Les purificateurs, the movie part 2 (PV Malicia)

Ca faisait un bout de temps que je n’avais pas sorti de ma routine d’entrainements, pas que cela me déplaisait, mais plus que j’avais besoin de relaxer un peu.

Les rayons de soleil du petit jour commençaient à faire de l’ombre rayée sur le mur de ma chambre, signalant le début de l’aube, et qu’il fallait que je me lève. Vu les récents évènements, je m’étais interdis les grâces matinées.

Je me levai enfin, passant à la salle des douches pour me laver a l’eau froide, question de me réveiller comme il faut.

Puis passant a ma chambre, je m’habillais convenablement, chandail noir à manches longues, pantalons jeans bleu, souliers de jogging noirs. Ensuite chandail chaud et manteau blanc à capuchon et des gants noirs, question de ne pas geler dehors en ce mois de décembre.

Je sorti de l’institut tranquillement, cherchant ou aller. Je me promenais dans la ville, passant devant des boutiques qui, quelque mois plus tôt, me semblaient tentants, comme un bar ou un vendeur d’alcool et de cigares. Mais qui maintenant avaient une touche de nostalgie ou de regrets…

Je me pris un chocolat chaud dans un café, et commençai a le siroter, tout en marchant sans un endroit précis en tête. Finissant celui-ci, je déposai le verre dans une poubelle.

C’est à ce moment que j’entendis une voix grave d’un homme :
J’ai trouvé une mutante! Vite avant qu’elle s’échappe!

Je fis un petit bon dans les airs, puis je créai des ressorts en dessous de mes pieds pour me propulser dans la direction de l’endroit où j’avais entendu la voix. Et ensuite des ressorts pour amortir ma chute.

Atterrissant, je vis que l’homme était assez costaux, dans la trentaine, vêtu de vêtements chauds, mais affichant fièrement une insigne anti-mutante. L’idée me parcourut que c’était peut-être celui qui m’avait lancé le couteau, mais cela aurait été une sacré coïncidence…

Nous étions dans un terrain de basketball récemment déneigé, dans la cour arrière d’un établissement de beuverie. Il devait servir de stationnement d’urgence lorsque les usages n’avaient pas le droit de se stationnement de la rue, pour faciliter le déneigement. Cependant en plein jour, c’était peu probable d’en voir, et en effet, il y en avait aucun en vue…

Regardant autour d moi, je vis que j’étais arrivé au ‘’mauvais moment’’, apparemment, l’homme ne semblait pas apprécier, surtout que mon arrivée subite avait pour ainsi dire révélé ma nature mutante. La jeune mutante, une femme chat, si je pouvais en déduire ainsi avec le poil qui se voyait aux endroit non couverts par les vêtement, les oreilles et le petit nez mignon, une petite siamoise grise et noire… Elle ne devait pas avoir plus de 16 ans, (a moins que l’anatomie féline fasse en sorte que je me trompe sur son cas) Elle était en position défensive, et avait raison, avec le sang qui tachait sa fourrure au niveau de ses lèvres, et un de ses yeux était fermé à cause d’une ecchymose…

Va-t’en, je m’occupe de lui, lui dis-je en faisant un signe de la tête pour dire de partir, ce qu’elle fit sans hésitation.

L’homme me lança un couteau, que j’arrêtai avec un mur de force, le faisant ricochet et tomber au sol. Puis il fut étonné… ou plutôt intrigué, comme si cela lui rappelait quelque chose…

C’est toi, sur le toit! Je t’ai lancé un couteau, et apparemment, je t’ai… marqué! Dit-il avant de d’éclater de rire.

Je poussai un soupir d’exaspération et de colère… Mais ce con allait le payer! Je me créais une armure invisible, puis me concentrai pour la rendre semi stable et dure comme du titane.

C’est a ce moment ou les amis de l’anti mutant arrivent en trombe, avec fusil couteaux de lancer et tout un attirail aussi débile qu’illégal en leur possession.
Je créai un ressort en dessous de mes pieds pour me donner un bon élan, et je lui donnai un bon coup de poing sur la mâchoire, sans tenir compte des acolytes du sans génie, qui s’étala à terre sans donner son reste.

C’est qui le prochain?

Moi qui avait commencé la journée du bon pied, et avait décidé de prendre une journée de repos, j’étais mal parti… une attaque anti mutante, et de revoir mon ‘’Némésis’’ temporaire. J’avais frappé et mis K.O. mon ancien (et nouvel) agresseur. La colère me submergeais, j’avais envie de me venger de chacun d’eux comme si ils étaient tous responsable de ma blessure au visage (qui était cependant devenue une cicatrice à cause de mes propres ‘’soins’’.
Je menaçais verbalement ces détraqués, pensant au châtiment que je pourrais leur faire subir, question de me divertir pendant qu’ils s’acharneraient inutilement sur mon armure, lorsque je fus interrompu dans mes pensées. La responsable de cette interruption, qui je pensais devoir secourir bientôt…, mis (je suppose) K.O. deux de mes agresseurs d’un seul coup en atterrissant devant moi, comme si elle avait le pouvoir de voler. Puis elle fut très aimable avec un troisième imbécile qui avait décidé de l’attaquer et de lui tirer dessus…

Le seul problème avec sa tactique qui servait probablement autant à casser la gueule a ces hommes et peut-être a me protéger, incluait que les balles évitées pouvaient quand même m’atteindre. Une d’elle le fit, au beau milieu de mon front, qui s’écrasa sur mon armure, comme une marque indou. La femme, visiblement mutante aussi, fit un bon en arrière, pour atterrir à côté de moi, et me demander si ca allait.

Je lui fit un sourire amusé avant de retirer la balle qui était restée en place et lui montrer, avant de la jeter derrière mon épaule.

Ouaip

Je fit signe d’attendre un peu, je venais de remarquer quelque chose, une dent féline était sur le sol avec du sang dessus… mon sang ne fit qu’un tour.je me créai des gants de force flexibles, que je colorai bleu, puis je fis un geste circulaire avec ma main gauche, créant un ressort, jusqu’à l’anti mutant le plus proche, qui accrocha son manteau et l’amena vers moi. Je me créai ensuite des pinces ‘’long nose’’, je mis mon droit gauche dans sa bouche, étirant ses lèvres, pour aller mettre le restant de mes doigts derrière son cou, y insérai la pince, et pris en otage une de ses dents du haut en otage. Je jouai un peu avec, puis je l’arrachai, avant de retirer mon pouce de sa bouche. Instinctivement, il poussa un cri de douleur et de terreur et plaqua ses mains sur la plaie. Je créai ensuite un autre ressors avec un plaque devant, qui envoya valser l’individu comme une boule de bowling sur ses comparses.

Je jetai la dent à côté de moi, du côté opposé à la mutante et fit disparaitre les pinces, retirai mes gants, et les jetai sur la dent (qui disparurent au moment où je cessai dès les toucher, ce qui fit que seul un jet de sang éclaboussait le sol)

Puis retournai vers ma voisine possédant le gêne X. Haussant les épaules, et les paumes vers le haut, les coudes vers le bas.

Désolé, j’avais une dent contre lui.

Avancant ma main vers l’étrangère, lui offrant de lui serrer la main, faisant mine d’ignorer les purificateurs.

Moi c’est Mr Mime, enchanté de faire ta connaissance, que fais-tu dans le coin?

.

Elle m’avais vu pendant que je me battais? Soit elle avait volé dans les airs, soit elle avait voyagé e toit en toit, qui était plutôt difficile, si l’on considérait la distance entre les immeubles, il lui fallait une forme physique améliorée ou quelque chose comme cela. J’avais tiré cette conclusion a cause de la façon dont elle avait atterri en diagonale, ramassant les deux personnes par la même occasion.

Je me refusais de tuer, a moins que ce soit nécessaire, en théorie, car je n’avais jamais tué en pratique. Ce n’était cependant pas quelque chose que je projetais faire.

Si tu es venue m’aider à leur donner une leçon, comment proposes-tu de t’y prendre? Je veux dire, ce n’est pas comme si ils nous donnaient vraiment un défi. Les tuer ne servirait pas à grand-chose, vu qu’on veut leur donner une leçon…

Je me tournai vers les antis mutants, peinturant dans les airs, comme un peintre devant une esquisse invisible, regardant chacun de ces individus en détail, puis je fis apparaitre mon illusion; une petite boule de lumière extrêmement intense devant chacun de leurs yeux. Cette illusion ne dura qu’une demi seconde, mais étant assez forte pour éblouir quelqu’un des lunettes de soleil, et l’étourdir légèrement. Dans leur cas, ils avaient laissé tomber leurs armes, et tenaient leurs visages à deux mains, le temps que la douleur au niveau de leurs globes oculaires s’estompe. De par la nature de mes illusions, elles sont visibles d’un côté seulement, ce qui fait que cela ne nous avait pas affectés, cependant, nous pouvions quand même voir le reflet de cette dite lumière dans leurs yeux et dans les objets métalliques.

Bon, ça devrait nous laisser un peu de temps pour réfléchir… alors, tu proposes quoi?

je ne savais pas vraiment quoi penser de toute cette histoire. De la facon que je voyais cela, les purificateurs étaient un groupe de gens stupides, bornés et irrécupérables. On avait beau essayer de leur donner une lecon, ou essayer de les reformer, la peur des mutants, du changement, et du danger que représentaient (selon eux) toute différence notable, lpoussaient a agir sans discrimination de sex d'age out de nationalité, tant que tout était uniforme. C'étais un dilemne a sens unique... les tuer ne servirait qu'a approvisionner la peur que les autres personnes de leur groupe ressentais envers les mutants.

Cependant, en tant que X-men, je ne savais pasquoi penser de cette situation. On nous avais apprs a accepter les différences, et a vivre en paix avec les humains. Mais souvent je doutais de cet idéal, pas que j'avais peur d'être rejeté par l'institut, mais plutot que j'avais peur de retrouver un de mes amis, morts par la main d'un de ces imbéciles... que ferais-je a ce moment? aurais-je envie d'étripper le responsable? de finalement tuer? Je ne savais pas, et je n'avais pas vraiment envie de le savoir...