiles dans les yeux, même si Brooklyn n'était pas l'endroit le plus merveilleux de New York .

* Home Sweet home * pensais-je

Le taxi s'arrêta à l'endroit prévu une fois passé tous les bouchons traditionnels du Queensboro bridge. Je payas le chauffeur homme et marcha jusqu'à chez moi avec ma valise. La porte d'entrée de l'immeuble grinça un peu comme à son habitude , je montas les escaliers avec la valise et m'arrêta devant l'appartement numéro 7. La clef tourna dans la serrure, j'ouvris la porte doucement comme si je m'attendais à trouver les x-mens ou la BAM prêts à me mettre la main dessus.


A mon grand soulagement l'appartement était vide, je jetai ma valise sur le lit et ouvris les volets ainsi qu'une fenêtre en grand pour aérer un peu. La poussière était omniprésente dans l'appartement qui était resté dans cet état depuis un bon moment,. J'enlevai mon manteau et mes lunettes de soleil que je rangeai dans la penderie. Malgré tout, malgré toute la poussière, toutes les choses à laver et à ranger, je m'allongeai dans les draps du lit appréciant maintenant la chaleureuse caresse du soleil sur mon visage et la fraîcheur des draps. Une larme s'échappa de mon œil pour glisser doucement doucement sur ma joue droite, renforçant le contraste de la chaleur du soleil et de l'humide douceur de la larme sur ma peau.

Puis une autre larme apparu jusqu'à ce qu'elles ne s'arrêtent plus de couler. Je me mis à rire un peu, j'étais enfin de retour, j'étais rentré dans mon chez moi, là où tous mes souvenirs douloureux avait pris place, mais bizarrement, je ne me sentais pas triste, non j'étais heureuse. Heureuse de pouvoir enfin me reposer, me poser dans un endroit sans paroles dans ma tête, sans personne à fuir, sans personne à chercher....

Je me relevai après que les larmes accumulées pendant ses deux dernières années aient finis de couler. Puis je me levai pour aller admirer la ville dehors, c'est pour ça que j'avais voulu cet appartement, pour la vue. Pour cette rue qui s'étendait devant moi, comme une route, une route sur laquelle cheminaient tout ces gens qui semblait si pressé sans à un moment ou à un autre apprécier le moment, regarder en l'air comme elle le faisait et admirer la vue des immeubles qui allaient touchés le ciel et les nuages. Ça lui rappelait que, au fond, il faut essayer de profiter de chaque instant de liberté que l'on a, comme un moment précieux de la vie. Ils sont si rare....

Puis Je cru, dans la foule distinguer une silhouette qu'elle ne connaissait que trop bien, un petit homme baraqué qui regardait dans sa direction. Ça ne dura que une seconde, la silhouette s'effaça dans la masse . Je me détournai de la fenêtre pour commencer à ranger ses affaires.

Est-ce-que je devrais retourner à l'institut un jour ? Au moins pour m'excuser ? Est-ce-que c'était vraiment la meilleure chose à faire ? N'essayeraient-ils pas de l''arrêter ? Étaient-ils seulement encore là-bas ?

Je soupirai et sentant le mal de tête approcher à grands pas avec toute ses émotions qui avaient fragilisés son esprit. Je pris des anti-douleurs. Les confréristes, je ne voulais plus en entendre parler , et je crois que c'est réciproque après les avoir laissés tombés à Yggdrasil. Ils n'avaient pas essayé de me recontacter à ma connaissance en tout cas.

Une fois l'appartement rangés et les courses faites, je m'installai confortablement dans son canapé et commença à écrire sur mon ordinateur portable. Un ordinateur que je venais d'acheter, j'y écris tout sur mon voyage, sur mes rencontres, et sur les problèmes qui étaient survenus pendant mes deux ans d'absences. J'en profitai aussi pour faire mes recherches sur les x-mens, il semblait que beaucoup de mes anciens amis manquaient à l'appellent, on ne les avaient plus revu depuis un bon moment. Pas de nouvelles catastrophes à déclarer, les confréristes semblait s'être calmés après Yggdrasil, et le BAM était de plus en plus fort au fil du temps.

Si mes amis n’étaient pas à l'institut rien ne me motivais plus à y aller pour le moment.
Il était 22h lorsque je fermai l'ordinateur et décida de sortir en ville pour faire la fête et profiter des effets secondaires de boire de l'alcool sans pour autant que le facteur guérisseur ne viennes m'en empêcher. Ce sera la première fois depuis que j'avais eu ses pouvoirs surpuissants, ça s'annonçait mémorable.


Je me changea et mis une tenue plus découverte, un débardeur vert avec un pull en coton gris foncé collés au corps et un pantalon noir et mon sac à main noir. Je sortis de l'appartement en disant mentalement à mon appartement


* à tout à l'heure * avec un petit sourire, satisfaite de pouvoir enfin se dire qu'elle rentrera à la maison ce soir.
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