Pouf-pouf ce sera toi qui dé-cé-de-ra [libre] [non censuré]

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Je me levais tôt ce matin la, sur les coups des 14h00, avec une envie de...pas grand chose enfaite. Il est vrai que je pouvais faire ce que je voulais de mes journée, mais je dois dire que depuis que j'ai quitté la confrérie, je m'ennuie d'un ennui pas possible, alors je passais le temps comme je pouvais. N'ayant aucune directive, pas plus de principes, j'agissais comme bon me semblais, biensur ayant mes propres règles à respecter qui étais de tuer des humains, faire des alliances seulement pour servir mes propres intérêts, tuer ces mêmes alliés s'il il le fallait, même pour me divertir, me faire un maximum de fric et surtout en m'amusant le plus possible. je faisais tout ça simplement pour m'occuper, car je pourrais si je le souhaitais exterminer des millions d'humain et mutant confondue en un seul coup, suffirait simplement de contaminé l'eau avec ma salive, mais ceci étant trop rapide et pas assez fun, nan moi je préférais prendre mon temps pour savourer l'instant, il me fallait du sang, à moi et des os cassés, comme l'explosion du mine sous la chaussure d'une personne qui ne l'aurais pas vue....ce genre de choses quoi...

Mais, aujourd'hui j'avais une petite mission personnelle, suivis de quelques petits objectifs supplémentaire. J'avais entendu parler d'un homme, un médecin qui aurait eu, trois patients de nature mutante, ces trois mutants sont mort d'une mort tout à fait étrange; on aurait trouvé de l'aconit dans le système sanguin de l'un d'entre eux et une dose plus élever de morphine dans les deux autres...étrange...ou pas..soit ce médecin est un boulet soit il avait prévu son coup. J'allais donc faire ma petite enquête. Je me levais donc de mon lit...Hop, douche...que je ne pris guère...et je sautais dans des vêtement et allais en direction des hopitaux, je pris le taxi, du moin je me posais sur le toit du véhicule espérant qu'il aille dans la bonne direction.
Deux heures plus tards, nan il n'y avait pas de bouchon, vous en déduisez donc que mon taxi n'allais pas dans la direction souhaité, j'avais du changer plusieurs fois de véhicules, mais bref passons, le plus intéressant de l'histoire arrive.

J'étais arrivé à l'hopital et marchais dans les couloirs, faisant des allé retour, en attendant qu'un medecin ce décide d'aller dans un endroit clos, ce qui arrivait à un moment donné, je le suivais alors de près et je me rendit compte que nous étions dans des toilettes...moué, ya mieux comme endroit intimes, mais tant pis, j'allais faire avec. C'était un médecins un peu plus grand que moi, aux cheveux blond et aux yeux bleus qui portait des lunettes, s'appelant "Zoidberg". Je le suivais donc de près et il sentit que quelqu'un le suivais, il se retournais en sursautant, étant a un centimètres de lui...

"Hey qu-est ce que vous faites!?", il me regardait interloqué, effrayé même, "je me demandais...ce que ça ferait d'être médecin..." lui répondais-je sur un ton lent et menaçant, tout en le dévisageant, je lui mis alors, un 9mm sous le menton et aussi surprenant que ça puisse paraitre, le coup partie tout seul...*oups c'est donc, que j'ai oublié de mettre l'écran de sécurité...hum tant pis...* biensur le coup de feu avait retentit bruyamment, les lunettes du medecins étaient tombés par terre, je me dépêchais de prendre ça blouse et ces lunettes, tout en prenant le temps de lui glisser le pistolet dans la main, qui sait, on pourrait penser à un suicide... je sortais donc de la pièces, vêtu des affaire de Zoidberg, la photo sur le badge ne correspondait pas du tout au personnage, heureusement le fameux docteur avait prévue quelques masque dans ses poches. aucune personne n'avait étés alertés par le coup de feu, j'avais le cul bordés de nouille ou quoi...

je me dirigeais, dans les étages et vers ma cible " le docteur Rasosky" que des noms bizarre quoi...Tout comme bon médecins j'allais voir mes patients, je me dirigeais vers un homme avec une sorte de tube de la gorge, pauvre vieil homme..."comment faite vous pour respirer avec tout ça dans la bouche!!" le patient ne répondais pas, il semblais endormis, d'un coup je lui retirais son aide respiratoire et étrangement ce truc lui servait à respirer, la machine se mis a hurler des sons aigues, surpris je remis mon masque et sortais vite de la chambre avec un petit rire satisfait, alors que des infirmières accourait pour le sauvez...au suivant...j'entrais dans une nouvelle chambre non garder , sans oute parce qu'ils étaient occuper à aider le vieux monsieur d’à coté et dans cette chambres se trouvais trois patient, tout trois étaient branchés par un appareil, vous savez, cette appareil qui faisait bip bip et quand la personne était décédé elle faisait un bip continuelle et ben ils étaient branchés la dessus...bref, je commençais comme ceci: "pouf, pouf, ça sera toi qui décédera, à trois, un, deux, t...oh pi merde!!" d'un coup rapide de la lanque je débranchais les trois patient un à un et sortais en sautillant tel le crapaud, avant l'arrivé des médecins. Je marchais tranquillement l'air de rien une foi sortie de la pièce. Personne ne c'était encore douté de quelques chose me concernant, bande de naze...

Je marchais tranquillement dans le couloir toujours l'air innocent...Je m’arrêtais, devant deux patiente qui patientais sur des chaises, attendant leur tours de passer, je feintais une envie d'éternuer, pour les asperger d'une morve bien jaunâtre au moment du tchoum dans atchoum..."Mes excuses..." leurs lançais-je l'air navré, ce qui ne l'était pas...En plus les effet nocifs de cette baves était comment dire...Mortelle. Ce qui eux, ne le savaient surement pas. bref cette foi ci, je me dirigeais enfin vers ma cible, mais il fallait que je le trouve d'abord, alors je demandais à une infirmière que je croisais dans le couloir pour qu'elle m'indique ou le trouver, elle ne fit même pas attention au badge que je portais: "Excusez moi, pouvez vous m'indiquez ou ce trouve le docteur Rasosky...", elle me regardait un instant, semblait trouver quelque chose d'étrange en moi et me répondais enfin "Il est avec une patiente ou un patient que sais-je...Mutant par contre, ça j'en suis certaine, dernière porte à gauche" il était temps d'y mettre un terme, j'accèlerais le pas et fis alors interruption dans la salle. Je le voyais enfin, encore en train de joué de la seringue, il s'apprêtait à injecter une dose de morphine à ce patient mutant une fois de plus "Homo-sapiens!!!" criais-je à son égard, je fis un saut directe sur lui, en lui saisissant la main "Vous...vous nêtes pas le docteur Zoidberg!?" me disait-il dos au sol "sans rire?! tu dois être médium!!" je lui pris la seringue des mains et lui enfonçait donc l'oeil "Stupide, il est stupide le hobbit!!! il voulais nous faire du mal!!" criais-je hors de moi, alors qu'il hurlais de douleur "chut!! détend toi mon pote!!! c'est de la morphine, tu ne sentira bientôt plus rien!!!" et après quelques instant, les cries s'éteignait" du calme, rien que le calme...je me relevaiis, mon on objectif avait une seringue enfoncer dans l'oeil et je regardais un court instant, ça victime qui était sauf, peut être qu'un jour je la recroiserais...Ce court instant fut vain, des hommes entrait alors... Une vie mutante vallait plus que plusieurs humaines, voila qu'elle était mon code principale...sauf quand ma vie est menacé...

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Thomas était à New-York depuis maintenant quelques mois et une certaine routine s'installait progressivement et s'était même accéléré depuis qu'il travaillait. Ses journée s e composait de travail, informatiques sommeil et transport en commun. Thomas avait découvert la démesure des transport en commun des grande ville américaine à New-York et il était fasciné par l'univers et le mélange occulter, le que l'on pouvait y retrouver. Malgré le temps passé voir perdu et son pouvoir joui lui permettait de gagner du temps dans ses déplacements Thomas était devenu un adepte du métro.
Depuis quelques semaine, ses habitudes avait été chamboulée par l'arrivée des grandes chaleurs de la côte Est des États-Unis. Un irlandais de pure souche comme lui avait droit, en plus d'une toison orange, à une peau blafarde et très sensible. Dès le premier jour, il prit une jolie couleur écrevisse et il se transforma en piéton chapeauté fuyant la chaleur écrasante du métro.

À peine quelques jours à son piste d'agent du Bureau des Affaires Mutantes, Thomas fut convoqué par son chef pour une enquête. Depuis quelques semaines, plusieurs mutants étaient mort dans un hôpital proche de Mutant Town dans des circonstances suspecte. Les autopsie réclamée par les familles, bien que superficielle avaient mis en évidence des traces d'aconit et de morphine alors que cela ne faisait pas partie de lieurs traitement prescrit. Le BAMBI devait donc aller plus loin dans l'enquête étant donner que la police de new-Yorkshire traînait des pieds. Qui est-ce que ça dérange quelques mutants de moins après ce qu'ils avaient fait au Maire ? pouvait-on entendre sans avoir besoin de prêter l'oreille plus que ça.

Thomas débuta son enquête par le lieu, supposé du crime, l'hôpital où était décédé les 3 mutants. La police qu'il était allé voir au paravant pour récupérer le dossier plus que succinct de l'enquête était persuadé qu'il fallait chercher dans Mutant Town et. Que les victime était des toxicomane. Mais pourquoi n'y a-t-il des victimes que dans un seul hôpital si c'est en relation avec la drogue ? s'était-il demandé alors que cela n'avait pas effleuré ses collègues. En arrivant, il commença par se rendre aux archives pour rechercher une personne qui avait pu croiser l'ensemble des victimes au cours de leur passage, après quelques heures de recherche, un seul nom ressortait, le Dr Rasosky qu'il décida d'interroger directement.

À son arrivée dans le service de son principal suspect, Thomas constata une certaine émule. Le personnel soignant stafferait dans tous les sens. Plusieurs équipes étaient en train de reintuber des patients, trop de patients simultanément pour que ce soit l'œuvre du hasard. Thomas resta sur ses gardes encore plus qu'à l'accoutumée. Plus loin dans le couloir, d'autres patientes hurlaient en se frottant pour essayer d'éliminer un liquide visqueux, jaunâtre qui semblait leur brûler les yeux. Quelque chose ne tourne pas rond ici. pensa l'agent du BAM quand un hurlement qui figea tout le monde résonna dans le service. Cela provenait d'une autres chambre, plus loin vers laquelle Thomas s'élança.

Un médecin gisait au sol, mais ce n'était pas lui qui criait, c'est la résidente de la chambre horrifiée par ce à quoi elle venait d'assister. La victime, sans vie, avait une seringue plantée dans l'œil suffisamment profondément pour atteindre le cerveau et y injecter un produit inconnu. Un badge sur sa poitrine indiqua à Thomas, qu'il avait trouvé son suspect.

A l'aide, le Dr Rasosky est blessé ! cria-t-il s'en prendre attention à l'autre médecin présent dans la pièce.

Quand il scruta la pièce, Thomas vit enfin, l'autre médecin à l'air réjoui et satisfait qui restait planté là.

Qu'est-ce que vous attendez, aidez-moi !

Il y avait quelque chose d'anormal chez cet homme au teint cireux et au sourire satisfait mais Thomas ne savait pas quoi. Pas encore.