Kurkaru Élève à l'Institut Gamma
Messages : 1035 Date d'inscription : 01/04/2012 Age : 35
| Sujet: John Heston / Kurkaru Dim 1 Avr - 15:46 | |
| CARTE D'IDENTITE
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NOM : Heston
PRENOM : John
ALIAS ET SURNOM : Kurkaru
AGE : 22
DATE DE NAISSANCE : 17 avril 1990
METIER : Squatteur
NATIONALITE : Américain.
GENRE : Masculin.
CLAN : Élève X men.
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Pouvoirs :
- Description :
- Zone N : Il s'agit d'une bulle invisible de 2 mètres de haute et ayant une circonférence d'environ 2 m 50. Cette bulle est toujours active indépendamment de la volonté de Kurkaru sauf au prix d'une concentration intense. A l'intérieur de cette bulle rien ne fonctionne. Que ce soit la technologie (tout ce qui est plus évolué qu'un pistolet à silex ne fonctionne pas) ou les pouvoirs mutants. Cette bulle n'entraîne pas de dépense d'énergie sauf lorsqu'elle est la cible d'attaque violente (pression TK ou attaque psychique). La bulle n'entraîne pas une régression au stade humain chez les mutants ayant des apparences physique modifier, mais seulement une perte des avantage conférés par cette forme.
Ps : Les pouvoirs entretenus sont dissipés, mais pas les pouvoirs non entretenus. Par exemple, si Magnéto lance des balles métallique dans la zone N, celle ci conserveront la vitesse et la direction qu'elle avaient avant d'entrer dans sa zone. Mais il sera incapable de de les diriger. De même les rayons d'énergies comme les rafales de Havok ou de Cyclope se dissipent dans la zone N de Kurkaru, car elle dépendent de la nature mutante de ceux ci pour exister. Cependant, celles ci ne se dissipe pas de façon instantanée.
- Bave N : Kurkaru a tendance à être recouvert d'une substance de couleur verdâtre qui se dépose facilement sur tout ce avec quoi il entre en contact. Cette substance est doté de différentes propriété, et est en fait la source du pouvoir de Kurkaru. Elle permet une adhérence supérieur lors de la prise en main d'objet ou de prise lors de l'escalade ( à la manière des gels spéciaux vendu dans les magasin de sport, ou dans une moindre mesure du talque). Mais la propriété majeur de ce produit est en fait de générer la zone N de Kurkaru. Cependant, la puissance de ce produit s'accroît. En effet, il fallait auparavant que celui ci soit présent en grande quantité, et donc ne s'activait qu'autour de Kurkaru. Maintenant ce n'est plus nécessaire, une petite tache du liquide laissé par Kurkaru suffit à créer la zone N. Celle ci est bien entendue limitée en temps (entre 10 minutes et une heure selon la quantité de produit laissée) et en superficie (entre 50 centimètre et un mètre cinquante, la encore en fonction de la quantité de produit qui est laissée).
Par exemple le pantalon de Kurkaru est tellement imprégné qu'il aura quasiment le même effet que Kurkaru lui même.
Les points de sorties de cette substances sont confondus avec les points de sorties de la sueur ( les glandes sécrétant le produit N étant installées au même endroit que les glandes sudoripares.)
- Et en cadeau bonux, son frangin symbiotique pondeur de gnome bleus :
- Spoiler:
CARTE D'IDENTITE
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NOM : Heston
PRENOM : Franklin Hannibal
ALIAS ET SURNOM : Parasite, la Larve
AGE : 19 ans
DATE DE NAISSANCE : 20/01/1993
METIER : En impossibilité physique d'en avoir un (légalement décédé).
NATIONALITE : Américaine (légalement décédé).
GENRE : Masculin
CLAN : Résident d'un Résident à l'institut.
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Pouvoirs :
- Description :
Parasite : Franklin n'a pas eu de chance avec sa mutation, il s'est transformé en un ver d'une trentaine de centimètres, complètement incapable de survivre sans l'aide d'un organisme pour le protéger et le nourrir. Il a compris d'instinct qu'il avait besoin de cette protection, lors de circonstances pour le moins dramatiques, comme raconté plus bas. Le Parasite est ainsi capable de pénétrer dans l'organisme d'un corps hôte (de préférence intelligent, bien que ce ne soit pas nécessaire, la seule condition étant qu'il soit assez grand pour l'héberger et assez solide pour supporter l'alimentation du parasite en plus de la sienne) de se frayer un chemin dans les tissus mous sans provoquer autre chose que des lésions mineurs et de se relier à la colonne vertébrale, au systèmes sanguins et au systèmes digestif. Et ce , par le biais d'excroissance organiques temporaires qui poussent relativement rapidement (en deux jours, dans un organisme normal, le Parasite est complètement relié au systèmes de son corps hôte). Cela permet au parasite de se nourrir mais également de partiellement influencer son hôte. Lorsque Franklin quitte son hôte, il abandonne les excroissance à l'intérieur de celui ci. Il en ressent une impression de perte physique. Ces excroissances sont rapidement détruite par le système immunitaire du corps hôte (en un ou deux jours). Si Franklin à choisis la possession d'un animal, son adaptation est plus difficile, car la physiologie du corps lui est complètement étrangère tout comme les défenses immunitaires de celui ci. Au mieux il peut s'agir d'une solution temporaire pour quelque jour, mais il ne peut pas survivre longtemps dans le corps d'un animal.
La maîtrise totale de l'hôte est un processus complexe, qui est quasi impossible quand celui ci est conscient, et ce quelque soit sa nature, animale ou humaine. Il est ainsi nettement plus simple pour le parasite de maîtriser des personnes en état végétatif ou inconsciente. C'est d'ailleurs ce que Franklin à toujours fait, à quelques exceptions prêt. Dans le cas d'une personne consciente, il ne pourrait affecter que des muscles, un ou deux à la fois. Si cette personne est inconsciente, il peut manipuler son corps, mais difficilement, et perdra tout contrôle à son réveil. Il évite généralement cette option, car c'est très éprouvant pour lui. Il ne peut affecter les muscles d'une personne consciente qu'une ou deux fois dans une journée avant de devoir se reposer pendant plusieurs jours. Si une personne est dans le coma, il peut manipuler son corps une journée au maximum, avant de devoir se reposer pendant plusieurs semaines. Si la personne est simplement inconsciente ou endormie, son contrôle ne peut excéder une heure, et il est aussi fatigué que s'il avait manipuler une personne en état végétatif pendant une journée.
Les médicaments ou de n'importe quel substance active qu'un hôte pourrait prendre et qui transite par le sang, Franklin y est également exposé, dans un degré moindre, cependant (environ pour moitié, car lorsqu'il atteins Franklin, le principe actif à déjà parcouru un long chemin). Cependant, sa corpulence étant très faible, les effets sont toujours conséquent. Un excès de médicament pourrait facilement entraîner sa mort, surtout s'il se trouve dans une organisme "agressif" et non dans le corps d'une personne génétiquement proche de lui.
Il peut également transmettre des « messages » à son hôte, mais celui ci risque fort de se penser victime d'hallucinations. Ces messages se présentes soit sous la forme de mot voir de phrases, soit sous la forme d'image qui s'imposent à l'hôte comme des flashs. Si l'hôte résiste, Franklin ne peut envoyer plus d'un ou deux messages par heure sans s'épuiser rapidement. Si l'hôte accepte, ou du moins ne résiste pas, une véritable communication peut s'établir. Franklin ne perçoit pas les pensées de son hôte, tout du moins pas la majorité. Il perçoit juste celle qui sont « fortes », comme par exemple dans un état de stress intense. Il perçoit aussi les pensées qui lui serraient adressé, si bien sur on avait conscience de sa présence.
La présence du parasite dans l'organisme entraîne une consommation plus importe que d'ordinaire par le corps hôte, une faim plus présente et continue. Si l'hôte ne se nourrit pas, il risque de se fatiguer plus rapidement et de s'affaiblir. Il peut même aller jusqu'à devenir l'immunodépressif. En cas de coup dur pour lui, le parasite se sert dans les réserves de son hôte, au détriment de celui ci qui s'affaiblit beaucoup plus vite, et peut mourir. Le parasite privilégie en effet sa survie en priorité. Ainsi quand le parasite essaye de manipuler le corps de l'hôte et se fatigue à se faire, il pompe ensuite lors de sa phase de repos beaucoup plus dans les réserves nutritives de son hôte, ce qui l'affaiblit également.
Dans la majorité des cas, la personne qui est l'hôte du parasite s'affaiblit assez rapidement : son organisme essaye en effet de supprimer le parasite, le considérant comme un intrus. Le parasite se défend en retournant le système immunitaire de son hôte contre lui même. Une personne normale infectée par le parasite voit son espérance de vie réduite allant de quelques années à moins d'un an en fonction du physique de cette personne et de son état de santé avant que Franklin ne s'attache à lui. Si l'hôte dispose d'un systèmes immunitaire supérieur à la moyenne, Franklin risque fort d'être détruit par le système immunitaire. Si la réponse immunitaire est juste supérieure, il fuira, mais si elle est trop forte, il risque d'être dévoré par le système immunitaire avant d'en avoir eu le temps. S'il s'agit d'un mutant avec un pouvoir, Franklin peut s'immuniser à celui ci en se synchronisant avec le corps du mutant. Mais tout comme pour la résistance aux agression immunitaire cette capacité est imparfaite et ne fonctionne qu'avec des mutants ayant un patrimoine génétique proche du sien.
Cette situation est très éprouvant pour le parasite, car il est tout de même partiellement agressé par le système immunitaire de l'hôte, ce qui l'empêche de prendre des forces . Le cas est différent dans le cadre d'une proximité génétique suffisante, comme dans le cas d'un parent proche : les capacités d'adaptation du parasite sont alors suffisantes pour éviter la dégénérescence. Si l'incubation de Franklin avait été complète, cet état de fait aurait été différent, mais il est maintenant trop tard et il restera incapable de parasiter autre chose que des personnes ayant un code génétique proche du sien à jamais.
Si le parasite trouve un hôte compatible, et qu'il n'est pas obligé de dilapider ses forces pour se protéger du système immunitaire de son hôte, il est alors capable d'utiliser une autre facette de ses pouvoirs, qui fait de lui non pas un simple parasite mais bien un symbiote. Franklin est en effet capable de pondre des oeufs Ces oeufs, de couleur orange, d'environ 4 centimètre sont ensuite placés dans l'estomac de l'hôte, par groupe de trois ou quatre. La larve déclenche alors un spasme chez l'hôte, qui régurgite alors les oeufs, en même temps que son précédent repas. La résistance des coquilles est assez importante, du l'ordre du quart de celle d'un oeuf d'autruche.
Franklin n'a pas besoin d'être fécondé : il n'a pas besoin que les oeufs soient fertilisées par un mâle ou une femelle éventuel. En fait, il puise dans le matériel génétique de son hôte pour obtenir la moitié des informations génétiques nécessaires, et apporte l'autre moitié de son propre code génétique. C'est ce qui explique que les créatures qu'il génère présente une partie des capacités de Kurkaru et une partie étrangère, qui est celle apportée par son propre code génétique dévolu à la création de ces créatures.
Au bout de quelques minutes, les coquilles se rompent pour laisser place à des créatures d'environ 6-7 centimètres, de couleur bleue, et disposant d'une pilosité d'un roux vif. Elles sont incapable d'émettre d'autres sont que des borborygmes. Celles-ci sont plus ou moins capable de se déplacer seules et de se mourir d'aliments solides, et disposent d'un instinct de survie assez développé qui les incitera à rester cacher le temps que leurs congénères éventuels prennent soin d'eux, ou qu'ils aient achevés leur croissance.
Leur temps de croissance est d'environ une semaine à dix jours pour attendre un corps adulte. Les spécimens atteignent ensuite l'age adulte en deux mois et la force de l'age en six mois. Au bout de un ans, ceux ci s'affaiblissent, leurs démarche et leur vitesse diminue comme leur force, pour une espérances de vie maximale de un ans et demi. A l'age adulte (ces caractéristiques ne varient pas à la force de l'age, et diminue ensuite), leurs caractéristiques physiques sont les suivantes : au niveau de la force, un pictsies (c'est le nom de ces bonshommes), sont capable de soulever prêt de 15 kilos, alors qu'ils ne pèsent eux même, pour les plus lourd, que 500 grammes, et les spécimens normaux, autour de 350-400 grammes. Leur résistance au coups, si celui ci n'est pas bloqué par leur force est relativement faible. Un coup de force moyenne donnée par une personne normale suffira pour les blesser grièvement, leurs brisant les os. Leur vitesse maximale est celle d'un homme normal, cependant, du fait de leur petite taille , l'impression qui s'en dégage est celle d'un déplacement bien plus rapide, les rendant difficile à toucher. De même, leur poids étant relativement faible leur permet de chuter d'une hauteur de 5 étages sans subir de dommages majeurs. Ils sont assez agiles, capables d'escalader la majorité des surfaces non traitées spécialement pour être anti adhésive, ou complètement lisses. Leur intelligence est supérieure à celle de Kurkaru, encore que de façon modérée. Chaque individu développe une personnalité propre. Le groupe obéit à un chef, celui ci étant désigné d'une manière un peu mystérieuse (en fait, un instinct génétique vers le spécimen le plus fort et intelligent). Ces créatures sont vivantes et ont des besoins normaux pour un être vivant. Elles doivent respirer, s'alimenter (avec un peu tout ce qui leur tombe sous la main), sont sensibles aux pouvoirs affectant le vivant comme aux pouvoirs affectant les créatures pensantes, douées de sensibilités émotionnelles ou d'une physiologie humaine. En autres exemple, les Pictsies peuvent être manipulés télépathiquement, être sous le charme d'une personne sécrétant des phéromones, ou être détecté par un empathe. Les seuls particularité de ces Pictsies sont d'être immunisées contre le pouvoir de Kurkaru, car créé partiellement à partir de son matériel biologique, sinon elles peuvent être victime de n'importe quel pouvoir.
D'instinct les Pictsies prennent soin de la personne qui abrite leur créateur. Ils ont conscience de ne pas être créé par le corps de l'hôte, mais bien par quelque chose d'autre. Ils voient dans ce créateur une sorte d'être divin, qui peut parfois communiquer avec eux par la pensée. Cependant c'est encore plus difficile pour Franklin de communiquer avec ses créatures que de communiquer avec un hôte rébarbatif, et le faire plus d'une fois tous les deux jours l'épuise complètement. D'instinct, il est capable de percevoir les Pictsies proche à quelques mètres de lui, et c'est seulement avec eux qu'il peut communiquer. Les Pictsies ont un comportement assez particulier : ils aiment se battre, boire, faire la fête, manger, et n'ont peur de rien. Ils voient chaque aspect du monde comme étant de la magie et à l'instar de tribus primitives ils craignent l'écriture, et surtout l'écriture de leurs noms. La fréquentation de Kurkaru ne les incite pas vraiment à changer d'avis sur ce genre de chose, et il est dur de dire qui débauche qui. Ils respectent Kurkaru comme un ami, mais ne lui obéissent pas vraiment. Si Kurkaru à une idée qui leur plaît, il feront ce que Kurkaru désire, sinon... Et bien ils feront ce qu'ils désirent. Les Pictsies adorent poser des pièges et surprendre les gens, leurs faire des farces, des blagues ou juste discuter.
Il n'y a pas de limite théorique quand au nombre de Pictsies que Franklin peut produire, si ce n'est la quantité de matière que son hôte peut lui fournir. Cependant, au delà de la vingtaine, les membres du groupes sont incapable de s'entendre, et se mettent à se battre, entraînant des départs. Aussi Franklin évitera instinctivement de produire plus d'une quarantaine d'individus. La production d'oeufs prend plusieurs jours, l'acte cause une fatigue excédentaire à l'hôte, le parasite puisant dans ses réserves nutritive pour ce faire. Aussi une production intensive d'oeufs risque d'être fatale à l'hôte. Ainsi, pour Kurkaru, produire plus d'une portée par mois risque de l'affaiblir grandement. Les Pictsies solitaires n'ont généralement pas une très grande espérance de vie, et même dans des conditions parfaite elles survivent rarement plus de quelques semaines.
Sur une personne de taille normale et de corpulence, en bonne santé, et en considérant qu'il soit compatible avec Franklin et que celui ci veuille produire autant de Pictsies que possible, il pourrait produire 30 Pictsies en un mois avant de décéder.
- Niveaux de maitrise : La production d'oeuf est un réflexe instinctif, qu'il ne maîtrise pas exactement. Il produit des oeufs quand la hordes diminue en nombre, sans trop de contrôle sur le processus. Il a du mal à communiquer avec les Pictsies, même quand celle ci sont proches de lui. Pour ce qui est du contrôle nerveux, celui ci est très éprouvant pour lui, et nécessite une grande concentration de sa part, et génère souvent un fort contrecoup, le laissant épuisé pendant plusieurs jours, et devant reconstitué
- Lien entre les Pouvoirs: Franklin est un symbiote, c'est à dire qu'il profite des capacités de son hôte, en y trouvant substances nutritives et un environnement où il peut survivre sans danger et du matériel génétique pour ses créatures. En échange, il est capable de fournir à son hôte une aide sous la forme de Pictsies, qui prennent plus ou moins soin de lui.
Description Physique :
- Apparence :
Franklin était un jeune homme de haute taille que sa croissance récente à laissé presque squelettique. Il n'avait presque que la peau sur les os, et aucune musculature apparente. Ses cheveux brun étaient généralement laissés assez long, plus par négligence que par réelle envie de se donner un genre particulier. Sur sa mâchoire délicate courraient régulièrement une barbe de quelques jours, plus constituée de duvet d'adolescent que de réels poils de barbe. Ses sourcils touffus se touchaient presque au milieu de son front assez bas, qui renforçaient encore le fait que ses yeux, aux pupilles marrons, soient profondément enfoncée dans leurs orbites. Son nez et sa bouche étaient légèrement disproportionné par rapport au reste de sa tête, du moins à son goût. Il trouvait que son nez ressemblait à celui d'un boxeur, et que ses lèvres auraient mieux été sur une personne du sexe opposé. Ses oreilles, légèrement décollées étaient dissimulés le plus souvent sous sa crinière, si bien qu'elles ne le dérangeaient pas autant que son nez et sa bouche. Son style vestimentaire était autant une armure qu'un véritable choix : il portait les vêtements les plus courant, afin d'essayer d'éviter d'attirer autant que possible l'attention. Jean, t-shirt simple et basket constituaient en grande majorité sa garde robe. Son père lui avait acheté bien d'autres vêtements luxueux et pour certains très tape à l'oeil, cependant, il ne les mettait jamais, si ce n'est pour les grandes occasions ou il n'avait pas le choix.
Depuis que sa mutation est activée, Franklin fait maintenant 28,5 centimètres de l'extrémité de la tête à la pointe de la queue : il est devenu une sorte de ver. Il ne dispose plus d'yeux, ni d'aucune forme appendices capables de l'aider à se mouvoir d'une façon autre qu'en se rampant, exception faite de nageoires sur le flanc et sur le dos et au bout de sa queue, comme si son environnement naturel était l'eau et non pas la terre ferme. Sa bouche est toujours présente, pourvu de crocs minuscules, ce qui lui permet de se frayer un chemin à travers le corps de son futur hôte pour aller se lover le long de la colonne vertébrale, à la quelle il se raccroche. Sa couleur varie entre le bleu et le violet, et son apparence semble inspirer le dégoût à la majorité des gens qui l'on vu sous cette forme.
- Signes Particuliers : Est a présent une larve d'environ 30 centimètres.
Caractère :
- Mental :
Franklin était avant tout, le fils de son père, et le petit fils de son grand père. Pour qui veut comprendre la psychologie du jeune homme, c'est un point essentiel. En effet, ces deux hommes incarnaient des figures d'autorité forte, toujours omniprésente, mais jamais la pour lui. Cet état de fait à développer chez Franklin un caractère de personne timide, introvertie et rêveuse. Son père ou son grand père s'occupant toujours de tout et décidant toujours tout pour lui, il n'avait jamais vraiment pu s'affirmer. Lors de son parcours scolaire, il avait toujours été placé dans des environnements ou tout était aussi contrôlé que possible. Il n'avait jamais vraiment eu d'ami, ne sachant pas comment engager la conversation, comment se lier, et il s'était forger une carapace de timidité et de discrétion, le rendant invisible aux yeux de tous, pas assez intéressant pour briller, mais pas assez terne pour devenir la proie de ceux qui aiment faire souffrir les plus faibles. Ses capacités intellectuelle étaient loin d'être mauvaise, même s'il ne pouvait pas prétendre au statut de génie ou même simplement de premier de la classe.
Bref, c'était un type discret, qui profitait de sa solitude pour s'inventer des mondes fantaisistes ou il était quelqu'un d'autre, un véritable héros... Et pas simplement lui, petit écolier sans amis, sans talents, avec juste un nom, celui de son père, et de son grand père avant lui. Les mutants ont toujours été pour lui une source à la fois de fascination et de répulsion. Il trouvait en eu la preuve que ses fantaisies pouvaient exister mais il était jaloux de ne pas avoir, comme eux, de super pouvoirs. Après sa mutation, il a rapidement déchanté, se trouvant piéger dans un corps qui lui faisait horreur, incapable de survivre par lui même... Il voit maintenant d'avantage sa mutation comme une malédiction que comme un moyen de devenir un surhomme. Il rapidement du s'adapter, et le jeune homme timide à du trouver en lui des ressources pour devenir plus fort, plus déterminé. Sans être prêt à tout, il pourrait sacrifier beaucoup pour une chance de redevenir un être humain, ou simplement de conserver un hôte en qui vivre ne serrait pas un supplice constant.
En ce qui concerne les différents groupes de mutants... Il ne voit pas vraiment ce qu'il aurait à faire avec eux. Ni surtout comment eux pourraient avoir affaire avec lui, isolé du reste du monde comme il est, piégé dans le corps d'autrui. Les rêves de Magnéto ne sont pour lui que des idioties : comment peut on espérer être supérieur aux autres quand certains mutants ont régressé dans l'évolution de plusieurs branches, déchu du titre d'humain pour celui de larve ? A moins qu'il ne soit qu'un raté de la nature sur le chemin du progrès. Mais cela ne le réconforte pas vraiment. En ce qui concerne Xavier, lui aussi voit dans les mutants un progrès. Et lui aussi n'a aucune solution à lui offrir. Cependant, lui ne semble pas privilégier la guerre entre les peuples, ce que Franklin apprécie. Concernant le Bureau des Affaires Mutantes, il a un peu de mal à comprendre comment ils sont sensés pouvoir faire quoi que ce soit, quand on regarde la proportion entre eux et leurs criminels mutants. Et il a peur d'eux. Car si le gouvernement créé une police spéciale pour les mutants, qu'es ce qui l'empêche de créer des lois spéciale pour eux ? Ou pour les crimes qu'ils sont les seuls à pouvoir commettre ? Et la dessus, Franklin, squatteur de corps, se sent concerné au premier chef.
Histoire :
- Talents Particuliers :
Aucun
- Possessions :
Une photo de sa famille, un sac, deux couteaux de commando. Celles-ci étaient placé dans un sac à dos que Kurkaru à emporté par la suite et placé dans son réduit.
- Biographie :
Franklin est né il y a 17 ans de cela dans une famille aisée de la côte Est. Son grand père, fils d'un épicier, avait lancé fait fructifié l'entreprise familiale en rachetant plusieurs concurents plus ou moins directe de sa ville natale de Pensylvannie, avant de réellement se lancer dans une entreprise de grande distribution qui avait ensuite évolué dans une chaine de super marché relativement populaire, du moins dans les états de l'est des Etats Unis. Ce succès commercial l'avait rendu très aisé, et d'autres par la suite avaient fait de lui un homme riche. Son capital était loin d'égaler celui des plus grande fortunes du pays mais était loin d'être modeste. Benjamin (c'est le prénom de son grand père) eu trois fils : Henry, William et Ted. La mère des trois enfants mouru de complications suite à son troisièmes accouchement et à une maladie génétique qui la rongeait depuis des années.
Des trois frères, Henry était l'aîné et aurait du reprendre la succession de l'entreprise familiale et son père avait tout fait pour le former et le préparer à cette échéance. Cependant, Henry fini par manifester des pouvoirs mutants, au grand désespoir de son père, catholique intégriste, qui considéra immédiatement qu'il ne s'agissait plus de son fils, mais de l'enfant du démon. Henry fut déshérité, et disparu de la circulation, à l'age de 17 ans. (Il rejoignit finalement l'armée et après quelques années de service suivit une formation de policier. Des années plus tard et avec d'excellents états de service, il rejoignit le Bureau des Affaires Mutantes). Ce fut donc a William qu'échu la position d'héritier de l'entreprise familiale et vers qui son père porta tous ses efforts pour le former. Il suivit donc des études d'économie et de finances, comme son père le désirait, pendant que Ted suivait lui l'enseignement qui devait le mener à devenir un respectable homme de médecine. Une fois ses études achevées, William reçu une position au conseil d'administration de la société et petit à petit son père lui transmit un à un les fils de la société, lui donnant un poids croissant dans sa gestion. C'est à cette époque que deux évènements eurent lieux : William Eston se maria à Debora Smith, beauté rousse, fille d'un riche industriel dont la fortune était dans l'automobile. Et William eu une aventure extra conjugale avec sa secrétaire et celle ci tomba enceinte. Benjamin apprit que son fils avait fauté et soucieux d'éviter le scandale, fournit à la jeune femme une petite pension à condition qu'elle quitte son entreprise et ne revienne plus jamais en contact avec son fils. Neuf mois plus tard, la secrétaire donnait naissance à un enfant difforme qu'elle abandonna, non sans lui avoir donné le nom de John Eston.
Debora, trois ans plus tard donnait naissance au premier fils légitime de William : Franklin. Deux ans plus tard, Emily, sa petite soeur les rejoignait. Franklin grandit donc dans une famille aisée, avec un père absent pour cause de travail intensif et une mère présente mais très stricte. Elle voulait que ses deux enfants réussissent absolument dans tous les domaines et qu'ils soient les dignes héritiers de son père et de son mari. Il fallait bien avoué que Franklin ne donnait pas vraiment entière satisfaction à sa mère. Non pas qu'il ne soit pas intelligent, non. Il n'était juste pas assez exceptionnel pour elle. Elle voulait un enfant parfait et Franklin, lui, n'était qu'un gamin ordinaire, éveillé, mais pas incroyable. Sa mère reporta une grande partie de son affection sur sa petite soeur. En effet, celle-ci était réellement brillante, douée en tout. C'est ainsi que se déroula l'enfance de Franklin. Au début de l'adolescence, il s'isola des autres, ne se sentant pas à sa place à l'école, puisqu'il était incapable de réaliser ce que sa mère attendait de lui. Son père était plus compréhensif, et l'incitait d'avantage à se donner au maximum, peut importait le résultat. Après tout, il hériterait de la fortune familiale, qu'il soit le meilleur ou pas. Seul importait sa future capacité à gérer l'argent.
Franklin ne savait pas exactement où il en était dans sa vie à ses 15 ans, quand sa mutation s'activa. Il avait beaucoup grandit en peut de temps, et souffrait fréquemment de crise de fatigues qu'il ne savait pas expliqué. Il refusait d'en parler à sa mère, de peur qu'elle ne voit la encore une preuve de son absence de génie, de son infériorité. Quant à son père, inutile d'y songer, il n'était jamais la. Une de ses crise de faiblesses le prit un jour alors qu'il se trouvait au bord d'une route. La crise fut elle qu'il s'effondra. La voiture qui passait à ce moment fit une embardée pour l'éviter et heureusement, aucun autre véhicule n'arrivait en contre sens. La conductrice du véhicule le gara rapidement pour ne pas entraîner d'autres accidents puis alla voir Franklin qui était inconscient au bord de la route. Dans sa chute, il s'était ouvert le crane et perdait beaucoup de sang. Etant infirmière de profession, elle connaissait parfaitement les règles à respecter dans ce genre de cas. Elle s'approcha donc de Franklin pour juger de son état de santé tout en appelant une ambulance. Alors qu'elle raccrochait, elle sentit comme un pincement au niveau du ventre, et vit une trace de sang. Elle n'eut pas vraiment le temps de se concentrer la dessus, car le pouls de Franklin avait disparu. Elle tenta donc de le ranimer jusqu'à l'arrivée des secours, quelques minutes plus tard. Ceux ci confirmèrent son décès et transportèrent son corps sans vie à la morgue.
Franklin Eston était mort aux yeux du monde et sa famille. Celle ci fut en effet informée par la police quelques heures plus tard et une identification fut demandé. Aucune autopsie ne fut demandé, la chute accidentelle ayant été retenue.
Cependant Franklin n'était pas mort. Peut être aurait il mieux valut pour lui... Tout plutôt que son nouvel état ? C'est une question qu'il allait se poser bien souvent. En effet, son corps avait muté progressivement au cours de sa puberté. Ce qu'il prenait pour son corps n'était déjà plus qu'une enveloppe charnelle, le corps hôte d'incubation, parfaitement adapté au symbiote qu'il était, encore en pleine croissance. S'il avait eu du temps, il aurait encore grandit, se serrait renforcé et aurait pu devenir un véritable symbiote, capable de vivre dans n'importe quel organisme. Mais son accident en avait décidé autrement. Le stress de son accident avait précipité l'activation finale de sa mutation le symbiote, mu par un instinct animal, avait possédé le premier corps qui pouvait l'abriter. L'infirmière répondant au nom de Maria DeLatre, d'origine haïtienne, était maintenant son corps hôte.
Ce premier hôte fut une expérience éprouvante pour Franklin. Il résistait à ses instincts, s'opposait à sa nouvelle nature, mais été piéger dans un monde sans lumières, avec des sensations moindre, aveugle, sourd, incapable de comprendre ce qui lui arrivait, ce qu'il faisait et pourtant réticent à le faire. Il manqua de mourir, de faim car il ne s'était pas fixé au système sanguin de son hôte, mais également dévoré par les anticorps sécrété par le corps de la femme pour se protéger contre le corps étranger présent dans son organisme. Ce n'est que lorsqu'il se laissa aller à ses nouveaux instincts que sa situation s'améliora un peu. Il pu se fixer sur le système nerveux de la femme et sur son système sanguin, devenant capable d'absorber des nutriments de percevoir ses sensations.
Il découvrit également qu'il pouvait envoyer des messages nerveux, causant une grande panique à la femme, incapable de comprendre d'où venait les pensées parasites qu'elle percevait. Franklin évita donc de se manifester. Il apprit également que pendant le sommeil de la femme, il était capable de manipuler son système nerveux en lieu et place de celle ci. Cependant l'expérience le laissait toujours terriblement fatigué. Il passa presque neuf mois dans le corps de la femme, qui s'affaiblissait de jour en jour. Lui aussi s'affaiblissait. Il finit par profiter d'une sieste de la femme sur son lieu de travail pour la forcer à ce déplacer et à se rendre dans un chambre de malade.
Un homme la quarantaine, athlétique, avait suite à un accident perdu connaissance et était plongé dans un coma profond depuis plusieurs jours. Sans famille, il était malgré le fait que son accident soit tout récent, seul, sans personne pour veiller à son chevet. Franklin, qui avait de plus en plus de mal à contrôler le corps de la femme, la fit s'affaler sur l'homme, et changea d'hôte. La femme ne sut jamais la cause de son état, ni ce qui l'avait conduite à s'allonger ainsi sur un patient, ce dont elle ne parla jamais à personne. Lorsqu'elle prit le partit d'aller consulter, ses examens ne révélèrent rien de réellement anormale, à par la présence de quelques cellules étranges en faible quantité et une sous nutrition évidente, ainsi qu'un léger dérèglement de son système immunitaire, sur réactif. Beaucoup de repos et une alimentation saine suffirent à la remettre sur pied.
Profondément éprouvé par le double effort qu'avait constitué son déplacement et le changement d'hôte, Frankli avait profité de plusieurs jours de repos pour s'attacher à son nouvel hôte et reprendre des forces. Il avait ensuite profité d'une soirée particulièrement chargée à l'hopital pour s'éclipser. Il ne savait pas où aller, et s'était retrouvé face à une question : vers qui pouvait il se tourner ? Il ne pouvait pas contrôler le système nerveux de son hôte très longtemps, même si le fait que l'actuel propriétaire était incapable de faire quoi que ce soit l'aidait grandement. Il aurait besoin de manger et il était probable qu'il aurait rapidement besoin d'aide pour se dissimuler. Il fit donc appel à la seule personne vers qui il espérait avoir une chance d'obtenir de l'aide : son père. Réussissant à passer un appel à son père grâce à de la monnaie qu'il avait récupéré par chance, dans le pantalon qu'il avait « emprunté » à un autre patient, il parvint à téléphoner chez lui.
Se fut heureusement son père qui répondit. La suite de la discussion fut compliquée, mais Franklin réussit à faire en sorte que son père le croit. Celui-ci n'avait pas hérité du fanatisme de son père, mais n'aimait pas pour autant les mutants. Seul le fait de savoir la chaire de sa chaire envie l'avait motivé à venir chercher l'homme qui prétendait être son fils. Dès que son père arriva, Franklin s'effondra.
Il ne se réveilla que quelque jours plus tard dans un appartement que son père avait loué d'urgence. Il ne voulait pas dire quoi que ce soit à sa femme avant d'être certain, aussi avait il fait mandé les services discret d'un médecin jusqu'à ce que Franklin se réveille. Le médecin avait cependant eut le temps de faire de prélèvement et de les analyser, prouvant la véracité des propos de la larve. Franklin passa une année et demi dans ce corps, dans cet appartement. Son père payait tout. Mais le corps dans lequel il se trouvait dégénérait. Le médecin qui s'occupait de Franklin finit par expliquer le phénomène : Franklin n'était pas un véritable symbiote, il n'était pas capable d'être « transparent » aux yeux du système immunitaire, juste capable de lui résister sur une longue période. Il n'avait que deux choix : changer d'hôte régulièrement, ou prendre un hôte dont la proximité génétique serrait suffisante pour que ses capacités imparfaites puissent suffire à le protéger. Franklin savait qu'il avait la possibilité de s'éloigner un peu de cet enfer quotidien de douleur, aussi exigea t'il qu'il en soit ainsi. Son père lui, ne savait pas quoi faire. Il ne souhaitait pas que la chaire de sa chaire soit plus qu'une expression... Et il avait de plus en plus de mal à voir ce qu'il avait affaire avec cette homme qui n'était plus son fils. Il lui raconta alors l'histoire d'un de ses fils qui n'était pas vraiment son fils...Et lui fit une proposition. Après quelques mois d'enquête, et alors que l'hôte de Franklin était presque sur le point de mourir, ils localisèrent son demi frère, John Eston, la créature que l'on connaissait aujourd'hui sous le nom de Kurkaru. Il le fit enlevé. Et laver, car il répugnait à mordre la chaire d'une créature aussi dégoûtante. D'ailleurs, il répugnait à faire de cette créature son hôte. Mais n'était il pas lui même répugnant ? Peut être était ce de famille. Le corps de l'hôte ne supporta pas le transfère et mourut.
Cela fait maintenant plusieurs mois que Franklin vit en Kurkaru, et il connaît pour la première fois le repos. Tout le monde ignore sa présence... Et il ne sait pas trop sur quel pied danser. Doit il se manifester ? Ou s'il le fait, risque t'il d'être chassé de son hôte ? De plus, il sent qu'il se produit des choses étranges avec son corps, que celui-ci s'apprête à agir d'une façon nouvelle et déroutante, qu'il ne comprends pas.
- Niveaux de maitrise :
Franklin est assez familier avec la possession de corps, mais ne peut rien faire pour se protéger des effets secondaire de ce contrôle. Concernant la création des Pictsies, Franklin est incapable de contrôler réellement quoi que ce soit. Percevoir les Pictsies proche de quelques mètres lui est relativement aisé. Communiquer avec eux en revanche demande de terribles efforts qu'il ne peut souvent mener à bien. Kurkaru, lui, est complètement inconscient de l'existence d'un être à l'intérieur de lui et du fait que son nouveau pouvoir ne soit pas vraiment le sien.
- Lien entre les Pouvoirs: La bave N est la source des pouvoirs de Kurkaru et ce sont ses propriétés qui bloquent les pouvoirs et la technologie. Le fait que Kurkaru en soit imbibé se traduit donc par l'impression qu'il est l'origine de cet état de fait. Quand à Franklin, il n'a rien à voir avec les pouvoirs de Kurkaru, il s'agit d'un symbiote l'ayant choisis comme hôte. Celui ci peut survivre en Kurkaru car Kurkaru était propre lorsqu'il la infecté (un hasard, Franklin était dégoûté par Kurkaru autrement ) et les capacités symbiotiques de Franklin lui ont ensuite permis de résister au pouvoir de Kurkaru.
Description Physique :
- Apparence :
Kurkaru est une créature assez étrange qui présente de nombreux point commun avec les farfadets. Sa couleur de peau est d'un vert délicat tirant sur l'émeraude. En fait, sa peau est d'un vert très clair, mais la présence de sa bave N lui confère un ton plus sombre et un aspect assez huileux. Il mesure environ 1 mètre lorsqu'il se tient droit ce qui lui donne un certain complexe d'infériorité, ce qui ne l'empêche pas d'utiliser sa taille à son avantage dès qu'il le peut. Cependant, il est rarement en position parfaitement bipède, trouvant cela mal commode, même si théoriquement rien ne l'en empêche. Son corps est assez disgracieux : ses bras et ses jambes sont démesurés par rapport à son torse, notamment ses bras qui sont plus long que la normal, et qui lui permettent une démarche simiesque. Ses mains ressemblent à de fines araignées qui peuvent trouver des appuis un peu partout. Malgré les apparences Kurkaru est assez fort physiquement (la force d'un garçon de son âge), ce qui couplé à son poids assez faible est très pratiquer pour grimper sans efforts un peu partout du moment qu'il y a des prises. Il pèse environ 25 kg ce qui n'est évidemment pas beaucoup mais sa masse est adaptée à sa carrure. La tête parait assez grosse par rapport au corps et ses bras presque aussi longs que son corps : c'est très pratique pour l'escalade. Sa faible constitution en fait quelqu'un de très fragile et très sensible aux coups.
Son visage n'arrange rien : on a toujours figé dans un rictus déplaisant que n'arrange pas son sourire perpétuel qui dévoile une série de petites dents pointues. Étrangement sa carnation est parfaite, même s'il ne s'est pas rendu chez un dentiste depuis plusieurs années. Son nez trop long et crochu lui donne l'air d'une sorcière, impression renforcée par les verrues et le teint huileux. Ses oreilles sont également assez grandes et ne sont pas totalement fixes : elles peuvent se déplacer en fonction des expressions de Kurkaru (elles sont généralement basses quand il est tristes ou qu'il a peur, hautes autrement). Ses cheveux sont d'un blanc de neige. Aucun entretien n'a jamais été apportés à ceux ci, qui poussent dans le désordre le plus total et ont un aspect pour le moins filasses. Kurkaru les coupe parfois quand ils le gênent, mais il fait ça seul, et sans respect aucun pour le noble art de la coiffure. Les poux auraient rapidement prit place dans sa chevelure s'il ne se faisait pas une joie de les manger...
Kurkaru n'est vêtu que d'un pantalon moulant de façon a ne pas le gêner. A force d'usage celui ci est percé d'un peu partout et sans les effort de quelques uns pour le remplacer, le pantalon original n'aurait plus caché grand chose. Quand au haut, cela dépend. Généralement torse nu, Kurkaru est parfois amené à enfiler des vêtements chaud (notamment pour suporter les rudes hivers New Yorkais). Il "empreinte" alors les vêtements qui lui tombent sous la main, lui donnant n généralement air ridicule, le vêtement étant soit trop court au niveau des manches, soit trop long au niveau du bustes. Il porte toujours une paire de lunette de soleil ( qui ressemblent un peu à des lunettes de piscine).
- Signes Particuliers : Kurkaru.
Caractère :
- Mental :
Comme pour beaucoup de mutants la vie n'a pas été rose pour Kurkaru. Cependant alors que certains mutants on pris le partit de haïr l'ensemble de l'humanité Kurkaru lui a choisit d'en rire. Il apparait donc généralement a ses interlocuteurs comme un personnage immature, quelque fois même un peu stupide. Ce trait de caractère est renforcé par le fait qu'il manque de la plupart des connaissances de bases qu'il semble avoir oublier et que son long isolement l'a privé de beaucoup de ses compétences sociales. Il passe plus de temps à faire des jeux de mots et autres blagues idiote qu'à réfléchir ce qui ne pousse évidement pas ses interlocuteurs à bien le considérer. Mais cette façon de faire est en faites un masque qui cache un personnalité en manque total d'affection : son corps étrange repoussait les autres. Kurkaru n'a pas eu d'ami pendant très longtemps. Ce n'est qu'en rentrant à l'institut que des gens ont fait preuve de considération à son égard. À partir de la il a changé, devenant ouvert à tous les jeux et cherchant à fréquenter le plus de gens possible. Il est aussi devenu moins sensible aux remarques sur son apparence, feignant (ou non) de ne pas les comprendre et y répondant par des blagues ou des jeux de mots.
Récemment il s'est rendu compte qu'il n'en savait pas très long sur le monde et sa curiosité à commencé à s'éveiller. Il cherche donc les gens qui savent et est toujours prêt à partir à l'aventure pour découvrir de nouvelles choses. Malheureusement cela c'est aussi traduit par un visionnage intensif de programme télé qu'il a prit comme vérité absolu, ne disposant pas d'assez d'élément pour prendre de la distance avec ce qu'il voit. Il a donc une vision faussée de beaucoup de choses.
Il n'a pas compris par exemple ce que veulent les confréristes qui apparaissent juste à la télé comme des méchants, ni des purificateurs, qui sont aussi des méchants, et considère que Jacky Chan est le plus grand héros mutant du monde. Le BAM lui est un concept nébuleux, car il n'a pas compris le concept de loi et de police.
Concernant les Pictsies, Kurkaru vient de les découvrir et les voit comme sa famille, ou ses nouveaux amis. Il trouve généralement leurs idées assez bonnes et respecte ce que lui dit le chef des Pictsies, Rob Monsieur. En effet celui ci semble avoir plus de bon sens et de connaissance que Kurkaru. Enfin, parfois.
Histoire :
- Talents Particuliers : écrire ici
- Possessions :
Une paire de lunette de piscine aux verre teintés, une cuillère en bois d'un mètre de long, un bric à brac d'objets volés entassé sous le toit de l'institut, comprenant des objets aussi divers qu'un patin à roulette, une radio cassé, un pistolet à bille sans munitions... Une bonne provisions de couvertures et d’oreillers, aussi. Et de la nourriture, plus ou moins avariés, traînant ici ou là.
- Biographie :
L'histoire de Kurkaru aurait put inspirer des mélodrames : il a été abandonné dès la naissance par sa mère. A moins bien sur que ne ce soit l'inverse. D'ailleurs, pour être exact, sa mère à accouché et après quelques jours à abandonné son enfant, en suivant les démarches administrative légale. Elle ne se sentait pas capable de l'élever seule. Il n'a donc jamais rencontré le moindre membres de sa famille. Il a supposé qu'il a été abandonné a cause de son apparence étrange. L'enfant étant nouveau né, l'administration initia des procédure pour permettre son adoption. Cependant, la choisie famille renonça aussitôt à sont projet d'adoption après la première rencontre avec le jeune enfant qui, si il n'avait pas encore un teint verdâtre présentait déjà des difformité physiques évidentes, indépendante de la mutation. Pour dire vrai, il était juste difforme. Les services sociaux ne trouvant aucune famille durent se résigner a mettre l'enfant dans un orphelinat. C'est ainsi que Kurkaru débarqua dans l'endroit qui allait lui tenir lieu de maison pour ses 12 prochaines années. Personne dans l'orphelinat de manifesta la moindre sympathie envers lui, ni ses condisciples ni les adultes qui peinaient à masquer leur répulsion. La personne en charge de la tranche d'age de Kurkaru devait être la pire : elle refusait de le toucher et manquait de hurler lorsqu'il s'approchait trop près d'elle. C'est ainsi que ce déroulèrent les 10 première années de la vie de Kurkaru, dans le mépris et la haine. Tout ce temps passé en compagnie de gens qui le craignaient autant qu'il le haïssaient avait donné a Kurkaru un regard assez étrange sur les autres. Sachant parfaitement qu'il était beaucoup plus faible qu'eux physiquement et que pourtant c'était les autres qui fuyaient Kurkaru en conclu ceci : les autres étaient idiots ou fous… Et cette pensée fut pendant longtemps source de réconfort et de joie pour lui. Il profitait de cette certitude pour rire des autres et de leur bêtise, développant un goût pour l'absurde et les jeux de mots. Mais ce comportement n'arrangea rien à la situation : ses camarades se mirent juste à le haïr de plus en plus fort ... jusqu'à ce que cette haine dépasse leurs craintes et leur dégoût naturel. Aussi ce qui devait arriver arriva : un soir un jeune garçon excédé par l'attitude de Kurkaru décida de lui donner une bonne leçon : il attendit le soir, que Kurkaru se retrouve seul dans sa chambre, puis il entrepris de le frapper. Cependant, Kurkaru se rendit compte qu'il n'était pas seul dans la pièce et il vit le regard de l'intrus et il pris peur. Juste a ce moment, il se produit quelque chose d'étrange : l'unique lumière de la pièce, situé à proximité de Kurkaru s'éteignit, laissant place à une brusque obscurité. Kurkaru la mit à profit pour fuir par la fenêtre. Il erra pendant un certain temps dans la ville, complètement obnubilé par sa toute nouvelle liberté… Tellement obnubilé qu'il ne remarqua pas la plaque d'égout ouverte et tomba dedans. Il venait d'arrivé dans son nouveau royaume : les égouts. Il y passa 6 ans, fuyant le contact humain qui l'avait tant blessé dans sa jeunesse. Il se nourrissait en remontant parfois à la surface, pillant les poubelles. Son intellect s'appauvrit et son aspect se modifia, les deux étant autant lié à sa mutation qu'à son absence de contacts humain. Jusqu’à ce qu'un jour, il rencontre une personne. Celle ci l'avait attendue, la où il avait son petit camp improvisé. Elle lui avait offert à manger et n'avait pas eu peur de lui. Elle lui avait expliqué qu'elle venait d'un endroit qui s'appelait : l'Institut Charles Xavier. Kurkaru avait compris seulement une partie de la conversation, comme toujours. Mais ce qu'il avait retenu lui avait donné envie d'aller voir. Et comme Kurkaru était un peu lassé des égouts il ne tarda pas à tenter l'aventure. Cette personne lui débita aussi tout un baratin sur le fait qu'il était un mutant mais Kurkaru ne compris pas ce qu'elle voulait dire : les mutants c'était, pour lui, c'était des gens qui faisait des tas de trucs lumineux, ce qui n'était pas vraiment son cas… Pour faire clair Kurkaru ne connaissait rien de ses pouvoirs lorsqu'il se rendit à l'institut. Et pour être franc, c'est toujours le cas. Il est toujours dubitatif quand au fait qu'il soit lui même un mutant. Après tout, être moche, ça compte pas vraiment ?
Dès son arrivé, il se rend compte que les gens sont différents de ceux qu'il a connu : ils n'ont pas peur de lui, ou en tout cas le cache mieux. Où même, à défaut, arrive à surpasser leur peur pour avoir un comportement à peut prêt civil avec lui. Il en tire une grande joie et décide donc de rester définitivement au sein de l'école. A force de vivre avec les autres, il parvient à assimiler un certain nombre de principes, mais reste curieusement toujours attardé sur d'autres. Certains membre de l'institut se sont d'ailleurs demandés si cette curieuses façon de penser et d'agir n'était pas liées à sa mutation, qui pourrait par exemple expliquer un ralentissement du vieillissement de son cerveau, l'empêchant de fixer les idées comme une personne de son âge, ou simplement d'une maladie mentale.
Kurkaru vécu plusieurs aventures au sein de l'institut, explorant à nouveau les égouts, se rendant dans une boite de nuit avec un lapin magique... Il rencontra de nombreux élèves, tous avec des pouvoirs incroyables... mais rarement des mutants qui comme lui, avaient été victime de transformation physique. Et un jour, il fut enlevé, puis relâché. Il ne comprit pas vraiment le principe. Quelques temps plus tard, il fut malade, puis il rencontra les Pictsies, créatures qui semblaient naître de ses vomissures. Peut de gens ont pour l'instant connaissance de l’existence de ces créatures... D'ailleurs les Pictsies se considèrent comme les possesseurs de l'institut. Ils autorisent la présence des autres êtres dans les murs parce qu'ils ne sont pas capable de les remarquer et qu'ils n'ont pour l'instant rien fait pour leur nuire. Mais cela pourrait être amené à changer.
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Dernière édition par Kurkaru le Dim 1 Avr - 20:33, édité 1 fois | |
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