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 Entrée idéal?[pv Rachel]

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Alan West
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Alan West


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MessageSujet: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeMar 17 Juin - 18:16

« Allez fiston je t'emmène»

Mon père avait décidé de m'accompagner, c'était assez rare pour être souligné. Moi qui le connaissait bien, je savais que c'était difficile pour lui de me laisser partir.

Il n'essayait pas de m'en empêché car il savait que c'était une bonne chose pour moi d'aller enseigner à l'institut Charles Xavier. Cependant, il voulait prolonger au maximum le temps à mes cotés. Je fermai les yeux et tenta d'imaginé les locaux de l'institut. Le trajet suivait son cours et je ne savais pas quoi dire pour éviter de rendre la situation plus difficile pour lui.

Je ne pus que lui rappeler la promesse faites quelques moi plus tôt. C'était pendant une de ses soirées ou l'on discutait de ma défunte mère. Mère, pour qui j' allais à l'institut afin de pouvoir tenir ma promesse. Je m'étais tourné vers mon père et lui avait annoncé que j'allais à l'institut. Mon père me surpris ce jour là, il me félicita et me dis qu'il était heureux que je suivais ma voie. Il me pris dans ses bras et la je lui promis de l'appelé tout les jours.

« On est plus très loin de l'institut»

Sur la banquette arrière, les gardes du corps de mon père veillait à ce qu'il ne soit pas suivi et je ne pus m'empêcher de sourire. J'étais fier de mon père. Il était assez important pour avoir des gorilles payé par le gouvernement. Tout le monde ne pouvait pas s'en venter.

La voiture s'arrêta et je sortis. Mon père m'aida à décharger mes effets personnels et j'en profitai pour lui donné un cadeau. Je lui avais sculpté une statuette de lui et une autre à mon effigie. Elles faisaient 30 cm de haut et pouvaient s'emboîter nous représentant, alors, comme un père et son fils discutant. Leurs composition en pierre volcanique leurs garantissait une bonne résistance à l'humidité. Je n'eus pas besoin de dire à mon père le sens de cette sculpture, elle représentait le fait que peux importe notre lieu, on sera toujours père et fils.

Mon père attendrie fut malheureusement rappelé à la réalité par ses gardes du corps qui lui annoncèrent une urgence. Il remonta dans le véhicule et me salua avant de reprendre la route. Je me dirigeai en direction du portail d'entré de l'institut. Je m'arrêtai quelque instant pour admiré le superbe ouvrage fait sur se dernier. Je ne m'était pas trompé le X stylisé dans le portail était la preuve si je doutais que j'étais arrivé au bon endroit.

Je cherchai après une sonnette lorsque le portail s'ouvrit me laissant l'opportunité de pénétré dans la propriété. Je progressai dans la propriété en me dirigeant vers le manoir. J'étais émerveillé devant le cadre qui s'offrait à moi. Ce cadre était beaucoup plus agréable à l’œil que les suites de l'hôtel ou séjourne mon père. J'en arrivais au point ou contrairement à me habitude je déplaçais mes effets personnels sans faire connaître mon aversion pour cette tache.

Le manoir était tout aussi splendide. Je fus tellement ébahi que je ne remarquai pas les personnes présentent et je n'arrivais pas à détaché mon regard de l'immense double porte du manoir. Devant une telle qualité architectural je ne pus m'empêcher de fermer les yeux et d'espérer ne pas être dans un rêve. Ces portes étaient le symbole de la décision que j'avais pris plus tôt. C'était ma dernière chance de changé d'avis, mon choix n'était pas difficile. Après une longue route, je me préparai enfin à frapper à la porte.

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Echo
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeMar 17 Juin - 23:11

Jeudi 5 Juin 2014 – 02 : 58 P.M.

Voici une semaine qu’elle avait disparu. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait cela, qu’à la suite d’un événement elle s’en allait pour plusieurs jours, et si c’était généralement indicateur de mauvaise chose, elle revenait toujours. Et même lorsqu’elle s’en allait ainsi elle continuait d’être liée à l’Institut, où qu’elle soit sur Terre, et si l’on avait besoin d’elle, plusieurs personnes savaient comment la retrouver. Elle ne se cachait pas, une seule utilisation du Cérébro ou un seul message de détresse télépathique et elle serait là. Elle avait besoin de prendre l’air, de se changer les idées, mais n’en restait pas moins la gardienne de ce lieu. L’une des trois gardiennes, voir la dernière d’ailleurs. Et puis, il n’y avait pas eue de conséquences cette fois, ce n’était pas comme en décembre 2012 où elle avait disparue deux ou trois semaines après avoir endossée le costume du Phénix Noir et donnée sa vie mortelle à sa sœur d’adoption, ni comme en novembre 2013 où durant une semaine elle était allée porter secours aux victimes du typhon Haiyan et avait aidé jusqu’à ce que les secours s’organisent pour ne partir que peu avant l’acheminement de plusieurs tonnes d’abris d’urgence et de colis alimentaires du fait d’une extraction d’urgence de l’équipe de récupération, ni comme en mars 2014 où elle n’avait disparu que deux jours mais avait été tuée à Londres dans une rixe contre des mutants venant des jours de son futur passé et où c’était cette même sœur qui l’avait ramenée. Cette fois il n’y avait ni mort ni blessé même si elle était à nouveau dans ses couleurs de Phénix lorsqu’elle rentra à l’Institut.

Combinaison de molécules instables rouges lui montant jusqu’à la gorge, marquée à la poitrine d’un emblème jaune-doré du Phénix, couleur se retrouvant sur l’écharpe longue lui servant de ceinture et sur les manches et les bottes à talons qui lui remontaient jusqu’à mi-cuisse, elle savait qu’il s’agissait là de couleurs d’un sinistre présage pour le Phénix précédent mais c’était les siennes, preuves de l’évolution de la Force et de son lien avec sa mère ; lien encore obscure d’ailleurs mais elle doutait jamais faire la lumière sur ce fait et même si elle était dans l’ignorance de qui elle était réellement, cela ne lui posait plus de problème car en définitive elle était aussi Rachel Anne Summers et c’était un point de repère plus que suffisant.

Un mètre soixante-quatorze, cinquante-sept kilogramme, une jeune femme de la vingtaine, svelte et légèrement émaciée, dont la carrure faussement fragile ne trahissait que peu les muscles finement taillés qu’elle possédait, même si le moulant de sa combinaison aidait. Elle ressemblait à sa mère, indiscutablement, une peau claire couvrant un visage à l’ossature marquée et sculptée lui donnant des traits acérés, relativement géométriques. Un nez et des sourcils fins, des joues creusées comme il fallait pour encadrée une bouche qui n’était pas très large mais dont les lèvres s’avéraient assez pulpeuse, des yeux verts, mêmes s’ils étaient dissimulés pour l’heure derrière ses paupières closes, et enfin une chevelure d’un roux cuivré, qui lui descendait jusque dans le bas du dos ; chevelure qui à l’instar de la ceinture suscitée s’agitait sous les effets de la chute libre.

Rachel aimait cette sensation de liberté et d’appel que permettait la gravité, elle aimait la caresse du vent et son chant semblable à celui d’une rivière agitée, ainsi tombait-elle depuis de très hautes altitudes bras écartés et jambes légèrement pliées, un léger sourire sur les lèvres. Elle était partie dans la douleur et suite à son impulsivité et revenait avec cette paix relative et cet équilibre retrouvé ; elle en voulait à Ororo, oui, elle détestait la petite, oui, mais elle n’était pas aveugle au point de voir qu’elle n’avait pas sa part de responsabilité dans l’entêtement d’aider la première à accoucher de la seconde, de partager mentalement cette douleur qu’elle n’avait pu elle-même connaitre puisqu’elle avait perdu son propre enfant avant. Ce qui aurait dû l’attacher à la nouvelle née comme cela l’avait fait pour sa mère avait produit l’effet inverse mais une semaine de solitude et de réflexion avaient suffit à ce que l’Echo du Phénix soit à nouveau près à faire face, alors elle revenait. Elle n’irait pas les voir tout de suite cependant, sans doute ferait-elle la tronche un bon moment encore mais au moins, elle serait là. Après plusieurs minutes de descente elle serait à nouveau chez elle, avec sa famille d’adoption.

Elle ne passerait pas par le portail, ni par les quelques dizaines de mètre du bois séparant ce dernier de la cour devant le manoir, non, elle atterrirait directement dans cette dernière, ralentissant sa chute aux derniers moments pour éviter un impact. Se posant avec délicatesse et un claquement de talon sonore dans la cour pavée, elle s’occupa simultanément à faire varier sa tenue pour quelque chose de visuellement plus normal, même s’il ne s’agirait que d’une imitation, et à détailler l’inconnu qui se trouvait là. N’ayant pas envie de se prendre la tête sur le premier point elle opta pour un banal ensemble débardeur noir et jeans, incluant sous-vêtements et bottines à talons ; bon, le débardeur ne cacherait pas un certain nombre de ces cicatrices, principalement le commencement de celle partant de l’épaule gauche à destination du flanc droit, l’impact de balle sur l’extérieur du bras gauche et les quelques coupures mal guéries qui s’entendaient au niveau du coude du même côté, pas plus qu’une ligne aussi épaisse qu’un doigt et étant l’extrémité gauche d’une étrange tâche de naissance s’étendant jusqu’au bas de son dos et étant en réalité un bio-tatouage imprimé directement dans son génotype, mais elle ne comptait pas réellement lui tourner le dos et ignorant si l’inconnu était suffisamment observateur pour le remarquer. Quand au second point, l’inconnu suscité…

Homme, plus petit qu’elle, plus lourd qu’elle, assez mastoc dans son rapport taille/poids d’ailleurs, à peine plus vieux et légèrement bedonnant, à la peau pâle, aux cheveux châtains, aux yeux vairons, au visage ovale, à la mâchoire carrée, avec un nez banal et une bouche fine, vêtu d’un jeans, d’un sweat-shirt et d’une veste assez remplie de sucrerie… quelqu’un sans doute peu remarquable aux yeux des gens mais elle ne se contente pas que de percevoir par ses yeux. Sa perception du monde était impactée par sa mutation de façon plus littérale que nombre d’autres et c’était cette même perception qui lui faisait remarquer l’étrange cavité située dans le palais de son vis-à-vis, cavité reliée à bon nombre de glandes inédites, ainsi que le mauvais entretient de ses dents. Alala… même quand elle disparaissait des jours entiers, elle avait pour habitude de continuer d’entretenir son hygiène corporelle comme d’ôter la saleté de cette combinaison qui, en définitive, l’accompagnait tout son voyage ; évidement, lorsqu’on possédait un sens psychique nous faisant percevoir le monde nous environnant au niveau moléculaire lorsqu’on s’en donnait la peine, cela simplifiait grandement ce défi. Après, emprunter savons et lessive dans des douches de camping n’était pas bien plus compliqué. Et puis elle avait le don de se faire des amis, même si elle ne comprenait pas grand-chose aux gens de ce monde en règle générale ; la misère des Philippins après le typhon Haiyan lui avait été familière et elle avait fait de son mieux pour les aider, même si elle avait plus secourus les blessés dans les premiers temps que contribuée à la reconstruction après, chose un peu réparée durant la semaine précédente.

Toujours était-il qu’elle l’avait interrompu alors qu’il s’apprêtait à toquer et contournant le buste en marbre de Charles Xavier qui trônait au centre de la cour pour avancer vers lui, elle vint à sa rencontre sans plus de complexité.

- La porte est ouverte, il suffit de pousser, dit-elle simplement d’une voix aussi fluette que sa carrure le suggérait, T’es nouveau ?

C’était son ami Sanzo qui se chargeait du parrainage de certains nouveaux élèves, et, avant sa dissolution, des mutants ramenés par l’équipe de récupération, cependant elle-même se retrouvait de plus en plus à faire l’accueil et la visite, choses qui si elles n’étaient pas dans son contrat d’Agent de Sécurité l’était dans sa vocation d’X-Woman, puisque le tendre la main incluait également et en premier lieu de le faire aux autres membres de l’Institut.
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Alan West
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeMer 18 Juin - 11:06

Au moment où je m'apprêtait à rentrer, un claquement de talon se fit entendre. Ce claquement fut unique, comme si une personne avais sauté dans la cours ou y avait effectué un atterrissage. Je me retournai et vis près d'un buste en marbre de Charles Xavier. Je n'avais pas vu ce buste dont l'ouvrage était de qualité, mais je prêtais plus attention à la jeune femme qui s'approchait. Je souris et hochai la tête pour lui souhaité une bonne journée. Je tentai de cacher mon trouble le temps de récupérer mes esprit.

Elle était rousse, un visage agréable à l’œil et sa silhouette était svelte. Elle avait une tenue décontracté composé d'un jeans et d'un débardeur noir ainsi que des bottine à talons haut. Je remarquai ensuite ses yeux verre et quelque cicatrice. Mon esprit étant ce qu'il est je ne pus m'empêcher de réfléchir au cause ayant causé ses cicatrices. Certaine était évidente comme l'impacte de balle. On lui avait tirer dessus par le passé. Par contre, la cicatrice partant de son épaule gauche était plus mystérieuse.

Je n'avais absolument aucune idée de la cause de cette dernière. Certes mon esprit, me suggéra des théories mais si on creusait un peu elle n'avait aucun sens. Ses théories allant des conséquences de sa mutation jusqu'au remplacement de chaque os de son corps.
Parfois, l'esprit humain est surprenant mais bon je me devais de laissé mon esprit libre de me suggérer toute ses idées. C'était la base de ma créativité et sans elle qui sait ce qui serait advenue de moi suite au décès de ma mère.

Ne voulant pas ravivé de mauvais souvenir à la jeune femme, je me promis de ne pas posé de question. En approchant, elle prononça ses quelques mots de sa voix fluette.

-La porte est ouverte, il suffit de pousser,

-Merci beaucoup mad..., Excusez moi je ne sais pas comment vous appelé.

Je me grattai le coup signe de ma gène, j'avais peur de faire mauvaise impression. Après tout mon père m'avait toujours dit qu'on avait pas deux chances de faire une bonne première impression. J'étais souvent gaffeur avec les inconnus mais aujourd'hui je n'en avais pas le droit. J'allais vivre ici à présent et je ne voulais pas avoir mauvaise réputation.

-T’es nouveau?

-oui, on peut le dire, je suis le nouveau professeur de chimie. Alan West pour vous servir.

Intérieurement, je m'insultai je venais de dire une phrase ringarde. C'était un fait, je n'avais pas vaincu ma timidité et elle remontait. Mon cœur se serra dans ma poitrine, je venais de faire une erreur et bien sur le stress monta d'un cran. La peur voila bien une émotions que je devais contrôlé et mystérieusement, elle avait toujours le dessus sur moi. Je restais la comme bloqué attendant la réaction de mon interlocutrice.

Mon cerveau se mit encore à réfléchir à mille et une chose d'importance très relatives pour tenter de réduire mon manque d'assurance. Mon visage se tintait progressivement de rouge la gène nourri par la peur et le stress prirent de l'ampleur. Je voulais donné une bonne impression et vu mon état j'avais la confirmation que j'étais encore trop faible pour mené à bien ma promesse.
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Echo
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeMer 18 Juin - 17:49

Il sourit en la regardant, chose qu’elle lui rendit avec plus de mimétisme que de sincérité mais c’était assez naturel. En revanche ce qui le fut moins fut qu’il lui coupa la parole, l’interrompant tant dans le fil de ses mots que celui de ses pensées pour placer une phrase qui toute courte et excusable soit-elle fut promptement ignorée.

- Oui, on peut le dire, je suis le nouveau professeur de chimie. Alan West pour vous servir.

- Ok, bienvenu alors, répondit-elle, absolument pas au courant qu’il devait y avoir un nouveau professeur et de toute façon absolument pas concernée par se fait.

L’école, elle avait arrêté l’année de ses douze ans, elle ne se souvenait même plus de la classe, donc les études étaient quelque chose qu’elle regardait de loin et si elle avait lus des livres sur divers sujets qu’elle n’avait jamais aborder scolairement, particulièrement de la philosophie, ça n’en restait pas quelque chose de qualifiant. Les profs étaient donc des résidents comme les autres, sachant qu’elle préférait faire du cas par cas que classifier en catégories, qu’elles soient socioprofessionnelles ou autres.

S’arrêtant au niveau d’Alan, Rachel se figea et fronça les sourcils, percevant une chose qu’elle n’avait que trop déclenchée par le passé ; la peur. Pourquoi ? Elle n’en savait rien. Elle n’avait pas l’impression d’être menaçante ni n’avait eu l’impression qu’il l’avait vu faire joujou avec les molécules de sa tenue, processus assez étrange esthétiquement proche de la conversion en semi-liquide de la tenue précédente jusqu’à adoption de la nouvelle, mais peut-être était-ce les cicatrices ? Elle grimaça à cette idée mais rien ne lui permettait de le penser.

- Un problème ?

Question simple et tout à fait à propos, de ce qu’elle jugeait ; peut-être était-ce la première fois qu’il rencontrait un autre mutant et sans rien savoir de sa mutation cela l’effrayait assez. Ou peut-être pas. Il était possible de faire beaucoup de supputation et si la jeune femme s’en passerait elle ne prendrait pas non plus le parti de découvrir ce qu’il en était par elle-même. Demander était plus simple et plus honnête.

Attendant la réponse en penchant la tête sur le côté, elle se concentra en aparté sur ce qui se passait dans le reste de l’Institution, même si l’heure était encore aux cours avant les examens ; pour la plupart du moins. Etrange qu’un prof s’en arrive à cette période mais cela lui permettrait de s’habituer au climat avec le peu de personne qui resteraient là durant l’été, un certain nombre d’élèves rentrant chez eux et quelques résidents repartant également. Ceux qui restaient étaient surtout ceux qui vivaient ici, soit par choix soit parce qu’ils n’avaient nulle part où aller, et tous n’étaient pas en mesure de faire des voyages. C’était un truc qu’elle pourrait voir, cela, tiens : organiser des voyages scolaires durant les vacances pour occuper ceux qui restaient. Son réseau lui permettrait d’aller à Londres à moindre frais mais sans doute y avait-il dans l’Institution des personnes capables d’organiser des trucs un peu partout. Là n’était cependant pas la question.

Ce ne serait qu’après sa réponse qu’elle reprendrait la parole à son tour, espérant pouvoir le rassurer et l’inviter à entrer sans trop de difficulté; elle lui ouvrirait la porte sans aucun problème à défaut de se proposer pour lui porter ses affaires.

Le Hall d’Entrée était une large pièce, construite sur le modèle du XVIIIe siècle. Le carlage s’étendant dans toute la pièce, s’arrêtant au pied d’un large escalier central allait jusqu’au mur face à l’entrée pour tourner et mener aux couloirs du premier étage tandis que sous ces derniers, de part et d’autre des rambardes l’encadrant, partaient deux couloirs conduisant eux aussi vers l’arrière de l’Institut, le tout éclairé par de larges vitres tout autour des portes. Sur les côtés se trouveraient de nouveaux couloirs, donnant aux deux grandes ailes rajoutées de part et d’autre de la cour et qui formaient les salles de classe, elles aussi étant limitées à un étage en plus du rez-de-chaussée. C’était lumineux, profitant au maximum du jour grâce à des larges fenêtres, un choix architectural reprit dans toute la bâtisse, et relativement calme même si des échos lointains de voix raisonnaient, preuve de l’activité de quelques inoccupés malgré l’heure. Des petits panonceaux indiquaient les différentes directions, ainsi que le règlement intérieur.

Ignorante d’où il devait ce rendre, Rachel n’ajouterait rien et s’en limiterait pour le moment au sujet de sa frayeur, sujet on ne plus pressent que les autres car les murs ne bougeraient pas, eux. De plus elle pouvait déjà supposer qu’il n’aurait pas à aller s’inscrire à la vie scolaire non loin, une très bonne chose car c’était là la partie qui l’ennuyait le plus, comme tout ce qui se raccrochait à un administratif qu’elle percevait comme monolithique et obscure à défaut d’inutile. Mais considérant qu’il lui avait fallut plus de deux ans avant d’être officiellement présente à l’Institut, ou même sur ce monde, c’était peu étonnant que remplir de la paperasse la gonfla très rapidement.

Elle faisait bien plus cas du ressenti que de la logique et de l’oral que de l’écrit même s’il était indiscutable qu’elle avait moins de difficulté avec l’écrit, niveau expression, le meilleur restant la transmission de pensée ; chose qu’elle ne ferait pas avec l’inconnue ainsi donc s’en limiteraient-ils aux moyens de communication normaux et volontaire considérant que le décryptage physique ce n’était vraiment pas sa tasse de thé non plus.
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Alan West
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeMer 18 Juin - 21:10

Lorsque la jeune fille approcha elle laissa échapper une grimace .Certes, elle m'avait souhaité la bienvenue mais j'étais persuadé de faire mauvaise impression ce qui si je ne reprenais pas les chose en mains ne s'arrangerait pas. Je fermai les yeux, afin de rationalisé mes craintes.

Pendant cet exercice, je respirais très profondément, écoutant seulement les sons extérieur. Puis, lorsque j'ouvris les yeux, la jeune rouquine me demanda si j'avais un problème. La honte montais en moi je dégluti avant de parlé . Pendant ce temps, mon interlocutrice pencha la tête quelque seconde.

Je pris le temps d'éclaircir mes idées puis, je pris la paroles pour répondre à la question de la jeune femme. J'ignorais ce qu'elle penserais de moi après mes propos, je ne pouvais qu'espérer que cet incident ne mette pas de malaise entre nous.

-Pas vraiment, en fait c'est un peu idiot. En général, je suis maladroit avec mes mots et j'ai peur de faire mauvaise impression. Je sais que c'est un peux ridicule de se mettre une telle pression mais je ne peux pas m'en empêcher. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.

Je me fis quelque micro-caresse afin de me rassuré. La situation permettais à mon naturel introverti de reprendre le dessus. Je tentais tant bien que mal de le caché mais la situation démontrais que  je n'étais pas très bon dans cet exercice.

-Je crois que au vu de ma perte de contrôle sur mes émotions, on peut dire que j'ai gaffer veuillez m'en excusez. Je ferai tout mon possible pour ne plus que ça se reproduise.

J'étais incorrigible au lieu de ne pas donné plus d'importance à ce petit incident, je tentais tant bien que mal de me justifier. J'avais toujours agis ainsi, ce trait était dans ma nature et une de mes nombreuses faiblesses que je devais dépasser pour pouvoir respecté la promesse faite à ma mère et celle que je me suis faite à moi même.

La jeune rouquine décida de m'inviter à rentré en poussant la porte de l'institut. Je pris mes effets personnels et la suivit. Une fois à l'intérieur, j'observai le couloir style XVIII ème siècle qui exploitait parfaitement la lumière extérieur. Devant ce lieu, j'eus envie de donné des détails sur moi comme si ce lieu avait apaisé ma timidité. Je savais que ce n'était pas le cas mais tant que j'avais le courage de parlé, je devais le faire. Je m'étais toujours confier à mon père mais certains détail demande d'être dites à des personne extérieur à la famille. C'est plus simple, il n'y a pas la peur de faire souffrir l'autre.

-Vous savez, pour le moment, à part mon père, personne ne comprend mes peurs. Je n'ai pas les peurs habituelles comme la claustrophobie ou l'agoraphobie. Mes craintes dépendent de mes proches. J'ai peur de ne pas être à la hauteur de leur attente est cette peur est plus vive en rapport avec un proche que j'ai perdu il y a longtemps.

Je ne me contrôlais plus j'avais besoin de parlé de ce poids. Mon visage était marqué par les souvenirs douloureux qui me revenait en tête .Je n'en avais jamais parlé à mon père car je ne voulais pas le faire souffrir en voyant son fils incapable d'admettre les faits et j'étais là en train de me confier à une inconnue. C'était la première fois que je faisais quelque chose pour moi au lieu des autres et ce n'était pas volontaire. Le flot des émotions montait, humidifiant mes yeux et nouant ma gorge. Ma voix devint tremblotante mais malgré cela je continuais à m'ouvrir.

-J'avais promis à ce proche de laissé sa chance aux humains et aux mutants. C'est la raison pour laquelle j'ai rejoint l'institut. Je me dois de réussir à réunifier humain et mutant pour honoré ça mémoire. Une autre conséquences de cette perte c'est la peur profonde de perdre les êtres qui me sont chers. Je suis désolé de vous avoir ennuyé avec cela, mais je n'ai pus contrôlé mes paroles. Je suppose que ça devait sortir.

Je pris quelque instant pour reprendre le contrôle de mes émotions et dit un peu gêné.

-Si vous le désiré, pour me faire pardonné, je vous ferai goûté une spécialité belge. Pendant les vingts années où j'y ai vécu j'ai appris à cuisiner quelque spécialité.

J'avais honte de ma faiblesse je n'avais pas réussi à tenir j'avais honte. Je me sentais indigne et bien trop faible pour demandé le droit d'être écouté. J'avais besoin de passé à autre chose.
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Echo
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeJeu 19 Juin - 13:19

Oui, il y avait un problème, puisqu’avant qu’elle ne le lui demande lui réagissait déjà à son approche en fermant les yeux et respirant le plus calmement possible. Il allait pas lui tomber dans les pommes tout de même ? Dans tous les cas, l’Echo du Phénix fit un pas en arrière, se disant qu’elle aurait peut-être mieux fait de s’abstenir de venir le voir et faisant silence, tentée de s’en retourner simplement pour le laisser ce calmer seul ; une solution qu’elle n’appliqua pas parce que si Alan était incapable de gérer son stress en rencontrant une seule mutante dans la cour et qui faisait le premier pas vers lui, il allait mourir d’infarctus avant son premier cours. Ça partait bien…

- Pas vraiment, en fait c'est un peu idiot. En général, je suis maladroit avec mes mots et j'ai peur de faire mauvaise impression. Je sais que c'est un peux ridicule de se mettre une telle pression mais je ne peux pas m'en empêcher. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.

- Nope, t’inquiète pas, répondit-elle simplement face à l’aveu du stressé de la vie.

- Je crois que au vu de ma perte de contrôle sur mes émotions, on peut dire que j'ai gaffé veuillez m'en excusez. Je ferai tout mon possible pour ne plus que ça se reproduise.

Il n’y avait pas de mal, enfin sauf pour lui, mais elle ne renchaina pas cette fois, acquissent simplement de la tête avant de s’avancer vers la porte, cessant de maintenir la distance de sécurité puisqu’il tentait de se maitriser et que ça n’avait pas réellement de rapport avec elle ; ou c’était trop tard pour la première impression donc il n’était pas nécessaire d’y revenir pour le moment.

Ouvrant la porte et pénétrant dans le hall, invitant son vis-à-vis d’un geste de la main, elle l’écouta parler de son père et de ses peurs, des peurs qui lui étaient familière parce qu’à défaut de les posséder elle-même une de ses amie avaient ce même besoin d’être à la hauteur et de combler les attentes qu’on plaçait en elle par peur d’être abandonnée ou ignorée, cela résultant d’un traumatisme d’enfance que de n’avoir jamais eu de parents même si en définitive ils ne l’avaient pas réellement abandonnée ; un truc compliqué impliquant une querelle d’immortels et un règlement de compte de la mafia donc au final sa vie à l’orphelinat avait été la meilleure chose qui pouvait lui arriver.

Restant dans le hall, refermant la porte d’une pensée alors qu’elle faisait face à Alan, Rachel fut surprise de sa montée soudaine d’émotions ; il passait de la peur à la confession larmoyante en quelques instants et elle n’avait rien fait ! La jeune femme venait de trouver plus bipolaire qu’elle et écouta ce qu’il avait à dire, consciente de la fragilité comme de la valeur de ces instants là.

Laisser sa chance aux humains et aux mutants, Rachel avait faite la même agrémenté d’un « changer le monde » se transformant depuis en un « empêcher le monde de sombrer », cependant ce n’était pas réellement cela qui l’avait faite venir à l’Institut. Néanmoins c’était un motif valable, tout comme cette volonté de cohabitation pacifique que prônait l’Idéal Xavier ; enfin un mec qui venait ici avec quelque chose à y foutre.

Quant à l’autre conséquence, si Rachel ne dit rien, elle n’en pensait pas moins ; oh que non il ne l’avait pas ennuyée avec cela car perdre ses proches était l’expérience la plus récurrente de sa vie. Toute personne qu’elle avait connue jusqu’à ses vingt ans était morte, elle le savait, elle en avait vues mourir quelques unes, elle en avait tuées quelques autres, et surtout elle avait été incapable de les protéger d’un adversaire qu’elle seule avait eu une chance de vaincre. C’était fini, désormais, et elle aussi comptait honorer leur mémoire en ce lieu.

Sans doute que cela devait sortir mais pour sa part Rachel n’aborderait pas d’aussi sensibles sujets avec des inconnus, tout aussi sensible puisse-t-elle être. Elle lui fit face avec un air triste et compatissant mais n’ajouta rien, là encore, car les mots étaient trop limités, comme souvent.

- Si vous le désirez, pour me faire pardonner, je vous ferai goûter une spécialité belge. Pendant les vingt années où j'y ai vécu j'ai appris à cuisiner quelque spécialité.

- T’as rien à te faire pardonner, mais je veux bien gouter la spécialité, dit-elle avec un sourire malgré la pensée que la seule chose belge qu’elle ait jamais du rencontrer dans sa vie faisait 5,7x28mm. Mais pour l’instant vaut mieux aller t’installer, non ?

Comme absolument toutes les questions que posait l’Echo du Phénix, celle-ci n’était nullement rhétorique et en cas de réponse négative, elle l’accepterait avec ouverture d’esprit et sans se demander pourquoi ; le libre-arbitre était la chose la plus précieuse de ce monde et elle le respectait parfaitement, tant qu’on comprenait les conséquences qu’il pouvait entrainer.

Attendant sa réponse pour poursuivre, elle renchaina rapidement à sa suite.

- Je pourrais te faire visiter les locaux si tu veux.

Le complexe était relativement simple et bien aménager cependant c’était souvent plus agréable de se le faire présenter puis cela devait aider à mieux appréhender les lieux. Cela ne lui posait aucun problème que d’accomplir cela, surtout considérant l’absence de pion pour le faire ou encore que certains trouvaient cette tâche dégradante mais elle-même continuait à veiller même en s’occupant à autre chose et puis présenter l’Institut revenait à présenter sa maison. Sans compter que s’il était réellement stressé de la vie, Alan aurait au moins besoin de ça pour ne pas avoir peur de se perdre.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeJeu 19 Juin - 15:52

J'étais rassuré, apparemment, la jeune rouquine avait compris la situation. Elle m'avait précisé que ce n'était pas grave et ça me suffisait pour être moins stressé. Je perdais rarement le contrôle de mes émotions, mais quand cela m'arrivais, je réagissais comme un bipolaire. D'ailleurs, à cause de cela, j'avais passé plusieurs nuits à me demandé si j'étais normal. J'en avais même déduit que mes pertes de contrôle étaient causé par le refoulement systématique de mes émotions négatives. Je n'osais jamais avoué que je souffrais de peur de déranger mes proches.

Elle accepta de goûter ma spécialité, je lui souri, je lui ferais goûter au classique moules frite. Certes, les américains connaissent les frites mais ne les cuisent ni dans la bonne graisse ni de la bonne manière.

Par la suite, elle me demandais si il ne valait pas mieux que j'aille m'installer. Cette question sonna comme une délivrance mes effets personnels commençais a faire sentir leur poids. Mes émotions étant, depuis les dernières phrases de la jeune mutante, parfaitement sous contrôle. Je n'eus aucune difficulté à répondre d'une voix claire et de manière concise.

-Oui, excellente idée, mes affaires commence à faire sentir leur poids.

La jeune femme dit après ma phrase.

- Je pourrais te faire visiter les locaux si tu veux.

Je fus ravie de la proposition de ma vis à vis. Je lui souris puis dit calmement d'un ton posé et bienveillant

-J'en serais ravie. Je pourrais ainsi découvrir les autres facettes de cette magnifique bâtisse à l'architecture sublime.

De par mes paroles, on comprenais que j'étais sous le charme de la bâtisse. Je commençai à m'imaginer chaque pièce, chaque couloir. J'étais revenu de loin dans mon monde intérieur et je préférai me préparer à rationaliser mes émotions pour éviter tout débordement. J'en avais déjà eu un, et bon un professeur doit être un minimum équilibrer. Mes yeux se préparèrent à balayé chaque détails des lieux ne laissant pas passer le moindre élément du décor, mes oreilles à écouter chaque propos de la jeune mutate. Après tout, j'étais accueilli et la moindre des politesses étaient de suivre avec le plus grand intérêt les découvertes qu'elle me permettrait de faire.

Je ne remarquai qu'après coup que la porte avait été fermé. Comment est-ce que j'avais fait pour ne pas le remarquer ? Je n'en avais aucune idée mais une fois de plus mes pensé partir dans tous les sens. Deux explications logique me vint à l'esprit, je n'avait vu personne se dirigé vers la porte et au vu de ma position. soit une mutante pouvant devenir invisible avais fermé la porte et je ne l'avais pas entendu car elle l'avais fait au moment ou je faisait ma tirade, soit la mutante au cheveux cuivré était télékinésiste ou un truc dans le style. Un sourire se dessinait sur mon visage, aujourd'hui, je pourrais passé à la vitesse supérieur dans la réalisation de mon idéal.

Le temps n'était pas encore au triomphe mais bien au travail de fond. Ici, je pourrai touché la prochaine génération de mutant un des éléments clés dans la lutte contre l'ignorance. L'ignorance, ce fléau érigeant une barrière d'intolérance, de peur et de haine entre humain et mutant. Le jour où ce fléau sera éradiqué humain et mutant comprendront qu'ils sont l'un comme l'autre des êtres humains. Je me rappelai des effets de l'ignorance par le passé. Les hommes blancs craignant le diable et choisissant de tué toutes personnes différentes de leur visions de l'homme. De nombreuses personnes atteintes de maladies furent tués. Les scientifiques persécutés car leur découvertes étaient contraires au superstitions de l'époque. J'étais motivé plus que jamais à lutté pour sauvé le genre homo de lui même. Et cette lutte commencerais par la visite de l'institution où j'allais vivre à partir de maintenant.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeJeu 19 Juin - 20:52

Aller, hop, direction le dortoir des garçons pour y déposer le nouveau prof, avec le supplément explication qui plus était. La bâtisse était peut-être sublime et réaménagée au maximum mais il n’y avait pas de place illimitée et les blocks d’habitation servant de dortoir avaient été rajoutés dans les années quatre-vingt-dix ou deux mille pour parer au nombre toujours plus grand de résidents logeant à l’Institut, là où tout avait commencé avec cinq ou six élèves. Reprenant son rôle de guide, Rachel désigna les divers panonceaux ainsi que les directions qu’ils annonçaient, déclamant à haute voix ce qu’ils énonçaient.

- Les salles de classe c’est les deux mandibules à l’avant, tu peux y accéder par l’intérieur, la cour et l’extérieur du manoir. La vie scolaire et le secrétariat, c'est juste derrière l'escalier qui mène au premier, à l'intérieur du bâtiment, c’est marqué sur la porte. Le couloir en haut de l'escalier contient les chambres d’X-Men.

Elle lui expliquait le premier puisqu’escomptait passer par le rez-de-chaussée pour se rendre à l’arrière du bâtiment où la majorité des salles importantes se trouvaient.

- Suis-moi, lui indiqua-t-elle tant de la voix que de la main avant de prendre l’un des couloirs qu’elle n’avait pas présenté mais qui au final, malgré leur grande baie vitrée égale à celle encadrant la porte, n’étaient rien de plus que des couloirs ; un moyen comme un autre d’éviter que les élèves doivent passer par les chambres du manoir pour aller en classe le matin.

Prenant le couloir de droite, par rapport à l’entrée, soit celui qui correspondant au flanc sud-est et conduirait au plus proche du dortoir des filles que de celui des garçons (une habitude qu’elle ne se rendit compte qu’un peu plus tard), elle arriva proche de l’un des grossiers aménagement qui avaient été fait à l’arrière de la bâtisse, sorte de champignon rajouté à l’arrière du manoir pour accueillir un large ensemble de pièces toutes équipées pour divers formes de détente : tables et chaises, tables basses et canapés, télévision et console de jeu ou lecteur DVD/Blue-ray, jeux de société, etc.

- Le foyer. Y’a moins de monde qu’on pourrait croire car les étudiants préfères le calme de leur chambre généralement. Mais ils y viennent parfois en groupe. A l’opposé, y’a un agencement similaire, c’est le bureau des profs. Certains insistent pour en avoir un à eux, d’autres ce contente d’une salle commune, on fait comme on peut avec les moyens du bord.

Continuant de marcher, elle arriva à l’extrémité des salles du foyer où se trouvait un croisement avec un escalier pour monter vers les étages supérieurs, un couloir vers l’extérieur pour rejoindre l’un des dortoirs et un autre vers l’intérieur passant entre le réfectoire, ce grand dôme en baie vitrée qui servait de queue à l’Institut, et les cuisines qui étaient internes au bâtiment.

- On va aller à gauche parce que le dortoir de ce côté, c’est pas le bon, déclara-t-elle sans la moindre honte vis-à-vis de son égarement qui en définitive permettait d’en montrer un peu plus. Les escaliers conduisent au premier, avec les chambre des X-Men, au second, avec la bibliothèque, et au troisième, avec l’infirmerie. On montera pas tout de suite car on va tracer vers l’autre aile et le dortoir des mecs, poursuivit-elle tout en marchant. Là, c’est le réfectoire, et en face la cuisine, continua-t-elle en désignant les pièces latérales sur le chemin, y’a des horaires pour les repas mais ils sont assez large et t’es libre de te cuisiner ce que tu veux si l’envie t’en prends, du coup tu peux bouffer à peu près n’importe quand mais il ne faut pas en ramener dans les dortoirs.

Continuant jusqu’à arriver à l’aile contenant les bureaux, elle prit le couloir à destination du dortoir tant suscité et qui devait soulever une interrogation à laquelle elle n’avait pas pensée jusque là.

- Oui, même les profs dorment dans les dortoirs, on n’a pas assez de chambres d’invité, comme elles datent de l’époque où c’était un manoir. Néanmoins on doit pouvoir t’obtenir une chambre vide. Elles sont soit pour quatre soit pour deux mais les profs sont généralement dans les deux, même s’ils sont seuls.

La plupart des professeurs non X-Men employés par l’Institut étaient, à juste titre, des employés, ne résidant nullement sur place et étant, comme tous les autres élèves et résidents, mit à l’écart des activités du groupe d’intervention.

Les dortoirs étaient des bâtiments relativement récents, avec des escaliers et un ascenseur, et également des salles de bains communes situées au rez-de-chaussée, contenant cependant des douches et des baignoires isolées. Les chambres étaient toutes similaire, 13m² dont la façade opposée à la porte avait une grande fenêtre, et selon qu’elles étaient deux ou quatre personnes elles contenaient ou deux lits ou deux mezzanines, un bureau avec suffisamment de place pour accueillir tous les locataires et disposé contre la fenêtre et une armoire du même acabit ; enfin, petit bonus, une petite pièce annexe contenant des toilettes.

Arrivant à l’intérieur du bâtiment, l’Echo du Phénix sembla perplexe.

- Bon, maintenant je me dis que peut-être qu’on aurait quand même dû passer par le secrétariat, histoire de demander le numéro de chambre et les clés…

Bon, l’épic fail du jour lui revenait pour étourderie, sur le coup. Croisant les bras, elle ferma les yeux pour se connecter à la recherche de l’esprit de Darla, la Cyberpathe Asperger qui se chargeait du secrétariat et à qui elle demanda, après un poli toc-toc, les renseignements recherchés. C’était la première fois qu’elle lui faisait le coup et elle fut plutôt surprise (moins que Darla cependant) des pensées bien moins mécaniques et froides qu’elle trouvait dans l’esprit. Pas suffisamment vivante pour l’envoyer chier purement et simplement mais même si Rachel ne lui ferait plus le coup de la télépathie, elle avait au moins son renseignement.

Renseignement qu’elle énonça à haute voix avant de conduire Alan jusqu’à sa porte, posant la main sur la serrure pour la déverrouiller.

- Faudra que tu penses à passer à la vie sco pour récupérer les clés tout à l’heure, quant je te ferais visiter le premier par exemple. Faudra juste me le rappeler.

Elle assumait parfaitement son étourderie et ne prit pas la peine de se chercher des excuses, le laissant plutôt découvrir sa nouvelle chambre tout en reprenant sa pause, bras croisés et dos contre le mur.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeVen 20 Juin - 13:26

La jeune mutante dont l'identité était toujours un mystère pour moi, décida de me donné une brève description des lieux par lesquels nous passions. Je la suivais comme elle me l'avait demandé et écoutais chacun de ses mots avec attention. Une fois arrivé au niveau du foyer, elle me précisa que les élève avaient tendance à préférer le calme de leur chambre. Ensuite, je fus incapable de caché ma surprise en entendant que certains professeurs avaient une nette préférence pour un bureaux solitaire. De mon coté, je n'osais rien dire de peur de ralentir la jeune mutante qui prenait de son temps pour me faire visité.

Mes pensées, pour la première fois depuis mon arrivé, s'étaient canalisées. J'étais le style de professeur qui pensait que ce qui compte pour un bureau de professeur, c'est de pouvoir accueillir les élève désirant nous parlé de leurs lacune et de corrigé les copies. Le reste n'était que secondaire et s'en réel importance.

Une fois arrivée au bout du foyer, la jeune femme à la chevelure ardente m'annonça que nous allions prendre à gauche en direction des dortoir pour homme. Elle me donna, aussi, vite fait en me montrant des escalier les lieux où il menait et me précisait le lieux de la cuisine avec les règles s'y appliquant. Je fus soulager d'apprendre qu'on pouvais, si on était prêt à cuisiné à manger à presque n'importe qu'elle heure. J'étais assez gêné quand je mangeait à ma faim en public. J'avais pris l'habitude de mangé autant que les autres puis lorsque j'étais seul de manger à nouveau pour obtenir mon cota de calories.

J'avais horreur de parler de cet aspect de ma mutation devoir mangé plus que les autres pour avoir les nutriments nécessaires au bon fonctionnement de mes glandes, était la partie de ma mutation qui me gênait le plus. Sans oublier les tâches que j'avais sur mes dents déjà quinze minutes après me les êtres brossé. Certes, j'avais appris à camoufler ses inconvénients mais il avait accru mon sentiment de faiblesse.

La jeune mutante, tout en continuant de se dirigé vers les dortoirs, expliqua la raison pour laquelle les professeurs dormaient dans les dortoirs eux aussi. Contrairement, à ce que l'on pourrait pensé, cette nouvelle me fis plaisir. J'y voyais dans le fait de dormir dans les dortoirs comme les élèves une possibilité d'être disponible pour les aider si ils en ressentaient le besoin. Après tout, un professeur avait pour but d'accompagné ses élèves dans l'obtention de nouvelle connaissance.

Nous venions d'arrivé dans les dortoir quand ma guide avoua avoir oublié de demandé les clefs et le numéro de ma chambre. Je m'apprêtais à lui proposé d'aller chercher l'information et les clefs lorsque cette dernière ferma les yeux. Puis quelque seconde plus tard, elle énonça un numéro de porte, se dirigea vers une porte portant se numéro et posa la main sur la poignée. J'entendis le cliquetis de la serrure qui s'ouvrait. J'en était à présent sûr, la jeune mutante était télépathe et télékinésiste. Fidèle à moi même, cette confirmation fit apparaître dans mon esprit de nombreuses questions. J'étais curieux de savoir qu'elle était les sensations propres à ce type de capacité mais par soucis de sociabilisation, je gardai mes questions pour moi.Après tout, j'aurais d'autre occasion de me renseigner à se sujet.

Je pénétrai dans la chambre. C'était une chambre pour deux personnes. Les lits étaient disposé de chaque coté du bureau. Deux chaises faisaient face au bureau permettant de s'asseoir lorsque l'on travaillait sur celui-ci. Une petite armoire faisait face à une porte donnant sur les toilette.

La jeune mutante me demanda de lui rappelé qu'il fallait que je passe à la vie scolaire récupérer les clefs lors de la visite du 1er. Je plaçai mes effets personnels au pied du lit et prononça calmement.

-Ne perdons pas de temps. Je rangerai mes affaires plus tard.

Je sortis de ma chambre, et fermai la porte délicatement en observant la serrure. Là ma fainéantise me donna l'idée de faire mes clefs grâce à ma mutation, puis je décidai de laisser tomber cette idée. C'était dans un certain sens, un manque de respect et je me devais de ne pas manqué de respect. Sinon, je risquerais de décevoir mon père.

Je remarquai seulement que la jeune mutante avais les bras croisé. Je n'étais pas un expert en lecture du langage corporelle, mais lorsque j'eus un cours sur les entretien d'embauche, on m'avait dit que les bras croisé était signe de fermeture. Je me demandai qu'elle était la cause de cette fermeture. J'eus plusieurs hypothèse en tête. Pour moi, soit elle se méfiait de moi ce qui m'étonnerais, Sinon elle m'aurait pas fait visité les lieux. Soit, elle avait vécu un moment difficile récemment et ne voulait pas en parlé ou alors je me faisais des films. Je pris la décision de ne pas faire attention à ça pour le moment, je ne la connaissais pas encore assez bien pour abordé une discussion délicate. Je préférais me tournai dans sa direction pour lui faire un sourire amicale et lui dire :

-Voila je suis prêt à commencez la visite.

J'attendais la réaction de la télépathe avec bienveillance. Cette visite me permettrait peut être de rencontré un membre des x-men. Je ne pus m'empêcher de me mettre à pensé que même si c'était possible c'était hautement improbable. Il devait être les membres de l'institut les plus occupés mais je profiterai de la découverte de chaque lieu.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeSam 21 Juin - 11:37

C’était bien, pour une fois qu’elle se retrouvait à parler plus que son vis-à-vis ; dommage que ce soit du fait que ledit vis-à-vis ne parlait plus tellement désormais qu’il avait vidé son sac. Ça rendrait plus rapide la visite des lieux en tous cas, même si elle ne s’était pas attardée sur chaque pièce, donnant juste la localisation. Une fois qu’il serait débarrassé de ses affaires ils auraient tout le temps de le faire.

Laissant Alan visiter sa nouvelle chambre, Rachel prit sa pause d’attente habituelle, zonant contre le mur du couloir même si elle n’avait pas l’indélicatesse d’y apposer son pied. Elle n’eut cependant pas beaucoup à attendre, une chose qu’elle n’aimait généralement pas faire d’ailleurs, car l’autre semblait plus pressé que visiter que de s’installer ; cela lui allait parfaitement, la faisant quitter sa position réflexive de laquelle elle n’aimait pas être dérangée pour passer à la suite des opérations.

- Voila je suis prêt à commencez la visite.

L’Echo du Phénix resta un instant perplexe car pour elle, la visite avait déjà commencée depuis l’acceptation de sa proposition, mais elle ne releva rien, cependant, reprenant sa marche d’un pas cependant plus rapide et régulier. Retournant au bâtiment principal, à seulement quelques mètres de celui du dortoir, pour aller présenter le bureau des Professeurs où à côté d’une grande salle principale se trouvaient des bureaux particuliers aménagés, généralement séparés ; seuls ceux du Directeur C. Xavier et de la Directrice-Adjointe E. Frost étaient en dur et ils ne se trouvaient pas ici.

- Faudra voir avec l’administration pour ton éventuel bureau et tes cours, moi ça me concerne pas, dit-elle simplement, le laissant regarder avant de s’en retourner sur ses pas, à direction du couloir transversal et des deux pièces qui s’y trouvaient.

Les entrées du Réfectoire se trouveraient aux deux extrémités du couloir, au plus proche des couloirs menant aux dortoirs et à l’avant de l’Institut, tandis que la pièce en elle-même était un grand demi-cercle en baie vitrée, pourvue d’un self-service contre le mur séparant les deux portes et d’une quarantaine de tables, donnant d’une vue sur le terrain omnisport, la piscine et le lac Breakstone qui se trouvaient à l’arrière de la bâtisse, ainsi que de portes vitrées pour s’y rendre sans difficulté sur la terrasse qui les séparaient et où, l’été arrivant, de plus en plus iraient manger, des tables y étant installées pour la saison. Pas réellement besoin de présenter la pièce, elle le faisait très bien toute seule selon la jeune femme et ainsi ne s’y attarda-t-elle pas.

Ressortant, elle allait au milieu du couloir pour y présenter les cuisines, qui elles aussi étaient très grandes et toutes équipées, avec des grands frigos et congélateur dans le fond de la pièce, lesquels en compagnie des autres contenant placardier étaient sensément contenir une ou plusieurs semaine(s) de nourriture pour les un peu plus de deux centaines de résidents qui s’y trouvait, un lave-vaisselle qu’elle-même qualifiait d’industriel de part sa taille également et son mode de fonctionnement à roulement, ainsi que de nombreux plans de travail, plaques de cuissons et fours de tous types, répartis de manière équilibrée afin de permettre à plusieurs personnes de s’occuper en même temps. Enfin, rangés dans un coin de la pièce se trouvaient les chariots pour transporter les plats préparés jusqu’au réfectoire et ramener les plateaux.

Rachel pouvait passer pas mal de temps ici lorsqu’il y avait peu de monde, cuisiner étant une activité qui lui plaisait pour la préparation des plats et le partage qu’elle pouvait engendrer, la trouvant gratifiante et intéressante même si elle ne s’essayait pas à l’expérimentation ou à des tentatives de décoration, puisqu’après tout ça restait fait pour être bouffé et qu’on lui avait bien apprit qu’il ne fallait pas jouer avec la nourriture. Sa réputation de cuisinière de pizza occultait un peu les autres car si elle préférait faire ces plats elle était grande amatrice de viande, même si elle partageait moins, de cookies, de tartes et de gâteaux, même si elle se foirait plus. Dans tous les cas, elle savait qu’il y aurait le nécessaire pour qu’Alan prépare sa spécialité Belge comme presque tout ce qui pourrait lui passer par la tête et le laissa visiter plus amplement que le réfectoire, un coup d’œil n’étant pas suffisant à détailler la pièce.

Elle répondrait aux éventuelles questions comme toujours s’il y en avait avant de se retourner, elle-même ne s’interrogeant pas tant que cela ; tant sur la spécialité Belge que sur le Belge lui-même. S’il avait envie de faire connaissance, il le ferait, elle s’occupait à lui présenter les lieux pour l’instant sans tenir considération du fait qu’il soit entièrement ou presque accaparé par « découvrir les autres facettes de cette magnifique bâtisse à l’architecture sublime ». Rien ne pressait de toute façon car elle serait encore là après, elle avait survécu une fois à la destruction de ce manoir et escomptait bien y rester au cas où on tenterait de le détruire encore ; c’était ici qu’elle avait sa vie, même si elle pouvait parfaitement la vivre temporairement ailleurs.

A dire vrai, la seule interrogation qui lui traversa l’esprit fut de savoir si elle se ferait moins bonder de son absence avec une plâtrée de cookies pour se faire pardonner ; elle était désormais seule dans sa chambre donc libre d’aller dormir dehors cependant l’absence de nouvelles pouvait prêter à inquiétude surtout quant on connaissait sa capacité à être au mauvais endroit et au bon moment. Elle verrait bien, on ne lui avait pas trop tenu rigueur de s’être faite tuer à Londres puis merde de toute façon elle était indépendante, même si selon sa carte d’identité et son passeport britannique elle ne serait pas majeure avant 2025 ; les voyages dans le temps et l’administration, c’était la merde. D’un autre côté dès qu’on impliquait l’administration ça devenait la merde, non ?
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeSam 21 Juin - 13:56

La jeune mutante fit une tête perplexe, après ma dernière phrase puis se dirigea d'un pas rapide vers le bâtiment principal. Enfin, Je commençai à me demandé si je ne devais pas tenter d'entamer une conversation durant les trajets. Nous arrivâmes aux bureau des professeurs. La jeune mutante me précisa qu'il faudrait voir avec l'administration pour mes cours et mon éventuel bureau. Je fus cependant plus interloqué par la seconde partie de sa phrase ou elle m'avoua que ça ne la concernait pas. Je me mis à réfléchir à son rôle dans l'institut. Elle me laissa regarder les lieux en se dirigeant vers les couloirs où je la rejoignit quelque seconde plus tard.

Elle me guida, ensuite vers le réfectoire qui avait vu sur une terrasse, à partir de cette terrasse je vis une salle omnisports, un lac et une piscine. Voyant, la piscine je ne pus m'empêcher de penser à voix haute.

-Pourquoi construire une piscine quand il y a un lac, après tout on peux faire tout ce qu'on fais dans une piscine dans un lac ?

Je remarquai que j'avais pensé à voix haute et je m'excusai pendant que la rouquine me conduisit dans les cuisines. Elle me laissa explorer les cuisines de l'institut. C'est alors qu'un détail me passa par la tête. Tout en regardant où était les friteuse, la graisse de bœuf et les moules, je demandai avec un peu de gêne dans la voix

-J'ai oublié de vous demander si vous aviez des allergies alimentaires et je me demandais aussi comment vous vouliez que je vous appellent ?

Je laissa le temps à la jeune femme de répondre puis afin de tenté de me montrer sociable je lui dit sur un ton amicale.

-Et si jamais, je parle d'un sujet que vous n'appréciez pas n'hésitez pas à me le dire. J'ai tendance ...

Je m'arrêta de parler quelques seconde happer par le souvenir de ma première journée à l'école. Une fois se souvenir passé je repris la parole.

-Un peu d'eau et de la farine ou de la fécule de blé, je peu donné un cours voir deux complet.

Encore une fois, j'avais perdu le fil de mes idées et cela avait tendance à décontenancé mes interlocuteurs. J'espérais, seulement, que ma guide ne me trouve pas bizarre. Je profitai de ma présence dans les cuisines pour mettre dans un placard mes réserves de barre chocolaté.

-Il vaut mieux que je les laisse ici, ça évitera que je sois tenté de mangé dans ma chambre.

Par cette phrase, je démontrais que j'avais écouté chaque mots de la rouquine et que j'étais d'accord de me plier au règlement. De toute façon, ce n'était pas ce que je trouvais le plus important. Je me retourna vers la rouquine lui sourit et tout en me rapprochant demanda avec une curiosité non dissimulé.

-Aimez vous cuisiné ?

Je laissa le temps à la jeune mutante de répondre avant de dire :

-Pour tous vous dire, pour le moment je connais plus de fille qui n'aime pas faire la cuisine que de fille qui aime faire la cuisine. D'ailleurs, j'essaye de comprendre pourquoi. Quand on cuisine des spécialité étrangère, on découvre une partie de la culture de ce pays. Pour ma part je trouve ça fascinant.

Encore une fois, on pouvais remarqué que j'étais, comme dirais mon père, original et en étant conscient. J'espérais seulement que cela ne ferait pas fuir les personnes qui désiraient avoir une discussion avec moi. J'étais habitué à être différent et cela pesait sur mes liens sociaux. Durant, mes études on ne me parlais pas souvent et cela que ce soit les mutants ou les humains. J'étais le garçon bizarre qui ne souriait jamais. Mes pensées me mirent face à une de mes plus anciennes interrogations sur ce monde. Pourquoi l'humanité parle sans savoir ? C'était le plus grand des mystère pour moi et au bout de huit années de réflexions je n'avais aucun début de réponse.

J'arrivai alors près de la jeune rouquine qui se dirigeai vers le couloir ou je la rejoignit. Je m'apprêtais à la suivre vers le prochains lieux de la visite guidé et curieux de savoir comment allait interagir mon esprit.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeSam 21 Juin - 16:56

- Pourquoi construire une piscine quand il y a un lac, après tout on peux faire tout ce qu'on fais dans une piscine dans un lac ?

- Le lac est naturel, ils ont pas voulu le chlorer et la piscine est aux normes pour les cours de natation, répondit-elle simplement, avant d’ajouter face à sa reprise : Inutile de t’excuser, t’as pas fait de conneries.

La discussion se poursuivit comme attendu dans les cuisines, devenant un peu plus vive alors qu’ils se trouvaient sur le territoire d’un intérêt commun et cela allait parfaitement à la jeune femme.

- J'ai oublié de vous demander si vous aviez des allergies alimentaires et je me demandais aussi comment vous vouliez que je vous appelle ?

- Rachel ça me suffit, dit-elle sans énoncée l’entièreté de son identité. Et je crois pas avoir d’allergies, j’en sais rien.

Elle avait dues avoir des allergies, on avait même dues les lui diagnostiquer à une époque, mais elle ne s’en souvenait pas et ses dix dernières années ne lui avaient pas donné le loisir de s’en préoccuper, d’autant plus que plus jamais aucun instrument médical ne la toucherait jamais.

- Et si jamais, je parle d'un sujet que vous n'appréciez pas n'hésitez pas à me le dire. J'ai tendance…

- T’inquiète pas, je suis franche et honnête, répondit-elle alors qu’il semblait buguer, lui passant là encore la précision qui en tenait à sa brutale franchise et à sa crue honnêteté, du moins quant ça la blessait.

- Un peu d'eau et de la farine ou de la fécule de blé, je peux donner un cours voir deux complet.

- C’est pas faux.

Rachel ne s’affolait pas de ne pas comprendre les dires de certain, parfaitement consciente que la différence culturelle entre elle et le commun était grande et encore plus parfaitement ouverte d’esprit même à ce qu’elle ne comprenait pas, tant que cela n’était pas un danger pour elle ou ceux qu’elle aimait ou n’essayait pas de la manipuler.

- Il vaut mieux que je les laisse ici, reprit-il en allant déposer ses sucreries dans l’un des placards, ça évitera que je sois tenté de manger dans ma chambre.

- D’autres pourront le faire s’tu les planques pas. Ce qui est dans les cuisines est en libre service généralement.

- Aimez-vous cuisiner ?

L’Echo du Phénix sourit, marquant un instant de pause pour préparer ses explications quand à son appréciation de la cuisine, instant mis à profit par Alan pour approfondir le sujet. Plus de filles dépréciaient la cuisine que ne l’appréciait ? Les goûts et les couleurs ça ne se discutait pas et le libre-arbitre non-plus cependant cela devait déprendre de quelle cuisine on parlait. Quand aux cuisines des spécialités étrangères, Rachel préférait éviter de faire partager la culture de son monde.

- Perso je cuisine en tant que loisir, pour faire quelque chose du début à la fin par moi-même et me faire plaisir ou partager cela avec d’autres, après si on me demandait de faire la bouffe quotidiennement ça me ferait vite chier.

Et de toute façon elle ne le ferait pas et si on tentait de l’y forcer c’était coup de boule et on en parlait plus. Sans doute était-ce une réaction fort peu diplomatique et légèrement violente mais elle était légèrement violente et fort peu diplomatique de toute façon, même dans ses meilleurs jours.

Ressortant des cuisines, elle prit parti de se diriger une nouvelle fois à vers la partie sud-est et grimpa les escaliers vers le premier étage, passant dans un couloir où chacune des portes portait une plaque avec un nom gravé dessus ; pas le plus malin pour dissimuler l’identité des X-Men mais la plupart étaient connues de toute façon. Ororo Munroe, Jubilation Lee, Rachel Summers, Emma Frost, de Lauro-Elioth (bah oui, la plaque était déjà pas assez grande pour mettre les deux prénoms alors y adjoindre tous les noms de famille qu’elles se trimbalaient…).

- Cet étage est consacré aux chambres des X-Men, elles sont généralement à peine plus grandes que celles des dortoirs mais plus personnalisable, et sont au-dessus des couloirs du rez-de-chaussée. Celle-là, c’est la mienne.

Arrivé à l’avant du premier étage, elle descendit le grand escalier du hall et s'en retourna dans les couloirs suscité, ouvrant la porte qu’un panonceau mural désignait comme « Secrétariat et Vie Scolaire », arrivant dans une pièce meublée de deux bureaux, le plus reculé étant celui de la secrétaire, Darla Stinger, une Cyberpathe de 25 ans froide à en être psychorigide qui évitait tout contact physique ou visuel avec autant d’émotivité que les machines qu’elle manipulait mais néanmoins un don caché pour la répartie cinglante et un humour tenant au cynisme et à la condescendance, tandis que le plus proche était celui des surveillants, pouvant en accueillir jusqu’à trois simultanément bien que les sièges fussent rarement tous remplis. Il y avait sur les bureaux des trieurs et des dossiers classés, ainsi qu’un ordinateur, un pour la secrétaire et un seul pour les surveillants, ce qui était suffisant pour effectuer les tâches administratives qu’on leur déléguait. Il y avait aussi, sur le bureau des surveillants, des imprimés avec le plan de l’Institut et le règlement intérieur (même si ce dernier était affiché un peu partout dans la résidence), pour guider les nouveaux étudiants et résidents.

La rousse n’eut même pas à faire salutations ou présentation que l’autre jeune femme leva une main tenant un porte-clés, avec le numéro de la chambre et la clé correspondante, limitant ainsi la conversation à un remerciement. Lançant les clés à Alan, elle remonta l'escalier et reprit le couloir dans l'autre sens où certaines portes n’avaient nulle inscription mais les autres parlaient de Logan, de Sage ou encore de Morgan Stronghold, revenant aux escaliers arrières pour accéder encore à l’étage au dessus, et conduire jusqu’à la bibliothèque, une grande et longue pièce où étagères remplies de livres et plus récentes qu’on l’aurait pensé, changées suite à un léger accident quelques années auparavant, côtoyaient des bureaux avec ordinateurs et des chaises et canapés de lecture.

- La bibliothèque, les seuls ordis en libre service sont ici et… bah c’est une bibliothèque quoi, faut être calme et silencieux de préférence.
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Alan West
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeDim 22 Juin - 0:16

La jeune rouquine réagit à mes propos sur la piscine en donnant une explication très terre à terre que je ne relevai pas. Puis dans la cuisine, elle me répondit à chaque question. J'écoutai chacune de ses réponses avec intérêt. Elle me conseilla même de planqué mes friandise si je ne voulais pas que les autres élèves et résidents ne se servent. Je lui avoua que ce n'était pas grave après tout la vie en communauté passait par le partage.

Par la suite, Rachel me guidait vers le premier étage où se situait les chambres des x-men. Je regardai les noms inscrits sur les poteaux pendant qu'elle m'expliquait le contenu de l'étage et me montra sa chambre. Puis, pendant que je regardai les noms sur les portes, je me demandais comment le professeur Xavier choisissait les nouveaux X men. Je vis Rachel se dirigé vers la porte du secrétariat et vie scolaire.Dès lors, je décidai de la suivre pour voir l'intérieur de de la pièce . Je remarquai que la secrétaire donna les clefs à Rachel qui me les lança. Je rattrapai les clefs non sans mal.

La jeune télépathe repris par la suite la direction de la bibliothèque. Elle me donna des informations propre à la bibliothèque puis me tournant vers elle en souriant je lui demandai :

-Au fait y a t-il des scanner, des imprimantes et des photocopies à la bibliothèque.

Ma question était dès plus sincère parfois lors de travaux complexes, il fallait pouvoir conservé une trace écrite de ses découvertes et ce, afin de les réinterpréter et de les adapté à ses besoins. J'avais des étoiles plein les yeux face à la taille immense de ce temple du savoir. Je décidai par la suite de continuer à discuter avec mon interlocutrice malgré le travail sur moi que cela demandais et décidai, après qu'elle eu répondu à mon interrogation de sortir de la bibliothèque attendant qu'elle sorte pour entamé la discussion qui me venait en tête.

-Au fait, Il y a une question que j'aimerais vous posez. Elle concerne votre vision du monde. Voyez vous selon moi la menace pour la genre homo est toujours la même depuis la nuit des temps. Je pense que l'ignorance est source de peur qui engendre haine, violence et intolérance. Bien sur certains s'illusionnent en disant qu'ils ont Dieux à leur cotés. D'autres prétendent que les mutants sont supérieurs aux hommes. Selon moi c'est n'importe quoi. Mutants comme humains ne sont que des êtres conscients. Les gens pensent en supériorité alors que le mutant est complémentaire de l'humain classique. Si on réfléchit humains et mutants sont fait pour s'entraider l'humain ayant le rôle de rappelé au mutant leur appartenance à l'humanité. J'aimerais tant réussir à construire un pont entre humain et mutant pour qu'il se comprennent mutuellement. Pour être honnête, mon ennemie ne peux pas être attaqué avec des armes. La seule arme qui marche c'est la pédagogie. Je me dois d'enseigner aux humains et aux mutants que nous sommes fait pour être ensemble.

Je me tournai vers la jeune x-woman les yeux habité du feu de la conviction propre aux idéalistes. Je lui souris puis ajouta avec la même conviction.

-Bien sur, en tant que jeune professeur je n'aurai pas un grand impact mais si des élèves sont convaincu et qu'ils suivent ma vision du monde alors j'aurai été digne de ma fonction. Certes, le libre-arbitre est impossible à contrôler mais c'est ce qui le rend indispensable. Humains et Mutants ne sont que des mots, si le monde pouvait arrêter de mettre le monde dans des cases. Chacun est différent et c'est là la richesse de la vie. Je pourrais encore en parlé durant des heures mais je doutes que ce soit vraiment le moment. Revenons en à la question que je désire vous poser.

Je me racla la gorge afin d'être le plus claire possible. Elle était une x-woman donc je savait qu'elle devait avoir son avis sur l'idéal de Xavier et je voulais mieux comprendre sa vision du monde. C'était un des modèle probable de l'institut en tant que x-woman et ceci m'aiderais à entendre une autre vison du monde venant d'un esprit que je supposais difficilement influençable.

-Selon vous qu'elle est le meilleur moyen de mettre en place l'idéal du professeur Charles Xavier ?

Je restai au coté de la jeune femme prêt à l'écouté silencieux jusqu'au prochain lieu de la visite ou jusqu'à sa réponse. J'ignorais sa vision du monde et c'était un moyen simple de savoir si elle était prête à la partager avec moi. J'avais aussi une chance d'avoir une bonne idée de sa vision du monde.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeLun 23 Juin - 11:04

- Au fait y a t-il des scanner, des imprimantes et des photocopies à la bibliothèque.

Alors là c’était une excellente question ; qui lui prit une seconde pour trouver la réponse considérant que l’entièreté de la bibliothèque se trouvait dans le périmètre qu’elle percevait mentalement.

- Y’a une multifonction branchée à l’un des ordis, yep, répondit-elle en espérant que l’objet qui ressemblait somme toute à une imprimante dotée d’un scanner pouvait aussi se limiter à la photocopie. Mais sinon y’a dans le bureau des profs ou à la vie sco’.

Réponse simple et informative qui n’appelait nulle réponse à son tour mais en reçue une sous la forme d’un début de monologue introductif à une nouvelle question. Alors s’il y avait trop de mots, l’Echo du Phénix prendrait l’appel à une amie, c’était dit.

Sa vision du monde, outch, Rachel aussi risquait de devoir monologuer ; la dernière fois qu’elle avait confrontée sa vision du monde dans un débat pseudo-philosophique c’était avec le Chef de la Confrérie à l’occasion du nouvel an, une conversation complètement décalée et légèrement bordélique mais somme toute intéressante. Mais elle avait le temps vu que l’autre exposait la sienne, avant.

La « menace pour le genre homo est toujours la même depuis la nuit des temps » ; alors là ça partait mal, ils devaient avoir une définition différente de l’homo. Ce n’était pas grave elle ferait comme si elle avait comprit, comme d’habitude quoi, jusqu’à ce qu’elle comprenne vraiment (ou pas).

L’ignorance comme source de la peur qui engendre la haine, la violence et l’intolérance ; ça ce tenait même si la haine et l’intolérance pouvaient également provenir de la connaissance, selon elle, tandis que la violence était inhérente à la nature animale de l’Homme. Quand à la référence aux Purificateurs, voici qui la fit sourire car elle savait pour Dieu, pour la Force Phénix. En revanche elle grimaça pour la référence qu’elle attribuait à la Confrérie et qui prouvait la méconnaissance d’Alan à leur sujet : ils ne prônaient pas la supériorité mais l’évolution tout comme ils ne prônaient pas la conquête mais la résistance face à l’oppression dans un combat pour la survie. Mais pour la supériorité du Mutant face à l’Homme, c’était en terme évolutionniste incontestable, d’où le nom d’Homo Sapiens Superior, mais en terme humains et moraux complètement stupide. En revanche la complémentarité la laissait plus que perplexe même si la réflexion du jeune homme était plus que pertinente à ce sujet, lui arrachant un nouveau sourire. Surprenant, décidément, le nouveau prof de chimie. Et totalement à sa place ici.

- Bien sur, en tant que jeune professeur je n'aurai pas un grand impact mais si des élèves sont convaincu et qu'ils suivent ma vision du monde alors j'aurai été digne de ma fonction. Certes, le libre-arbitre est impossible à contrôler mais c'est ce qui le rend indispensable.

Oh que si, le libre-arbitre était contrôlable et manipulable, même sans pouvoirs mutants ; la propagande et le mensonge étaient largement suffisant. Mais c’était bien cette faillibilité qui le rendait aussi précieux, aux yeux d’un être capable d’y mettre un terme en tout cas.

Le discourt ne tarda pas à toucher à sa fin, concluant sur la « richesse de la vie » et le fait qu’il pourrait en parler durant des heures, chose qui ne gênait pas la jeune femme tant qu’il demandait pas de répondre aussi longuement. Dans tout les cas, Alan West était sympathique dans sa capacité à soit être complètement incapable de parler soit être complètement incapable de se taire, fonction de la situation. Elle lui souhaitait qu’il soit dans le second cas durant ses cours, elle suivrait cela avec autant d’intérêt que d’incompréhension.

Contournant la Bibliothèque, alors même qu’ils parlaient, elle en était revenue à l’escalier pour monter au dernier étage, dans cette espèce de tour d’observation au sommet de l’Institut et qui constituait l’infirmerie.

- Selon vous qu'elle est le meilleur moyen de mettre en place l'idéal du professeur Charles Xavier ?

Rachel s’arrêta, le regardant quelques instants avant de répondre, réellement surprise de la question. Sans doute n’aurait-elle pas due puisqu’après tout il y aurait bien des X-Men pour répondre différemment d’elle mais il y avait effectivement une bonne et une mauvaise réponse à cette question ; les X-Men n’étaient pas le meilleur moyen de mettre en place l’Idéal Xavier, ils étaient là pour l’enseigner, le représenter et le protéger le temps que d’autres puissent le répandre à travers le monde, puis faire changer le monde comme eux n’auraient pu. Ils étaient l’avant-garde d’un mouvement de pensée pacifiste et altruiste même si pour ce faire ils devaient parfois avoir recourt à la violence mais jamais ils ne devaient la désirer ou s’y limiter. Après, cette vision restait très pure de l’idéal et même si elle ne cherchait pas la guerre Rachel était consciente que c’était dans la bataille qu’elle se défendait le mieux et qu’elle pouvait pleinement exprimer toute cette monstruosité qu’il y avait en elle, monstruosité inchangée même si mise au service d’une cause noble.

- L’Institution Xavier pour Jeunes Surdoués. Nous recueillons, protégeons, éduquons et formons ce que nous espérons être la future élite intellectuelle de demain, capable de répandre les valeurs de paix et d’égalité dans le monde une fois qu’ils seront sortis de nos murs.

Elle marqua une pause, restait sur le seuil de l’Infirmerie cependant pour ne pas clore cette discussion, cherchant les mots pour continuer à s’exprimer.

- Nous enseignons un idéal et une manière de vivre, nous apprenons à nous élèves non seulement à contrôler leurs pouvoirs mais aussi à s’insérer dans la société, dans les domaines qui les intéressent, afin de faire évoluer peu à peu les mentalités, comme cela c’est fait auparavant au cours de l’Histoire.

Elle récitait un cours, oui, mais pour une personne comme elle qui n’était pas studieuse c’était la preuve de sa croyance et de son engagement.

- T’es venu participer à ce que nous faisons déjà et tu devrais bien t’y intégrer, conclue-t-elle avec un sourire.

Franchissant la porte, elle présenta la grande salle principale de l’Infirmerie, salle indiscutablement clinique avec quelques armoires à pharmacies et le nécessaire pour une infirmerie, ainsi que plusieurs portes vers des chambres d’observation. Trois personnes travaillaient là, deux infirmières d’une trentaine d’années d’écart, une ancienne élève ayant terminée sa maitrise, jeune brunette aux traits comme au caractère doux et dénommée Irina Cameron, et une ancienne infirmière militaire cinquantenaire qui avait rencontré Xavier dans l’armée, bien plus dure et droite au nom de Teryl Ticalamira. Et enfin, il y avait le Docteur Moïra McTaggert, qu’il n’était pas nécessaire de présenter.

Les présentations avec les trois femmes furent vite faites, ainsi que l’explication sur la nécessité d’un bilan de santé dans les prochains jours, puis ils purent s’en ressortir de là, un lieu relativement trop fréquenté dans l’Institution.

- Pour reprendre, reprit Rachel qui n’avait pas perdue son idée bien rangée qu’elle était dans un coin de sa tête, j’ai grandi ici, j’ai été élevée dans l’Idéal Xavier. C’est par l’éducation qu’on peut faire changer le monde en mieux, pas par la violence ; c’est un outil de dernier recours, c’est à cause de ça qu’il y a les X-Men.

Le mot le plus important de sa phrase étant « à cause » puisqu’à beaucoup d’égard les X-Men étaient une entorse à l’Idéal Xavier mais c’était là une nécessité pour protéger cette idéal, nécessité qui disparaitrait le jour où ils auraient réussi.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeLun 23 Juin - 16:04

Rachel me répondit de manière claire et concise à mon interrogation. Par la suite, elle écouta mon monologue sur ma vision du monde. Pendant ce dernier, elle me guida vers l'infirmerie tout en m'écoutant et pus me répondre devant le seuil de l'infirmerie. La jeune télépathe me fis quelque sourire en répondant à ma deuxième interrogation et me confirma que j'étais bien à ma place et que je devrais bien m'intégrer.

Par la suite, elle me présenta aux infirmières et au médecin de l'infirmerie. Ils me précisèrent l'importance d'un bilan de santé prochainement. Je restai la à réfléchir puis la jeune rouquine me rappela à la réalité en me précisant qu'elle vivait dans l'institut depuis sa naissance et que de ce fait, elle était convaincu que l'éducation était la meilleur solution. Je ne pus m'empêcher de sourire, j'étais plus que d'accord mais je laissa échapper une marque de tristesse quand elle fit référence aux x-men en moyen de dernier recours.

-Je suis désolé, pour vous dire la vérité, je suis heureux que les x-men existent pourtant je rêve d'un monde sans x-men et à vos propos. Je pense que sur ce point on est d'accord. Ça doit être un lourd fardeau d'être x-men. Sacrifier toujours plus pour la paix, avoir le devoir de protéger le professeur Xavier, l'institut et ses occupants, l'idéal de Xavier. Pour tenir avec ce fardeau, vous devez avoir une grande force de caractère.

Je lui sourit avec une bienveillance toujours plus grande. Puis je me préparai à parler à chaque personne présente.

-Si jamais vous tombé à cours de pommades cicatrisantes, n'hésiter pas à m'appeler. Ma mutation ma doté d'une salive cicatrisante. Bien sur si vous voulez l'examiner avant utilisation je n'y voit aucun inconvénient.

Mon désir d'aider s'était manifester et j'étais heureux de l'avoir fais. Je me demandai, par contre, si il n'y avais pas de cave après tout, en général, les manoirs possédait des caves et il serais étonnant que celui-ci échappe à la règle. Il en allait de même pour les passage secrets. Il fut un temps où les passages secrets étaient la solution face au attaque surprise. Il permettait de fuir et je me doutait que si un jour je devais aider à évacuer les élèves, il vaudrait mieux que je connaisse leurs positions. Il me permettrait d'être plus discrets et au cas d'un incendie ça ouvrait des possibilités de fuites supplémentaires. Je me tournai vers Rachel un peu gêné et dit.

-Désolé je viens d'y pensé, mais dans le règlement intérieur, il est stipulé qu'en cas d'attaque ou incendie ou tout événement mettant en danger les élèves, je devrais les dirigé vers les sorties de secours. Je me demandais donc, si il n'y avait pas des passages secrets, que les résidents on le droit de connaître. Je vais être franc avec vous, je sais que comme les x-men vive à l'institut certaine région de l'institut son réservé aux x-men. Je comprend parfaitement la nécessité de telle zones et je vous promet de ne pas tenté de les découvrir. Cependant, il me semble logique de connaître toute les moyens d'accéder au issues de secours pour protéger les élèves. Existe t-il un plan avec toute les issues de secours de l'institut ?

J'attendais a présent la réponse de ma jeune interlocutrice. J'observai une dernière fois l'infirmerie avant qu'on la quitte. Je sentis un étrange bien être monté en moi. J'étais persuadé de pouvoir faire du bon travail. Je me dis à ce moment à moi même qu'il faudrait que je pense à demandé au secrétariat de m'indiquer les noms de mes futures élèves qui pourrait être gêné par le matériel du cours. Sur le moment, je pensai au mutant ayant un odorat sur-humain ou encore ceux disposant de pouvoir pouvant potentiellement entraîner des réactions imprévues. Ce n'était pas très urgent vu l'arrivé de la fin de l'année scolaire mais il n'était jamais trop tôt pour préparer ses cours et s'adapter à ses élèves.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeMar 24 Juin - 19:50

Si Rachel ne comprit pas pourquoi Alan s’excusa, elle ne put retenir un sourire quant au fait qu’il soit heureux de l’existence des X-Men ; c’était son cas également sans quoi ses parents ne se seraient probablement jamais rencontrés et sans quoi elle n’aurait probablement jamais trouvée sa place sur ce monde. Elle-même ne rêvait pas à proprement parler d’un monde sans X-Men mais elle était consciente qu’ils n’étaient pas faits pour être éternels et que leur disparition serait soit le faire de leur réussite soit celui de leur extermination ; elle avait connu l’un des cas même si son départ datait d’avant ce qu’Achab lui avait révélé avant de la tuer, le dernier jour de Février dernier alors qu’elle venait de massacrer les Warwolves à Londres. Ce lourd fardeau était celui de sa vie, le sacrifice tout ce qu’elle pouvait encore faire quant à protéger le Professeur Xavier, l’Institution Xavier et l’Idéal Xavier, elle répondait oui aux deux-tiers car elle ne se bâtait pas pour un homme et elle lui avait même déjà cassée la mâchoire ; mais s’il était menacé, oui, elle le protégerait comme n'importe quel autre résident ou X-Man. Et la grande force de caractère… elle n’avait jamais réellement eu le choix et la tenait des nombreuses personnes qui lui donnaient ou lui avaient donnée la force de continuer, même si elle n’en restait pas moins jusqu’auboutiste et prête à tout pour survivre, héritage de sa jeunesse.

- Si jamais vous tombé à cours de pommades cicatrisantes, n'hésiter pas à m'appeler. Ma mutation m’a doté d'une salive cicatrisante. Bien sur si vous voulez l'examiner avant utilisation je n'y voit aucun inconvénient.

C’était une bonne chose, Irina arrêterait peut-être de se ruiner la santé à transférer son énergie vitale pour guérir des blessures mineures, diminuant son espérance de vie sans le savoir à chaque utilisation de son pouvoir dans le but d’aider certaines personnes pouvant aller jusqu’à considérer qu’elles pouvaient librement se blesser puisqu’il y avait la guérisseuse pour les réparer. Tous les élèves de l’Institution Xavier n’étaient pas surdoués, loin s’en fallait, il y avait aussi des idiots et des téméraires mais pour préserver l’ancienne élève ils tombaient généralement sur l’ainée des deux infirmières dont la douceur militaire leur passait l’envie de s’esquinter gratuitement. Peut-être l’exploitation de la capacité d’Alan pourrait-elle équilibrer cela, peut-être pas, Rachel n’était pas réellement concernée car si elle avait développée des capacités de guérisseuse durant sa participation aux secours des victimes du Typhon Haiyan elle n’en usait que rarement à l’Institution pour les blessures mineures.

Descendant les marches une à une sans guère leur prêter d’attention, Rachel écouta le jeune homme continuer avec une autre demande des plus pertinente à laquelle elle n’avait jamais pensée ; et même si elle n’avait pas accueillit tant que cela de personnes de l’encadrement, elle n’avait pas d’exemple en tête d’ailleurs, c’était là une chose qu’elle n’avait jamais présenté à personne. Et que personne ne lui avait demandé. Enfin un qui lisait le règlement !

- Je vais être franc avec vous, je sais que comme les X-Men vive à l'Institut certaines régions de l'Institut sont réservées aux X-Men. Je comprends parfaitement la nécessité de telles zones et je vous promets de ne pas tenter de les découvrir. Cependant, il me semble logique de connaître tous les moyens d'accéder aux issues de secours pour protéger les élèves. Existe t-il un plan avec toutes les issues de secours de l'institut ?

- Aucune idée. En revanche les passages secrets d’évacuation sont principalement dans les salles de classe et les dortoirs. Y’a des portes dérobées dans le lambris, elles sont reconnaissables parce que les planches sont plus seulement verticales mais horizontales : un coup dedans et toute la partie coulisse dans le mur. Ensuite y’a des tunnels qui donnent à l’extérieur du domaine, dans différentes direction.

Elle n’ajouta rien sur les parties réservées aux X-Men, dont les points d’accès étaient situés à quelques endroits du manoir principal et particulièrement au premier étage, proche de leurs chambres ; Alan avait dit qu’il ne tenterait pas de les découvrir et de toute façon Danger contrôlait les accès ainsi aucune personne non accréditée n’arriverait à déclencher les ascenseurs pour descendre à la base. Et ceux qui essayaient avaient généralement affaire à l’agente de sécurité qu’elle était.

Revenant au rez-de-chaussée, elle s’arrêta en bas des escaliers pour faire face à son vis-à-vis, se rendant compte qu’elle avait oublié le bureau de la direction, qui se trouvait au second non-loin de la bibliothèque, étant la grande pièce vitrée au-dessus du secrétariat, et qu’ils en avaient grosso-modo finis de la visite.

- Tu veux faire le tour des salles de classe aussi ou c’est bon, t’as tout vu ?

Question simple à laquelle elle s’adapterait parfaitement, tant prête à l’emmener avec un silence relatif parmi les salles de l’avant de l’Institut où les élèves travaillaient plus ou moins efficacement qu’à le laisser repartir jusqu’à sa chambre et à aller elle-même se trouver une autre occupation ; elle n’avait pas besoin de trop s’interroger sur laquelle considérant que cela faisait une semaine voir une semaine et demi qu’elle n’avait pas nettoyée la caisse de Cerberus ni fait le ménage, chose qui la faisait (entre autres évidements) regretter le départ de jade de sa chambre. M’enfin Cerberus aurait su trouver à manger ou où signaler qu’elle n’en avait plus dans sa propre gamelle, elle était aussi débrouillarde qu’habitude la jeune chatte. Ça l’empêcherait pas de lui faire la tronche un jour ou deux mais tant pis, tant qu’elle ne chiait pas de mécontentement l’Echo du Phénix aurait la patience.

- Après, tu voudras retourner te pauser tranquille ? fini-t-elle simplement par demander, n’ayant plus réellement d’autre sujet de conversation.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeMar 24 Juin - 23:19

La jeune rouquine laissa échapper un sourire lorsque j'avouai être heureux de l'existence des x-men. Au moment, où je proposai mon aide indirecte à l'infirmerie, le personnel soignant eu l'air ravie et me proposa de vérifier la composition de ma salive pour son utilité, au moment, du bilan de santé. Je me proposai de passé le samedi pour le bilan de santé ce qui fut bien accueillit par le personnel.

À la suite de mon interrogation, la jeune x-woman répondu honnêtement et du mieux qu'elle pouvais. Elle me précisa que les passages secrets étaient, principalement, dans les salles de classe et les dortoirs et me donna le moyen de les repérer aisément ainsi que la méthode d'ouverture de ses derniers. Je la suivit au rez-de-chaussée, où en bas de l'escalier, elle me fis face et me demanda.

- Tu veux faire le tour des salles de classe aussi ou c’est bon, t’as tout vu ?

-Oui je veux bien, si cela ne vous dérange pas de trop et que ça ne perturbe pas de trop le travail des autres professeurs.

Je ne pus m'empêcher de rougir, j'avais peur de la déranger et je venais d'accepter sans réfléchir. Je lui fit un sourire sincère, mais j'eus besoin de rationaliser la situation intérieurement pour ne pas laisser mes émotions reprendre le dessus. La logique voulais que si elle me proposa de visiter les salles de classe, c'est que ça ne la dérangeais pas. Encore une fois, je me mettais une pression inutile et je dus faire d'énorme effort pour réduire le stress que je ressentais. Je voulais seulement que mon interlocutrice ne remarque pas mon sursaut de timidité. Je fus ramené à la réalité par la prochaine question de la jeune télépathe.

- Après, tu voudras retourner te pauser tranquille ?

-Je ne sais pas l'étiquette veux que je vous demande à qu'elle moment vous voulez manger la spécialité que je vous ai promise ? J'ai mon temps pour me posé, voyez vous comme ma mutation me demande de mangé plus que les autres, je comptais allé mangé un casse croûte après la visite et un autre aveux est que j'avais envie de profité de la terrasse. Ça me rappellera ma dernière année passé en Belgique.

La question de la jeune femme me surpris lorsque je l'entendit, je ne savais pas quoi pensé, je venais de me rappeler que nous nous étions pas encore mis d'accord pour le moment, où je préparerai à ma guide, la spécialité que je lui avais promise. Je ne pus m'empêcher de me demander si je m'y prenais de la bonne façon. Elle était déjà si importante dans l'institut que je craignais de lui manqué de respect. J'avais appris par le poste de mon père l'importance du respect envers les autres. C'était la base des négociation politique en Belgique.

Je décidai par la suite de tenté de relancé la discussion qui, je le sentais bien, commençais à s'enliser , je savais très bien que ce n'était pas naturel chez moi mais si je voulais avoir une chance de transmettre mon idéal, je devais apprendre à lancer des conversation. Je décidai de me lancer mais je ne trouvai rien de mieux qu'une nouvelle question professionnelle.

-Je suppose que pour optimiser les évacuations des élèves en cas d'attaques, vous effectués des exercices. Est-ce que vous connaissez le temps moyen pour l'évacuation de chaque élève ?

Je venais de posé une question qui en elle même n'étais pas importante, mais elle avait pour but de nourrir la conversation afin de me montrer sur mon meilleur jour. Enfin, c'est ce que je tentais de faire avec l'espoir de lutter contre ma timidité naturelle qui est mon plus grand point faible.
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeMer 25 Juin - 22:27

Non, visiter les salles de classe ne la dérangeait pas par contre le risque de perturber les élèves y était, lui ; vu la saison, la plupart des cours étaient donnés porte et fenêtres ouvertes donc ils ne passeraient pas inaperçu, même s’ils étaient silencieux. Et selon toute probabilité ils ne le seraient pas. Mais ça serait vite fait.

- Je ne sais pas l'étiquette veut que je vous demande à quel moment vous voulez manger la spécialité que je vous ai promise ? J'ai mon temps pour me poser, voyez-vous comme ma mutation me demande de manger plus que les autres, je comptais aller manger un casse croûte après la visite et un autre aveu est que j'avais envie de profité de la terrasse. Ça me rappellera ma dernière année passé en Belgique.

- C’est pas faux, pour l’étiquette, répondit-elle en continuant et de marcher et de chercher ce que venait foutre une étiquette dans l’histoire, que ce soit au propre ou au figuré. Je bouffe un peu quand j’ai faim le temps d’arriver au repas, en fait, mais c’est pas réellement le cas pour l’instant. Je goûte plus depuis… très longtemps.

Depuis ses douze ans, en fait, et la destruction de l’Institut sur son monde ainsi que tous les malheurs lui étant arrivés après ; à l’époque elle n’avait même pas eu de quoi manger à sa faim alors les sucreries du quatre-heure luis étaient tout autant passée que le reste de sa petite vie merveilleuse de petite fille. Ces considérations la firent s’assombrir et laisser la conversation mourir d’elle-même car elle, elle ne se dévoilerait pas face à un étranger comme Alan, tout aussi sympathique qu’il fut.

- Je suppose que pour optimiser les évacuations des élèves en cas d'attaques, vous effectuez des exercices. Est-ce que vous connaissez le temps moyen pour l'évacuation de chaque élève ?

- Non et non. Y’a des exercices de sécurités incendies mais ils passent pas par les passages d’évacuation d’urgence, il suffit de sortir et de se regrouper par classe de l’autre côté du parc. Les élèves ne connaissent pas les évacuations secrètes et je crois qu’elles ne leur seront révélées qu’en cas d’urgent.

Enfin c’est ce qu’elle en pensait considérant que l’alerte déclenchée par l’arrivée d’Exodus avait été traitée et justifiée ainsi, comme un banal exercice d’alerte incendie et avait vu les élèves se regrouper de l’autre côté du Lac Breakstone. Quant au temps moyen, elle ignorait complètement même si elle ne le voyait pas dépasser la demi-douzaine de minutes ; pas assez lors d’une attaque de Sentinelles mais bien plus que suffisant contre n’importe quelle attaque de ce monde, surtout considérant les X-Men en présence.

- La seule chose que je peux te promettre c’est que vous aurez le temps. Je vous le donnerai quoi qu’il arrive.

C’était énoncé, ça n’avait pas à être discuté et le ton l’explicitait clairement. Rachel n’accorda pas un regard en disant cela et ne cherchait pas à rassurer non plus, c’était plutôt une déclaration tant à Alan qu’au reste du monde et quoi que ce dernier puisse envoyer, finisse par envoyer, elle le confronterait avec toute l’infinie puissance qu’elle avait à sa disposition. Danger était la sentinelle de l’Institut, Phénix sa gardienne, c’était ainsi. Et en cas d’absence, si elle ne pouvait protéger l’Institut, Rachel le vengerait.

Se taisant le temps de visiter les salles de classe, qui se situaient à l’avant de l’Institution dans deux ailes spécialement construites pour et s’étendant de part et d’autres de la cour et se composaient d’un couloir central donnant sur des paires de salles pour pouvoir y distribuer un maximum de cours, elle prit la peine de désigner du doigt les lambris qu’elle percevait être les ouvertures de passage secret et qui devaient d’ailleurs pouvoir être actionnés par Danger au besoin considérant les mécanismes liés qu’elle n’avait jamais considéré jusqu’à lors. Ce fut sans doute la partie la plus simple et la plus courte à visiter, construite en miroir avec celle de l’autre côté et suffisant de suivre une unique ligne, ainsi ils se retrouvèrent rapidement à avoir « fait le tour », revenait à cette entrée où ils s’étaient rencontré.

- J’y pense que maintenant. Mais si tu veux bien cuisiner pour plusieurs personnes, je dois pouvoir t’en présenter dès ce soir.

Une occasion de faire sortir les Elioth de Lauro de leur grotte ? Peut-être. Une de faire rencontrer à Alan du monde ? Surement ! En tout cas pas question d’y convier les Munroe mais si Sanzo et ses potes n’avaient rien à faire cela pourrait se tenter aussi. Rachel se contentait généralement de l’accueil et laissait l’intégration à la discrétion des nouveaux comme des anciens mais s’il était question de partager de la bouffe, ça restait une idée. Peut-être était-ce impoli de tourner la chose ainsi mais elle n’en savait rien et puis quant bien même cela n’allait pas la coincé d’une quelconque façon que ce soit. En tout cas, si Alan préférait le tête-à-tête à cause de sa timidité… elle n’avait pas laissé le temps de poser la question…

- Sauf si tu préfères éviter qu’il y ait trop de monde.

Elle n’allait pas le traumatiser non plus mais ça permettrait sans doute de faciliter les choses, même avec une ou deux personnes.

- Puis s’il te faut un coup de main pour la cuisine, tu peux compter sur moi.

Elle aimait toujours faire la cuisine même si elle ne connaissait pas la spécialité à cuisiner et puis il valait toujours mieux ça qu’aller changer la caisse du chat ; enfin, ça encouragerait peut-être Alan, savait-on jamais.
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Alan West
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeJeu 26 Juin - 17:00

Rachel me fit visiter les classes, le plus silencieusement possible, afin de ne pas trop déranger les classes. Malgré, mes efforts pour ne pas faire de bruit lors de la dernière étape de la visite, chaque élèves tournèrent leurs tête dans ma direction lors de mon passage. Je pus percevoir dans leur yeux, une curiosité tout ce qu'il y a de plus légitime. Je ne pus m'empêcher de sourire devant ce spectacle tout ce qu'il y a de plus banale. Ce spectacle était, certes, banale mais il me mettait face à l'avenir du monde. Un monde qui, je l'espérait, serait ouvert au changement et laisserait humain et mutant partager ensemble ce dernier.

La jeune X-woman m'avoua ne pas avoir faim pour le moment. Par la suite, elle répondit à chacune de mes question vis à vis des condition d'évacuation. Elle m'expliqua que pour le moment, les élèves ignoraient ses passages secrets et qu'en cas d'évacuation, il nous suffisait de se retrouver avec la classe de l'autre coté du parc. J'écoutai chaque information de le jeune rouquine avec attention et je fus surpris par la phrase qui sonnais comme une promesse qu'elle donna par la suite.

-La seule chose que je peux te promettre c'est que vous aurez le temps. Je vous le donnerai quoi qu'il arrive.

Je la regardai avec un sourire des plus chaleureux, je pus constater que la jeune x-woman était une réel chance de l'institut. Tout le monde n'avait pas le courage de se battre pour protéger des inconnus et mon interlocutrice était de ceux qui ont le courage de le faire. J'ouvris enfin la bouche et dit

-Je n'en doute pas, cependant, j'espère juste que les menace qui nécessiterais que vous interveniez n'arrive jamais. En tout cas, je ne regrette pas d'avoir rejoins l'institut. Je m'engage à faire tous mon possible pour porter l'idéal de l'institut et être digne de mon rôle.

Je venais de faire une promesse non seulement à Rachel mais je venais aussi de le promettre devant la mémoire de ma mère et devant tout ce qui représentais l'idéal de Xavier. Je me devais de me montrer digne de la confiance que l'institut avais placé en moi et au nom de l'honneur je me battrai de toute mes forces pour le préservé. Par la suite, ma guide termina de me montré les différentes salles de classe et finis par retourner vers le hall d'entré. Où elle me dit ces quelque mots.

-J’y pense que maintenant. Mais si tu veux bien cuisiner pour plusieurs personnes, je dois pouvoir t’en présenter dès ce soir.

Je fus ravis qu'elle me fasse une telle proposition. Je pris cette proposition comme une marque de confiance envers moi et j'en fus des plus honoré. Je me préparai à lui répondre positivement lorsqu'elle ajouta avec bienveillance.

-Sauf si tu préfère éviter qu'il y ai trop de monde.

Je fus heureux de cette deuxième partie de sa question, qui voulait dire qu'elle préférais me savoir à l'aise. Je décidai donc de prendre la parole avec toute la sincérité que ma voix pouvait transmettre.

-Je serais ravis de pouvoir cuisinier pour plusieurs personnes. Je pense que la cuisine dois unir par le partage. Il n'y a rien de plus agréable que de manger accompagné et rien de plus triste que de mangé seul.

Par la suite, la jeune femme me proposa son aide pour le repas. À la suite de cette proposition, je ne pus m'empêcher de laisser échapper un sourire sincère. J'acceptai sa proposition qui si elle le désirais lui permettrais d'apprendre de nouveaux plat. Je n'avait qu'une chose à demander que je fis directement afin d'assurer la quantité nécessaire de nourriture.

-Au fait, combien serions nous afin que je prévois les quantités nécessaire ?

Je laissai à la jeune rouquine le temps de répondre à cette interrogation qui était préférable à une optimisation de la préparation du repas .
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Echo
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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeLun 30 Juin - 10:57

- Je n'en doute pas, cependant, j'espère juste que les menaces qui nécessiteraient que vous interveniez n'arrivent jamais. En tout cas, je ne regrette pas d'avoir rejoint l'institut. Je m'engage à faire tous mon possible pour porter l'idéal de l'institut et être digne de mon rôle.

Elle aussi espérait que les menaces qu’elle seule pouvait confronter, en tant que Phénix ou qu’Echo du Phénix cela n’importait pas, n’arrive jamais. Mais elle avait été habitué au pire et considérait qu’il fallait s’y préparé car il valait mieux trop de préparation que pas assez. Et elle prenait note du serment d’Alan avec un hochement de tête assez solennel, passant à la suite de la conversation et de ses idées comme associations d’idées.

Le futur prof de chimie acceptait de faire cuistot pour l’heure et ce avec une déclaration qui fit sourire Rachel : la nourriture unissant par le partage, elle était d’accord et elle irait même jusqu’à dire qu’elle partageait plus que la moyenne car, et cela avait toujours atterré de ses amies, elle faisait partager à la totalité de son visage, à sa tenue, à la table environnant son assiette voir en quelques rares cas aux voisins d’à côté ou d’en face. Mais c’était un détail puis aucun produit nettoyant au monde ne valait sa psychokinésie : avec le Phénix, les tâches s’évanouix… il fallait vraiment qu’elle trouve une meilleure maxime.

- Au fait, combien serions-nous afin que je prévoie les quantités nécessaires ?

- Une demi-douzaine de personne je pense.

Oui, elle avait balancée cette réponse un peu au petit bonheur la chance mais c’était pas grave : elle-même comptait pour deux et puis si elle voulait faire preuve de mauvaise foi elle pourrait toujours prétendre qu’ils n’étaient pas à « un demi » prêt. La douzaine de personne le Phénix ne pensait pas réussir à les réunir pour un nouveau mais ne serait-ce que les trois Elioth de Lauro et Sanzo avec ces deux amis, plus eux deux, c’était déjà pas mal. Cerberus ne comptait pas, elle faisait parti du compte double de Rachel. Après elle ignorait qui viendrait ou non pour l’heure même si le demander ne lui prendrait pas de temps, elle attendrait juste une pause dans les cours pour ne gêner personne.

- J’irai voir avec des gens quand ils ne seront plus occupé, reprit-elle en désignant d’un pouce les salles de classe même si techniquement toutes ses affinités de s’y trouvaient pas. T’inquiète pas s’il y a des restes, on les jettera pas. Ils seront mit au frigo et si quelqu’un va y piocher il pourra goûter aussi.

Finir les fond de plat, elle connaissait pour la viande rouge du moins. Elle espérait qu’il y en ait de la viande rouge d’ailleurs. Mais elle ne le dirait pas, elle voulait la surprise ; surprise qu’elle aurait jusqu’au moment où Alan se mettrait à cuisiner, considérant qu’elle allait lui filer la main, même si dans le cas contraire elle aurait été au courant aussi vite considérant que ses sens psychiques auraient perçue la préparation même en son absence. Et finir les fonds de plat impliquait qu’elle ne puisse pas le faire déjà elle-même sachant qu’il était peu probable qu’il en reste si on l’incluait à l’équation, elle avait déjà pour habitude de finir les assiettes des autres au besoin.

L’obectif était défini et la démarche à suivre restait à définir mais pour son premier jour d’arrivée, Alan West allait déjà rencontrer plus de monde que la moyenne du fait d’une intégration plus rapide que la moyenne également ; il avait une bonne prise de contact et malgré son étrangeté bipolaire il était parfaitement à sa place ici et avait la volonté de s’y investir. Plein de bonnes choses qui le feraient progresser rapidement, des choses qu’elle espérait aussi bonnes que sa spécialité belge ; ou alors l’inverse, elle espérait que la spécialité belge soit aussi bonne que les bonnes choses. Mais dans tous les cas c’était parti.

La cuisine aurait tout ce qu’il fallait, il n’y avait plus qu’à farfouiller et à faire. En temps voulu, Rachel se contenterait d’un « toc toc » télépathique pour savoir qui viendrait et ne viendrait pas afin « d’ajuster » (ou non) les doses et en temps non voulu, quant elle aurait le temps, elle irait s’occuper du ménage de sa propre chambre et d’essayer de débouder sa chatte par un tour au réfectoire ; les animaux étaient autorisés dans l’établissement sous réserve de dérogation auprès du secrétariat et on lui avait obtenue la dérogation bien avant qu’elle ne soit officiellement là. Après, sans doute n’avait-elle pas le droit de l’emmener au réfectoire mais Cerberus ne se gênait pas pour aller en cuisine donc c’était moins pire ; mais l’Echo du Phénix déclinait toute responsabilité quant à cette mauvaise habitude que Sanzo avait fait prendre à son animal de compagnie, elle n’y était pour rien, elle. Attendre sur les genoux de sa maitresse que cette dernière en foute suffisamment partout pour avoir ça part, ça c’était de la faute à ladite maitresse, mais aller en zone interdite c’était al faute du demi-chat doublement hormoné !

Le reste de l’après-midi se passa à une vitesse lente car il y avait si peu à faire et tellement de temps pour le faire ; le Phénix en avait l’habitude et ne se priva pas de demander à faire un dessert elle aussi. Non, ça ne serait pas une pizza, elle savait faire autre chose. Non, ça ne serait pas une spécialité de ses origines non plus. Ça serait une tarte et elle n’hésiterait pas à en offrir une seconde si on la trôlait là-dessus !

Rachel était gentille voir gentillette mais très expressive aussi et elle avait la main lourde, tant au figuré qu’au sens littéral. Elle parla peu de son passé ou même d’elle-même signalant, comme à son habitude et comme il lui avait été proposé, dès qu’un sujet devenait trop sensible le tout avec sa franchise légèrement bourrine. Elle se servit de ses capacités mutantes pour s’aider dans ses tâches avec un naturel frôlant l’inattention et se montra relativement docile dans l’accomplissement de ce qui lui était demandé.

Moules-frites, voici qui serait inédit : si elle avait déjà mangées des frites ce n’était pas le cas des moules et ce ne fut pas réellement le fait qu’il faille les ébouillanter ou autre qui la fit tiquer. Elle refusa d’ailleurs de le dire mais les derniers emplois du mot « moule » dans son entourage immédiat avaient eu un sens TRES différent. Mais ça ne l’empêcherait pas d’en manger ou de le faire même sans rougir. Par contre, ils avaient tuées les Elioth de Lauro avec ce simple point. Nulle panique cependant, l’Institut n’était pas bien grand et il y aurait toujours moyen de se rencontrer en d’autres circonstances !

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MessageSujet: Re: Entrée idéal?[pv Rachel]   Entrée idéal?[pv Rachel] Icon_minitimeLun 30 Juin - 16:16

La jeune x-woman fit un hochement de tête solennel lors de mon serment, puis écoutant mes interrogation me répondit. Je devais donc faire un repas pour une demie douzaine de personne, n'ayant pas envie de me lancé dans des calculs trop complexe, je me limitai à une évaluation approximative de  la quantité à faire. J'évaluai la quantité à 4 kilogrammes de moules et 3 kilogrammes de frites.

Puis, je me demandai quoi faire au cas ou les moules ne plaisait pas à tous et je pris la décision de faire des tranches de steak en plus au cas où quelqu'un n'aimerais pas les moules ou serait allergiques aux fruits de mers. Je n'avais pas encore décidé de certain détail dans la manière de préparer les moules mais rien de transcendant.

Je fus sortis de mes pensé par la jeune Rachel qui ouvris la bouche pour me préciser qu'elle irais invité les gens auxquels elle pensait en me montrant les salle de classe. Elle me dit aussi que je ne devait pas m'inquiéter des restes. Je ne pus m'empêcher de sourire, je ne m'inquiétait pas à ce sujet, dans le pire des cas je pouvais le finir le lendemain mais la disponibilité pour les autres  était encore mieux.

La jeune rouquine me proposa de s'occuper du dessert ce que j'acceptai avec un grand plaisir. La visite étant fini je la laissai prendre congé puis comme je lui avais dit plutôt, j'allai me faire  mangé et je me plaçai à la terrasse. Je passai mon temps à la terrasse à réfléchir sur l'organisation du repas car pour un meilleur repas, il valait mieux réussir à ce que les moules et les frites soit prêt à consommer à peu près au même moment. Il 'y avait rien de pire, quand on faisait un repas, que commencer à manger puis devoir attendre un temps relativement long avant d'avoir la suite du repas de consistance.

Par la suite, je me dirigeai vers ma chambre ou je rangeai mes effort. Je trouvai ce rangement ennuyant et je ne pus m'empêcher de soupirer tout le long ce dernier. Une fois fini, j'installai mon ordinateur portable sur le bureau. Le temps commençais à me sembler long et je décidai ensuite de suivre ma promesse à mon père. Je lui passai un appel téléphonique dans lequel je lui parlai de la visite et du repas. Mon père fus fière de moi et me souhaita bonne chance pour mon repas.

Je passai le reste du temps qu'il restait avant de devoir faire le repas promis à répéter mentalement ma recette. J'avais peur de la rater et toute personne qui m'aurai vu à ce moment l'aurait remarqué. J'avais surtout peur de mal indiquer à Rachel ce qu'il faut faire lorsque le moment sera venu. J'étais une fois de plus sous l'emprise du stress mais il valait mieux que ça se produise maintenant plutôt que lors du repas.

Je devais réussir à garder le contrôle de mes émotions pendant le repas. Si jamais je le perdais, je risquerais de paraître très bizarre et ceci compliquerais mon intégration. Pour savoir en garé le contrôle, je me préparai au pire. Le pire auquel j'arrivais à penser, ce petit détail avais toute son importance car à lui seul, il pouvait me faire vivre le pire moment de ma vie ou au contraire me faire  passé un excellent moment.

Je répétai une dernière fois les éléments de ma recette de tête que je maîtrisais parfaitement. Puis je relus une dernière fois, les astuces pour vérifier la fraîcheur des moules. Ils ne devaient y avoir aucun malade. Je voulais que tout les participants du repas passent un bon moment et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que cela se produit. Je connaissais la rapidité à laquelle, les moules devenait impropre à la consommation et je ne voulais pas en donné une mauvaise expérience quitte à faire plus de tranches de steak pour sustenter tout le monde.

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