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 Madness is not state of mind... Madness is a place... Let's go there... Shall We ?

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MessageSujet: Madness is not state of mind... Madness is a place... Let's go there... Shall We ?   Madness is not state of mind... Madness is a place... Let's go there... Shall We ? Icon_minitimeLun 30 Juil - 20:30

Chapitre I : Madness is a fire
Madness is not state of mind... Madness is a place... Let's go there... Shall We ? RabbitDoll

-Monsieur le juge, je n’ai fait que mon devoir. J’ai fait souffrir un monstre…

Cette phrase me hante depuis des années. Depuis la mort de mes parents et de mes sœurs voilà maintenant près de dix ans. Mais avant de raconter tout ça, commençons par le début...

Je suis né en France et plus précisément en France le 22 novembre 1987. A l'âge de six ans, ma famille et moi avons déménagé pour Londres à cause d'une promotion de mes parents. Mes sœurs ont vu le jour en Angleterre le 13 octobre 1993. Des fausses jumelles, mes deux petits anges. Alice avait des cheveux ébène alors que June avait des cheveux blonds comme les blés. Des caractères bien différents mais qui se complétaient harmonieusement. Alice était une boule d'énergie alors que June était réservé. Mon père Damien m'enseigna l'art de fabriquer les poupées en bois et en acier.

C'est à l'âge de douze ans que j'ai découvert mes pouvoirs, cela avait commencé par un mouvement de ma poupée. Puis une parole et enfin une discussion. Sur le coup, ça faisait peur à mes parents. Mais ils y ont fait, je dois dire que mes sœurs ont cru que j’étais sorcier. Mes parents m’ont fait promettre de ne rien montré au monde extérieur. Cette promesse, je l'ai tenu et je la tiens encore aujourd'hui. Pour eux, pour ma famille... Après tout, c'est de ma faute si ils sont morts. Si je n'avais pas étais un mutant, il n'aurait jamais eu d'incendie.

Ma mère, Lucrécia, travaillait dans l'asile de Rutledge comme psychologue judiciaire. Durant mon année de sixième, on nous avez demander de faire un devoir sur nos parents. Pour mon père, ce ne fut pas trop compliqué, mais pour ma mère, il fallait que je la voie en action avec un de ses patients. En 1999, elle s'occupait d'un patient nommé Bumby, un homme fou qui avait fait brulé une famille car il savait que l'enfant était un mutant. Le cas avait fasciné ma mère qui c'était empresser de l'étudier. Bumby était l'archétype même des docteurs durant le début du XIXe, maigre, petite lunettes, un étudiant sans envergure qui faisait bien plus que son âge.

C'est en attendant ma mère que je me suis fait alpagué par Bumby. Il savait... Il savait mon secret... Heureusement ma mère fut alerté par mes cris de panique, mais le cauchemar ne faisait que commencer. Cela débuta par des lettres, puis des appels téléphoniques. Puis un jour Bumby s'échappa. Comment ? personne ne le sait, une chose était sur, il me terrifiait.

Et puis, la nuit du 31 octobre 2001, ce fut les flammes qui me tirèrent de mon sommeil. Je pris par la main ma chère poupée de métal que j'avais forgé avec mon père, Madness. Persuadé que mes parents et mes soeurs étaient sortis de cet enfer, je me suis précipitais vers la sortie. Mais quand je suis arrivé dehors, personne. J'avais beau hurler pour savoir où était ma famille et nous venir en aide, seul un rire froid répondait à mes hurlements. Il se tenait devant moi, la clef des chambres autour du cou avec toutes les clefs de l'asile.

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Peu de temps après, c'était le trou noir. Trop de gens, la police qui arrêtait Bumby, la foule choqué puis l'odeur des corps que l'on déplace et moi dans les bras de Madness. Elle me serrait contre elle puis je finis par m'évanouir pour me réveillé dans un orphelinat. J'entendis les adultes me prendre en pitié, les enfants se moquaient de Madness. Ma réaction fut surprenante face aux autres membres de la chambre. Sans hésité, je me suis jeté sur la gorge du plus grand en lui hurlant de ne pas touché à Madness. Il fallut que ce soit ma tante Rosa qui calme le jeu en me serrant contre elle en me murmurant qu'il fallait que je calme pour ne pas me blesser plus que je ne l'étais déjà. Autour de mon torse était fixé un bandage, j'avais du me brûlé durant ma fuite.

Après m'avoir calmé, Rosa me fit comprendre qu'elle me prenait sous son aile en plus de sa fille Maria et que le procès allait débuté sous peu. L'annonce du procès me plongea dans un état renfermé. Durant un an, quasiment tout les jours, je me retrouver en face de Bumby. Il plaida la folie et fut condamné à un séjour indéterminé à Rutledge. Qaund on lui demanda de dire quelques mots, voilà ce qu'il répondit
:

-Monsieur le juge, je n’ai fait que mon devoir. J’ai fait souffrir un monstre…

Cette phrase me hante encore aujourd'hui, alors que j'ai déménagé, changer même de continent avec ma tante et ma cousine Maria âgé de 4 ans maintenant. Madness est Nostalgique, tout comme moi quand je repense au passé. J'ai ré-assemblé Madness quand nous sommes arrivé à New York, je lui est même construit une petite soeur, Era. Je savais que c'était un nouveau départ mais je ne pensé pas entré dans un nouveau monde qu'est celui de l'institution Charles Xavier




Dernière édition par Noct Liddell le Mar 14 Aoû - 10:17, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Madness is not state of mind... Madness is a place... Let's go there... Shall We ?   Madness is not state of mind... Madness is a place... Let's go there... Shall We ? Icon_minitimeVen 10 Aoû - 16:10

Chapitre II : Judgement of Corruption



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Cet homme est uniquement fou !! Il est donc condamné à être interner à l'asile Rutledge dans les cellules pour malades dangereux !

Les flammes de ma haine se sont attisés à l'annonce du jugement. Le juge semblait ravi de ce jugement. Ce qui suivit après resta gravé dans ma mémoire. Ma tante Rosa avait demander un entretient en ma présence avec le juge sur la cause de cette sanction. Il avait répondu que c'était le maximum qu'il pouvait faire pour un crime pareil et que vu mon âge, je devais être trop traumatisé pour m'en souvenir.
J'avais relevé lentement la tête pour observer le juge, Devant mon regard vert glacial, il avait reculé de quelques pas.

-Vous savez monsieur le juge, le pire dans un incendie, c'est les cris et leurs cris résonnent encore dans ma tête, je ne suis pas prêt d'oublier...

Je quittai le bureau la tête basse. Depuis ma colère lors de mon réveil, je n'avais plus eu de réaction. Mais savoir que Bumby n'était pas condamné à mort me fit horriblement mal. A peine sortit du bureau, je tombai à genoux en fondant en larmes. Sur le banc, Maria se précipita vers moi. Ses larmes... Ses cris... Cette douleur... Impossible à l'effacer... Impossible à contrôler... Elle avait besoin de se libérer... Dans mes yeux, je revoyais les flammes. Mon coeur me faisait mal. Prostré dans ce couloir de marbre, je souffrais le martyr d'avoir perdu ma famille dans les flammes. Ce juge avait transformé ses flammes en brasier... Le brasier de la corruption.


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Je me relevai brusquement en entendant la porte du bureau s'ouvrir. Le juge se tenait là avec Rosa. L'homme était tétanisé face à mon regard, je me mordis la lèvre inférieur au sang. Alors qu'il me disait de me calmer, je le coupai en hurlant :

-C'est à cause de gens comme vous que la justice est corrompu !! C'est vous qui mériterez de brûler dans les flammes de l'enfer !! Vous et Bumby !! Pas ma famille !! Juste vous !! Vous et votre argent !!

Lui hurlant mes vérités, je ne vis pas Madness se levé, ni s'approchait avec difficultés. Je ne pus m'empêcher de sursauter en la sentant la prendre dans ses bras. Je m'arrêtai aussitôt de hurler. A genoux dans mon dos, elle me serrait comme le ferais une mère face à un fils qui avait peur. Son armature de métal était légèrement visible depuis l'incendie, il faudrait que je la soigne. Oui Madness prenait la place de mes soeurs et de mes parents. Je me retourna alors lentement vers elle et pleura doucement dans ses bras. Des membres du tribunal s'étaient arrêté pour observer la scène incongru qui ce déroulait dans ses lieux. Une jeune femme s'approcha de nous. Par instinct de protection, je tirai Maria à moi. Maintenant, j'avais peur que les gens qui me sont chers disparaissent. Je fusillai alors du regard cette femme. Elle me tendit un mouchoir de tissu ainsi qu'un petit paquet.

-Tes parents devaient te l'offrir pour ton anniversaire, mais ils n'en n'auront jamais l’occasion, alors permet moi de te le donné.

Assis dans le couloir, j'ouvris le paquet. Dans la boîte, il y avait une petite pochette en satin rouge. Je l'ouvris délicatement pour y trouver un ras-de-cou noir où était pendu un pendentif de loup.

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-Mère et Père avaient promis de me l'offrir... Ils ont tenu parole...

Je regardai Rosa qui m'offris un petit sourire. Le juge alla s’enfermait dans son bureau, l'avocate me sourit doucement, je lui offris un minuscule petit sourire barré par les larmes. L'espace de quelques seconde, je crus voire ma famille au bout du couloir. Madness Se releva lentement, elle titubait mais je l'aidai à tenir debout. Elle ainsi que Rosa et Maria seront mes points d'ancrages. Je ne pouvais compté que sur moi même. Aidé par l'avocate qui fit reculait les journalistes qui nous attendaient à l'entré du tribunal, je finit par rentrer chez Tante Rosa. Je m'autorisai alors à avoir un vrai sourire, il me fallait aller de l'avant sans me retourner.
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MessageSujet: Re: Madness is not state of mind... Madness is a place... Let's go there... Shall We ?   Madness is not state of mind... Madness is a place... Let's go there... Shall We ? Icon_minitimeDim 10 Fév - 20:22

Chapitre III : Nouveau monde, nouvelle vie, Nouvelle Folie ?

Qui suis je ?





2003... L'année des changements pour moi et Madness. Rosa avait enfin obtenu sa promotion tant convoité et la voilà maintenant PDG de l'entreprise à New York. Assis au milieux des cartons qui encombre ma nouvelle chambre aussi grande que l'ancienne, j'observe ce nouvel environnement qui est si étrange pour l'instant. Madness est assise sur le lit à côté de moi. Durant le vol, elle était passé en soute, me laissant sur les nerfs durant tout le trajet. Maria m'avait demander de lui raconter diverses histoires, cela m'avait détendu pour finalement me permettre de me concentré sur ma petite cousine qui était ravie que je fasse autant attention à elle.

Maintenant installé dans ce nouvel environnement, j'en profite pour réparer Madness, en silence, au milieu de mes cartons, je lui appose sa peau synthétique, je lui repeins calmement les yeux, leurs redonnant une vivacité figé grâce à la peinture acrylique. Je lui recouds ses vêtements qui avaient brulé dans les flammes. Rapidement, mes cartons ce vidèrent, laissant place à mes outils de travail, envahissant l'espace qu'est ma nouvelle chambre. Mon univers reprenait vie dans cette petite chambre qui allait être mon antre, ma salle de création... Les dessins que j'avais fait peu de temps après l'incendie vinrent tapissés mes nouveaux murs. Je me suis alors spécialisé dans la fabrication de Doll. Ma scolarité fut des plus normale, personne ne savait... Tout le monde ignorait la douleur qui me rongeait le coeur. Je refusai obstinément d'aller voir un psychologue. Je hais ses personne, au moyen de belle parole, elles vous dévorent l'esprit, détruisent vos merveilles pour ne laissait qu'un tas de cendres.

Les années passèrent en 2008, à mes 18 ans je reçu mon diplome comme tout les adolescents normaux. Personne ne remarqua que Madness était une poupée qui accompagné ma tante et ma petite cousine. Personne... Ne remarqua ce qu'elle était réellement. Ses grands yeux caché sous un magnifique chapeau blanc, elle passé pour une jeune femme des plus jolies. C'est donc en la fixant que j'obtins mon diplome. Ma douce Madness... Semblait heureuse, l'espace d'un instant, je cru voir ma famille au complet, les spectres passés semblaient émanés de ma petite création que je chérissais plus que tout au monde. Madness... Reflet d'un passé révolu et clef d'un futur que je dessinerai pour nous. Sans se parler, on s'était promis de resté ensemble... pour toujours... Je suis rien sans elle, et elle est rien sans moi, il se je meurs, elle me suivra pour toujours...

A mes 20 ans, je décrochais enfin un job. Bien que ce soit un job nocturne, cela ne me dérangeai absolument pas. C'était simple, pianiste dans un bar nommé "La rose et Géométrie". Un lieu chic certes, mais un lieu où les gens attiraient par le même sexe se rencontre, ou des couples se créaient et se défont, un univers où je me sens en sécurité. Le patron, enfin la patronne est quelqu'un de sympa, je la remercierai jamais de m'avoir donné se job. Il est une porte de sortie pour m'échapper de mon quotidien qui est relativement morne.

Voilà 4 ans que je suis à son service et je dois dire que cela ne me déplait pas. Bien qu'elle soit strict et un peu folle sur les bords, la patronne est un amour. Le fait d'apprendre que je sois un mutant et que Madness soit une poupée semblait lui ravir... Etrangement, le nombre de robes dans le placard de Madness à augmentait à ce moment là...Décidément... Les femmes sont des créatures trop complexe pour être analysé.

Nous voilà donc à mes 24 ans... Depuis l'incendie, il ne s'est rien de passé d'étrange. enfin jusqu'à cette balade à Central Park. La météo nous donné un grand soleil avec un magnifique ciel bleu. Madness avait réussi à me tiré à central park et je devais reconnaitre que cela me faisait du bien de sortir. Ce qui n'était pas prévus, ce fut cette rencontre avec cet homme en fauteuil roulant qui me fit signe d'approché. Ne voulant me montré impoli, on s'approcha avec Madness de l'homme.

-Il y a un souci monsieur ?
-Et bien jeune homme, je voulais vous poser une question.
-Et bien allez-y.
-La jeune fille près de vous, elle n’est pas vivante n’est-ce pas ?

Je pâlit brutalement, Madness prit alors un visage froid avant de glissé lentement la main dans son dospour récupérer son poignard caché dans le noeud de sa robe. Je souris de manière glacial à l'homme devant moi. Sans un mot, elle montra le poignard caché dans son dos.

Face à ce comportement,l’homme en fauteuil roulant ne put s'empêcher de sourire. Il posa sa main gauche sur sa tempe en me fixant dans les yeux.

-Jeune homme, c’est un pouvoir fantastique. Ce n’est pas tous les jours qu’il m’est permis de voir ce genre de chose.

Surpris par la réaction de l'homme, je le fixai avec effroi avant de poser la main sur le bras de Madness qui tenait le poignard. Celle-ci le rangea alors doucement dans les plis de sa robe. je fixai alors l'homme dans les yeux.

-Que me voulez-vous ?
-Et bien, je vous propose de venir dans mon école, pour jeunes mutants. Je suis le professeur Charles Xavier.
-En quoi cela me concerne ? Elle est totalement vivante ! Vous croyez quoi ? Viens Mad... On y va !

Je pris alors la direction de la sortie du parc quand soudain j'entendit la voix de l'homme dans mon esprit.

-Voyons jeune homme... Le mensonge ne vous va pas...

Je me retournai vers l'homme qui le regarder toujours en souriant. Madness se pencha alors vers moi et me murmura quelques mots. Sur le coup, je me sentit un peu offusqué par les paroles de sa poupée. Pourtant, je me rapprocha de l'homme en fauteuil roulant. Bien que froid en apparence, j'étais heureux de rencontrer quelqu'un comme moi

-Vous êtes un mutant ? Demandai-je d'une manière qui se voulait froide.
-En effet, je suis télépathe... Votre pouvoir est bien surprenant. Je dois dire qu'elle est très réaliste pour une poupée.
-Comment avait vous su ?
-Et bien, son esprit fait écho au votre, Elle à son libre-arbitre certes mais ce libre-arbitre est en synchronisation totale avec le votre.

Je fut surpris par le raisonnement du professeur. Pourtant il venait d'expliquer à merveille le lien qui m'unissait à Madness. Celle-ci souris doucement au professeur.

-Comment ?
-Et bien, je veux bien vous l'apprendre si vous acceptez d'apprendre à contrôler votre colère et votre pouvoir dans mon école.

Je réfléchis un instant puis regarda sa poupée. Madness sourit doucement avant de murmurer quelques mots à son créateur. Je regardai le professeur avant de détourné le regard.

-Très bien... J'accepte...

C'est ainsi que je me suis retrouvé à l'institution Xavier....
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